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dimanche 25 juillet 2021

Bicyclettes de course

Record du monde du 20,21m lancé

samedi 24 juillet 2021

20,21m départ lancé

lundi 15 mars 2021

Retour au 90 km/h sur 287 kilomètres du réseau routier du département de la Dordogne ce jour !

samedi 10 octobre 2020

Cailloux

lundi 31 août 2020

Au barrage de Mauzac, j'ai cru voir de gros poissons

Barrage de Mauzac - Jean-François Noble

dimanche 12 juillet 2020

bois flotté

Les pieds dans l'eau

vendredi 10 juillet 2020

Plage de galets à Limeuil

Dordogne à Limeuil

jeudi 25 juin 2020

Dordogne à Limeuil

Au bord de la Dordogne

mercredi 24 juin 2020

Cailloux

lundi 15 juin 2020

Le Périgord et le dynamisme de ses commerçants

jeudi 21 mai 2020

Bord de Dordogne

Dordogne

samedi 4 janvier 2020

Eau de là

Dordogne

mardi 10 septembre 2019

Dordogne

Dordogne

mercredi 20 mars 2019

Stupeur et tremblement

J'étais en train de m'emmerder à tenter de faire fonctionner un truc quand je n'ai pas compris ce qu'il se passait. C'était un truc assez curieux, un peu comme si un avion à réaction venait de franchir le mur du son ou qu'un gros camion passe sans baisser la vitesse sur le ralentisseur installé sur la route mais en plus fort, plus long et plus silencieux. J'ai senti le parquet trembler, j'ai entendu la charpente craquer et je me suis bien demandé ce que ça pouvait être. Assez rapidement, j'ai bien pensé à un tremblement de terre mais j'habite un coin normalement bien à l'abri de ces phénomènes. J'ai continué à bosser.
Un peu plus tard, j'ai entendu à la radio qu'il y avait bien eu un tremblement de terre dont l'épicentre était quelque part entre la Gironde et la Charente-Maritime et qui a été ressenti jusqu'à 150 kilomètres. De mémoire, c'est la première fois que je ressens ça et je pense que je n'apprécie pas des masses.

mardi 29 mai 2018

Temps des cerises

Il n'est pas si loin le temps des cerises
Sinon, un son piqué à France Bleu Périgord ce matin dans lequel le président de Ha!Ha!Ha! Éditions évoque la rencontre avec Pierre Bellemare à l'occasion du film réalisé pour raconter de manière humoristique l'Histoire d'Escoire.

