Mot-clé - passé

Fil des billets - Fil des commentaires

vendredi 24 juillet 2020

Sous acide

samedi 23 mai 2020

Aléatoire

mercredi 19 septembre 2018

Souvenirs perdus

J'ai trouvé une petite boîte en carton. Dans cette boîte, quelques plaques photographiques en verre et des négatifs de film 127. Avec quel appareil ces photos sur film ont-elles été faites ? Je l'ignore. Qui a fait ces photos ? Je l'ignore également. J'ai tout de même une petite idée à ce dernier sujet. Si je vois juste, ces images ne sont plus les souvenirs de personne. De ce que je sais, il n'y a plus aucun descendant de cette famille.
C'est curieux de regarder ces images qui ont dû permettre de conserver le souvenir d'instants et de lieux qui évoquaient quelque chose chez certaines personnes et qui, aujourd'hui, ne veulent plus dire grand chose. Il y a une trentaine d'images imprimées sur la pellicule. Les plaques en verre ne sont malheureusement pas utilisables.
Ce ne sont pas des photos artistiques même si certaines sont bien cadrées et pas trop mal exposées. J'en ai numérisé deux. Sur la première, on peut penser que nous sommes dans la port de Saint-Brieuc. Pour supposer cela, je m'appuie sur l'immatriculation du bateau de pêche apparemment basé dans cette ville des Côtes d'Armor (Côtes du Nord à l'époque). Je pense que cette image a été prise dans les années 1930. Le film utilisé, le 127, date de ces années là. Cependant, il n'est pas impossible que l'image date des années 40. Je ne sais pas pourquoi mais les chaussures de la dame me font penser à ces années 40.

A Saint-Brieuc ?
La deuxième photo pourrait avoir été faite elle aussi en Bretagne. Où ? Le mystère est épais. La plaque de l'automobile semble nous indiquer une immatriculation parisienne pour l'année 1931. Mais quelle est la marque de cette automobile ? Encore un mystère. Peut-être voit-on ici la mère et la fille ? L'habillement de la plus jeune des deux personnes semble moins luxueux, toutefois. La plus âgée prend la pose pour le photographe, la plus jeune paraît s'apprêter à ouvrir la porte. Je voir un air un peu espiègle dans l'allure de cette personne. Elle ne semble pas vouloir se plier au jeu du photographe. Néanmoins, on note un sourire amusé.
Mais qui saura identifier l'automobile ?

Qui, quoi et où ?


Une recherche sur Internet me permet de découvrir l'existence d'un autre bateau, le Maria René basé, lui aussi, à Saint-Brieuc.

mardi 17 octobre 2017

Automobiles d'exception à Périgueux

De nouvelles images de cette manifestation qui regroupaient en un plateau d'exception des véhicules du même tonneau. Pour commencer, une automobile qui est par beaucoup considérée comme particulièrement belle, une Delahaye 135 carrossée par Figoni & Falaschi déjà vue et photographiée lors des Vintage Days 2016.

Delahaye 135
La Bugatti Type 55 déjà présentée hier était très probablement la plus jolie de toutes les Bugatti présentes lors de ces journée périgourdines. On ne s'en lasse pas.

Bugatti Type 55
Toujours chez Bugatti, l'intérieur très étudié d'une Type 51 avec la cartouchière pleine de bougies de secours. Ce qui est à mon avis plaisant dans cette mise en scène, c'est bien le fait que l'on ne sacralise pas l'automobile et que l'on cherche au contraire à la banaliser en tentant de faire croire que nous sommes là en présence d'une voiture comme une autre, juste un peu plus ancienne, un peu plus prestigieuse, un peu plus rare, un peu plus chère. D'ailleurs, un détail qui m'amuse beaucoup aussi est la présence sur plusieurs de ces petites Bugatti d'un sac à dos d'origine militaire sur le côté. Cela indique que ces automobiles n'étaient semble-t-il pas idéales pour transporter ses petites affaires et que le constructeur n'avait pas jugé opportun de prévoir une vide-poche ou un coffre digne de ce nom.

Bugatti Type 51 avec bougies de secours
Tant que nous sommes en compagnie des Bugatti, en voilà une saisie en pleine course en un essai de filé-figé. Si la consigne avait été donnée de ne pas chercher à rouler vite, si le cortège était bien mené par une Traction Avant 15 Six "pace car", on sentait l'envie de faire rugir les moteurs et les conducteurs ronger leur frein.

Une Bugatti à Périgueux

Et puisque l'on en est à prétendre que ces automobiles roulaient pour de vrai, voilà une MG photographiée sur les allées Tourny qui paraît réjouir ses occupants.

MG
Mais avec deux roues de moins les véhicules peuvent s'avérer bien intéressants aussi. Une Magnat-Debon des années 20 quelque peu revisitée était offerte à la vue des spectateurs et ça faisait bien du bonheur à voir.

Magnat-Debon
La suite prochainement.

lundi 16 octobre 2017

Evocation du Grand Prix de Périgueux

Ces samedi et dimanche, Périgueux renouait avec l'année 1950. Cette année là, un Grand Prix automobile et motocycliste se tenait dans la ville. Les bolides qui vrombissaient dans les petites rues de la capitale périgordine étaient de retour pour le plus grand bonheur des amateurs de véhicules d'exception. Et quelle marque mieux que Bugatti pour incarner cette notion ? Je vous le demande un peu. J'avoue, j'ai une fascination pour les automobiles de Molsheim. S'il est acquis que jamais je n'aurai l'occasion d'en conduire une ou, moins encore, d'en posséder une, je prends déjà un grand plaisir à les voir et les entendre.
Des Bugatti, il y en avait un beau plateau. Depuis la Type 44 de 1925 de la collection Brou de Laurière qui a voyagé dans le Sahara jusqu'à la splendide Type 57 cabriolet Stelvio en passant par des Type 39, 51 ou 55, il y avait là de quoi se flinguer le rétine. Bien sûr, il n'y avait pas que des Bugatti mais il faut bien constater que ces dernières éclipsaient quelque peu les autres marques.
J'ai fait plus de huit-cents photos. J'ai dû utiliser trois cartes mémoire (je n'ai pas rempli la troisième et la deuxième n'était qu'une 4Go). Depuis hier soir, je fais du tri dans tout ça. Bien sûr, il y a des photos floues, d'autres mal exposées, certaines mal cadrées mais bon, il en reste assez pour que vous deviez vous préparer à bouffer de la photo de véhicule pour plusieurs jours. Je préfère vous prévenir. Allez, on commence.

Allées Tourny
Pour l'occasion, quelques collectionneurs ou amateurs d'automobiles anciennes s'étaient déplacés pour exposer leurs machines. Sur la place Tourny, on pouvait voir plusieurs automobiles de plusieurs époques et de différentes nationalités.
Les motocyclettes étaient regroupées sur le bord de la place Tourny du côté du Musée du Périgord. Beaucoup de Peugeot, des belles des années trente et aussi des plus populaires des années 50, mais aussi de la Norton, Ducati, Magnat-Debon, Soyer, Motobécane.

Peugeot P107
Vers 11 heures, les automobiles se lançaient dans une parade au cœur de la ville ancienne sous prétexte d'un rallye touristique au parfum de jeu de piste. C'était surtout l'occasion de rouler dans les ruelles du secteur sauvegardé et piétonnier comme la rue Limogeanne. Certaines mauvaises langues voyaient là un pied de nez fait à la maire de Paris. De fait, si la présence de ces véhicules pétaradants et fumants semblaient amuser et réjouir les piétons, il faut noter que ce ne serait pas aussi bien vu si ces ruelles étaient remises dans le plan de circulation de la ville au quotidien. Certainement, une Bugatti pollue bien plus qu'une automobile à la norme Euro 6 d'aujourd'hui. Toutefois, suivre l'odeur des gaz d'échappement au son de la musique d'un huit cylindres en ligne prestigieux ne m'a pas vraiment dérangé. Même, pire, ça m'a plu. J'ai honte et demande pardon aux écologistes qui pourraient, par mégarde, lire ces lignes.

Bugatti Type 39 et Type 55 rue Limogeanne
SIMCA P60 dans le secteur protégé
Sympathique, cette petite SIMCA. Ah ça, c'est sûr, elle n'a pas le prestige des Bugatti de la photo précédente. Parmi les plus vieux d'entre-vous (et je sais qu'il y en a) il est probable que vous ayez plus sûrement posé vos fesses sur la banquette d'une P60 que sur celle d'une Bugatti. Si ce n'est pas le cas, vous êtes chanceux.