jeudi 5 avril 2018

Le ridicule blesse encore

Lorsque j'étais petit, il me semblait qu'il était bien moins grave d'être blessé que mort. Dans les jeux d'enfant, dans les films, celui qui n'était que blessé se relevait et pouvait continuer la bataille épique, repartir à l'assaut du méchant. Il avait reçu une douzaine de balles dans le corps ou une flèche d'indien en plein cœur mais il rebondissait formidablement non sans afficher une fugace grimace due à la douleur qui, toutefois, était bien présente, la gueuse. N'écoutant que son courage, le héros revenait à la vie et poursuivait sa mission, faisant à la fin triompher le bien sur le mal. Le méchant périssait et c'était bien.
Aujourd'hui, j'ai conscience que la mort est parfois préférable à la blessure. Ainsi, j'ai récemment été témoin d'une grave blessure qui, semble-t-il était diablement douloureuse. Il s'agissait d'une blessure engendrée par le ridicule, le sentiment, l'impression, d'avoir été ridicule. On prétend que le ridicule ne tue plus depuis longtemps mais, sans doute plus grave, il continue à blesser. Il se trouve que le blessé, conscient de n'avoir pas été tué fatalement, a encore trouvé assez de force vitale pour regimber d'importance. Il exigea que l'on appelât Police Secours, que l'on hélât le SAMU, que l'on convoquât les hommes de médecine, que l'on lui réservât une place au bloc opératoire. Il fut écouté, on soigna sa blessure d'orgueil. Il s'en remit.
Hélas, la blessure laissait des cicatrices, des stigmates indélébiles. Notre homme avait été blessé jusqu'au plus profond de son âme et, aux yeux de ses quasi semblables, il n'avait plus cette aura si merveilleuse. Il avait montré sa faiblesse, ce n'était plus un dieu, juste un simple mortel. Il dû descendre de son piédestal pour s'abaisser à affronter le vulgaire à hauteur d'yeux. Ce n'était pas un piédestal bien haut mais pourtant la chute fut douloureuse. L'orgueil avait peut-être été pansé, l'image n'en était pas moins flétrie.
Le ridicule dont avait été lâchement frappé ce grand homme aurait pu être assumé. Il aurait dû l'être. Personne n'aurait douté du caractère parfaitement volontaire de ce petit ridicule qui serait passé pour une belle preuve de relativisme, de distanciation par rapport à son ego. La grande masse des petites gens aurait su saluer comme il le faut cette grandeur d'âme et cette capacité à savoir se moquer de soi. Il est amusant de constater combien, souvent, il suffit d'être le premier à rire de soi pour que l'on vous encense en retour, d'ailleurs. On sera bien plus enclin à prêter une foule de qualités diverses à celui qui saura manier l'auto-dérision qu'à celui qui se montrera bouffi de prétention, de sérieux, de vanité et d'amour de sa petite personne.

Et cela me fait penser à tout autre chose

En 2014, un homme connu des Périgourdins, bien implanté dans le tissu associatif de Périgueux, engagé dans diverses actions caritatives, humanitaires ou solidaires, s'apprête à s'en remettre au suffrage en annonçant sa candidature aux élections municipales de Périgueux. Homme de gauche, il se présente sous l'étiquette du Front de Gauche. Un jour de marché, menant campagne, cet homme laisse ses pas le conduire en un estaminet de la ville. Là se trouve un ancien premier édile du nom de Yves Guéna, homme de droite de surcroît. Les deux hommes se connaissent et il arrive ce qui devait arriver, ces deux hommes que tout devrait séparer se laissent aller à se causer et à se retrouver à l'occasion de la dégustation d'une boisson apéritive. Ô drame ! On crie à la trahison, l'affaire remonte jusqu'aux oreilles de Jean-Luc Mélenchon qui retire son investiture au candidat. La faute est impardonnable, colossale, irrévocable. On comprend sans peine le courroux de M. Mélenchon et on le trouve même bien conciliant de n'avoir pas exigé que l'on traîne le traitre impénitent au pilori en place publique pour qu'il puisse expier sous les lazzi de la foule des gens de gauche. Lorsque l'on est de gauche, la moindre des choses est de ne pas boire en compagnie d'un homme de droite. Tout le monde sait ça. C'est même l'un des fondamentaux de l'apprentissage de la vie politique. Staline a-t-il jamais bu avec Hitler ? Marchais a-t-il jamais bu avec Pompidou ? Non ! Bien sûr que non ! Et Mélenchon lui-même, a-t-il jamais eu la faiblesse de consommer un verre d'alcool avec un ennemi du peuple ? Non, parce que Jean-Luc Mélenchon est un homme de convictions qui ne transige pas avec l'idéologie et parce qu'il est des choses avec lesquelles il convient de ne pas rigoler. Non mais ! Gloire soit rendue à Jean-Luc Mélenchon et que la grâce divine dégouline sur ses épaules saintes.
Cet homme coupable, c'est Maurice Melliet. J'avoue ne pas le connaître bien mais ceci depuis longtemps, depuis les années 80 quand il avait son agence de publicité Persona Grata. Je soupçonne en lui un de ces dangereux anarchistes puisqu'en plus de boire des coups avec l'ennemi il se pique de poésie au sein du club des Hydropathes de Périgueux. C'est dire le caractère néfaste du personnage !
Maurice Melliet n'entra pas dans une colère remontée face au dieu vivant du Front de Gauche de l'époque. Il se contenta, et c'est là que l'on comprend mieux la couardise de l'homme, d'envoyer un poème à M. Mélenchon. L'histoire ne dit pas si le Grand Homme a lu les vers et leur a répondu. L'histoire ne dit pas non plus de quel côté le ridicule a frappé, du reste.