Allard
Bugatti et Morris Garage dans la rue Limogeanne
Les anglaises étaient bien là avec, par exemple, une Allard ou la MG. Et d'ailleurs, à propos de nationalité. On entend souvent que Bugatti serait une marque française. Bon. D'abord, Ettore Bugatti est né en Italie. Après, si je me souviens bien, il a installé ses usines à Molsheim en Alsace. Et cela avant 1918. Et l'Alsace n'était-elle pas un peu prussienne depuis 1870 ? Aujourd'hui, la marque appartient au groupe Volkswagen.

Cyclecar Morgan
Morris Garage et Austin Seven
Donc, disais-je, les automobiles anglaises. Plus tout à fait moto mais pas encore tout à fait auto, un très intéressant cyclecar Morgan à refroidissement liquide ainsi qu'une MG devant une étonnante petite Austin possiblement "seven" de course. Je n'en sais pas plus à son sujet.

Bugatti Type 55
Très belle, très luxueuse, très convoitée, une Bugatti 55 réellement splendide pour terminer en attente d'autres images prochainement.


Especialement pour m'sieur waldo qui trouve à redire, la P60 en version "vieillie" et débarrassée de l'importun.

P60-ancien.jpg

vendredi 12 mai 2017

Fausseté

Hier dès demain

mardi 11 octobre 2016

Cave à l'abandon

Cave oubliée

mercredi 3 août 2016

Un, deux, trois, nous allons au bois

Dans les bois

mardi 19 juillet 2016

Nos lecteurs mènent l'enquête

Aucun souci pour identifier les personnes présentes sur la photo. Nous sommes au début des années 60 et, par simple déduction, ce doit être mon grand-père maternel qui est derrière l'appareil photo. Le jeu consiste à réussir à découvrir où cette photo a été prise.

Quelque part en famille

dimanche 17 juillet 2016

Que peut-on en déduire ?

Une photo au format 6x6, en noir et blanc. Elle n'est pas de moi. Je ne sais pas qui l'a faite. Peut-être ma grand-mère maternelle. Où a-t-elle été prise ? Carcassonne ? En quelle année ? On aperçoit une Panhard PL17, une SIMCA 1000. Probablement dans les années 60.
Je cherchais une autre photo et j'ai vu celle-ci. Je l'ai numérisée et j'ai essayé de l'améliorer un peu.

Négatif après numérisation

Possiblement Carcassonne

mercredi 21 octobre 2015

Présents dans le futur

RVLF.jpg

mardi 29 septembre 2015

L'expérience de la plage

Une plage de repos dans cette vie trépidante
Je vous propose un jeu. Je vous donne cette photo et vous devez écrire un court texte à son propos.

mardi 14 juillet 2015

Agris, culture moto

__Pour ce jour qui verra les troupes défiler, les feux artificer, les bals populariser et la sonde New Horizons frôler Pluton, je vous propose trois images de motocyclettes plus ou moins anciennes mais toutes françaises. Il y en aura d'autres ultérieurement.
C'est à Agris, commune charentaise sise un peu à l'ouest de la Rochefoucauld, que ces photos ont été faites. Il y était organisé un vide-greniers et une exposition de motos, actuelles et anciennes. Parce qu'il faisait beau, mais surtout parce que l'organisation était impeccable, la fête a été un succès. Beaucoup, vraiment beaucoup de passage. Des motards, des familles qui se sont promenées, des anciens qui venaient voir les machines de leur jeunesse. Le Clan Sanglas France exposait quelques machines mais nous y reviendrons.
Pour commencer, une moto récente avec une belle Voxan Black Magic. A la voir, je ne peux que regretter que cette marque ait eu une présence si éphémère. Aujourd'hui, il paraît que la marque prépare son retour avec une moto électrique. A voir.

Voxan Black Magic
Et deux représentantes plus anciennes de l'industrie motocycliste française avec des Terrot magnifiques restaurées avec exigence et bon goût.

Une très belle restauration d'une belle Terrot
Terrot HSST de toute beauté
J'ai encore quelques pépites en préparation sur mon disque dur pour une prochaine fois.

lundi 15 juin 2015

La Peste, elle trouve que c'était mieux hier

Hier, j'ai eu l'occasion de regarder quelques uns de mes anciens dessins. J'en ai déduit qu'ils étaient bien meilleurs que ceux actuels et ça n'a pas manqué de me plonger dans une sorte de perplexité inconfortable. Que s'est-il passé pour que j'en arrive là ? Normalement, du moins jusqu'à un certain point, je pensais naïvement que le temps conduisait nécessairement vers une amélioration. Il n'en est rien, donc.

Les "très" vieux dessins de moi, je ne peux plus les voir. Je les trouve réellement horribles. Durant de nombreuses années, j'ai vraiment eu le sentiment que je devenais de plus en plus habile, que mon trait s'affinait, devenait plus sûr. Et là, depuis quelques années, c'est comme si je régressais inexorablement. C'était mieux hier, comme on dit quand on n'a rien d'autre à dire que des conneries.
Si je ne dis pas que nous vivons la plus fantastique des époques, je dis que je ne regrette aucune de celles que j'ai connues. Je vis dans mon temps, sans regretter le passé et sans espérer de l'avenir. Je vis le temps présent avec un aujourd'hui chaque jour. Carpe diem et tout ce bazar, ce n'est pas vraiment nouveau. Ceci étant dit, je ne peux pas fermer les yeux sur le passé et sur l'expérience qu'il génère. Ça m'a déplu d'avoir eu l'impression de moins bien dessiner qu'il y a quelques années. Maintenant que ceci est compris et constaté, c'est à moi de me reprendre en main et de m'appliquer à retrouver le goût pour le dessin. Parce que, au fond, je ne vois pas d'autre explication que celle-ci. J'ai perdu l'envie de dessiner. Je me demande s'il faut batailler, s'il est utile de chercher à dessiner si je n'ai pas le désir de le faire. Dans l'idée, bien sûr, j'aime dessiner. Pas tout le temps mais lorsque ça me prend, j'aime bien. C'est un peu par périodes. Hier, j'ai aimé dessiner. J'ai réalisé quatre dessins que j'ai terminé d'encrer ce matin. L'un de ces dessins est celui que je vous propose aujourd'hui sur le thème, justement, du passé.

La Peste, elle est passéiste

lundi 8 juin 2015

Allemande, Républicaine et Démocratique

Petit à petit, la MZ se prépare doucement à être en mesure de rouler. Après divers démontages et nettoyages, après quelques réglages sommaires, elle démarre facilement. Parce que je ne suis pas mécanicien et parce que je ne considère pas que la remise en route de ce petit vélomoteur soit primordial et prioritaire, ça n'avance pas vite. Pour le moment, j'en suis à l'étape du nettoyage du réservoir. Remarquez, j'en ai un autre, de réservoir de MZ. Je pourrais l'installer pour procéder à quelque essai routier. Il faut que je creuse la question et que je remette la main sur l'autre réservoir.
En attendant que je me décide, je vous propose aujourd'hui une publicité qui a peut-être conduit le premier acheteur de la MZ en ma possession à l'acheter. Cette MZ date de 1973, la publicité de 1972. C'est cohérent. Et c'est sûr que c'est une publicité qui donne une furieuse envie d'acquérir une semblable machine !

Robuste, la MZ !

dimanche 7 juin 2015

Lorsque la Dordogne casquait

Au hasard de la lecture d'une ancienne revue moto, j'ai trouvé une publicité croquignolesque pour une marque de casques périgordine, ceux de la société Saint Christophe basée à Mussidan et aujourd'hui disparue. Cette réclame date du début des années 70 alors que le casque intégral n'était pas encore la norme. J'adore la naïveté de cette publicité, le croquis réalisé à la main, les textes calligraphiés, l'argumentaire qui fait gentiment sourire. Et c'est aussi le choix du nom de la marque qui prête à sourire. On ne peut s'empêcher de penser que si l'on cherchait à préserver sa vie en adoptant un tel casque, il fallait bien s'en remettre à saint Christophe, patron des chauffards !