Maurice Melliet

dimanche 11 mars 2018

Tracteur à vendre

Tracteur à vendre

vendredi 2 février 2018

Un pont quelque part

samedi 28 octobre 2017

Reprenons

Ça va mieux. Une sélection de quelques images de voitures anciennes. Pour commencer, une Ford A de la fin des années 20 ou, plus sûrement, du début des années 30.

Ford A II
Une automobile vue à plusieurs reprises dans diverses manifestations périgourdines telles que les Vintage Days, une Amilcar que j'apprécie beaucoup. Alors oui, il s'agit d'une reconstruction à partir d'éléments disparates, elle est mue par un moteur SIMCA mais elle roule et plutôt bien en plus d'être, c'est mon avis, particulièrement agréable à l'œil.

Amilcar
Un engin bien étonnant que cette Austin. Il me semble qu'il est basé sur une Austin Seven mais est-ce là une véritable automobile de course ou un délire de son propriétaire ? Je n'en sais pas plus. Ce qui est certain, c'est que celui-ci a un sens de l'humour bien assumé. Cette automobile a participé à la parade autour de la place Tourny le dimanche après-midi et elle marchait très bien.

Austin
Les bolides à moteur Panhard étaient venus en nombre et laissaient exprimer leur moteur rageur à l'occasion de la parade et lors des séances des derniers réglages avant la lancée sur le circuit. Ce doit être bien amusant à conduire, ces petites monoplaces qui, sans développer de folles puissances, doivent ne pas trop filtrer les sensations.

Bolides

Une chose qui paraît évident à regarder les Bugatti présentes, la place à bord est réduite et obligation est faite de trouver des solutions pour déplacer à l'extérieur ses petites affaires. Si les sacs en toile de provenance militaire ont leurs partisans, on en trouve aussi pour leur préférer la sacoche en cuir. D'ailleurs une pièce de cuir qui restait a été utilisée pour cacher ou protéger l'allumeur au tableau de bord.

intérieur de Bugatti
Le matin de ce dimanche, quelques automobiles dont les Bugatti partaient pour une virée à travers les vieilles rues du centre de Périgueux. Elles sont là saisies lors du départ depuis la place Tourny.

Départ de Bugatti
La suite... Plus tard.

mercredi 18 octobre 2017

Les lecteurs ont du talent #1

C'est Waldo7624 qui est le premier à m'avoir confié ses images. J'en ai sélectionné cinq comme il était dit pour vous les présenter aujourd'hui. A cela, je vois au moins deux points positifs. Le premier, bien sûr, c'est que ça nous donne l'occasion de voir un déroulé de cette manifestation d'un autre œil que le mien. Le second, c'est que du coup je n'ai rien à faire et peux me tourner les pouces. Place aux photos !

Citroën Traction Avant 15 Six découvrable
Pour commencer, une belle et rare Traction Avant 15 Six découvrable et on reste dans les marques françaises avec une très belle Talbot Lago.

Talbot Lago Record
Toujours françaises et toujours prestigieuses, la Delahaye tant appréciée et la Bugatti Type 44.

Delahaye 135 Competition
Bugatti 44
Et enfin, la pointe d'une MG qui à elle seule est une invitation à la conduite sportive.

Une pointe c'est tout


Ah oui, j'oubliais. Du fait que je suis rentré aux alentours de 3 heures ce matin, que je me suis levé à 7 heures après avoir dormi peut-être trois heures, je ne me suis pas appliqué inconsidérément à "améliorer" ces photos. D'autre part, comme convenu et comme il est attendu, demain mardi une belle surprise au programme !

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