casques saint Chistophe de Mussidan

samedi 28 mars 2015

L'ancien et le moderne

Deux outils, deux fonctions semblables, deux époques. Pourquoi est-ce l'ancienne qui me paraît plus belle ? Parce qu'elle est moins commune ? Parce qu'elle évoque un temps passé ? Si la moderne a supplanté l'ancienne, c'est qu'elle a dû apporter son lot d'avantages. L'ancienne peut aujourd'hui faire figure d'objet décoratif, pas la moderne qui, elle, aura sa place dans le garage parmi les outils de bricolage.
Si j'ai à quelques reprises utilisé la lampe à souder moderne, celle à gaz, je n'ai jamais eu le courage d'utiliser l'ancienne, celle à pétrole. Déjà, il faudrait que je comprenne bien comment on l'utilise, comment on la met en fonction. Il y a quelques années de cela, j'avais cherché à comprendre le fonctionnement. Il n'est pas des plus simples. Si je m'en souviens bien, il faut remplir la cuve de pétrole (ou d'essence), pomper, verser de l'essence dans la cuvette au haut de la lampe, l'enflammer pour faire chauffer la buse puis, lorsque une certaine température est atteinte, ouvrir le robinet pour laisser s'échapper l'essence de la cuve qui devrait s'enflammer à son tour. On règle le débit avec la molette à côté de la poignée. Enfin c'est quelque chose du genre. J'estime à la grosse louche qu'il doit falloir un bon quart d'heure avant que l'engin soit opérationnel.
J'ai la lampe, je dois pouvoir trouver sans grand problème un peu d'essence. Pourquoi n'essayais-je pas de la faire fonctionner ? Parce que j'ai peur de me faire exploser la gueule, tout simplement ! La version moderne de la lampe à souder, ce n'est pas sorcier à utiliser. Bien qu'il y ait une cartouche de gaz, je n'ai aucune crainte à l'allumer. Elle me semble bien plus sûre, bien moins dangereuse. Et puis, il n'y a pas d'histoire de préparatifs bizarres pour qu'elle soit prête à travailler. Même pas besoin d'allumette ou de briquet. Un système piézoélectrique est là pour produire les étincelles nécessaires à la mise en œuvre. On l'allume d'une seule main et ça chauffe immédiatement. C'est beau, la modernité.

Lampes à souder

mardi 17 mars 2015

Finissons-en

On ne va pas y passer le reste de l'année. Elle est bien intéressante, cette vieille maison abandonnée durant une quinzaine d'années mais on va passer à autre chose. Donc, parce qu'il m'a semblé intéressant de traiter trois images faites à différentes expositions à cet effet, je publie aujourd'hui une image HDR et une autre juste pour dire. Pour demain, je ne sais pas ce que je trouverai mais ce ne sera probablement pas en rapport avec cette maison.

Maison à l'abandon
Maison à l'abandon

dimanche 15 mars 2015

Immobilier immobile

C'est une maison. Elle est quelque part, en France, et je n'en dirai pas plus. Elle est abandonnée depuis une quinzaine d'années. La dernière propriétaire est morte il y a dix ans, après avoir passé cinq ans en maison de retraite. Pas d'héritiers directs intéressés par la succession, les dettes. Déshérence, déchéance. Les pieds de la table et des chaises sont grignotés par les bestioles xylophages. J'ai placé le 8mm Samyang sur le boîtier, le boîtier sur un pied et, dans la faible lumière matinale, j'ai déclenché.

Finissez d'entrer
Une autre version.

Maison à l'abandon
Une dernière pour aujourd'hui

Maison à louer

dimanche 12 octobre 2014

J'ai été jeune, la preuve en images

J'entends parfois des propos désobligeants lâchés à mon égard. On entend toutes sortes de choses et peu nombreuses sont celles capables de me blesser. Mais, tout de même, lorsque l'on prétend que je n'ai jamais été jeune mon sang ne fait qu'un tour et je me mets en colère.

C'est en continuant mon entreprise de recherche de documents photographiques anciens que je suis tombé par le plus grand des hasards sur deux clichés me présentant en train de fêter dignement mon premier anniversaire. On le voit sur la première de ces images, j'étais déjà un vrai comique.

1 an

1 an

Alors la question est de savoir qui a fait ses images. Ce doit être l'un ou l'autre de mes grands-parents maternels. Je penche pour mon grand-père. Ce qui est certain, c'est qu'elles ont été faites sur pellicules Agfa Isopan IF. De ce que j'ai pu trouver à propos de cette pellicule, ce serait une pellicule noir et blanc de 40 ISO. Je suppose que mon grand-père aura développé lui-même le film. Ce que je ne parviens toutefois pas à comprendre, c'est pourquoi cette pellicule a été découpée vue par vue. Ce n'est pas vraiment recommandé, normalement.

Haut de page