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samedi 2 octobre 2021

Motocyclette agricole ou tracteur à deux roues

moto agricole

lundi 30 août 2021

Alignement

vendredi 9 avril 2021

Arme de dissuasion

dimanche 1 novembre 2020

Tracteur du dimanche

Zetor

samedi 15 août 2020

Le tracteur à Jojo

vendredi 31 juillet 2020

Tracteur du vendredi

samedi 18 juillet 2020

Deux places assises

Tracteur

vendredi 17 juillet 2020

Le temps des moissons

Société Française Vierzon

jeudi 21 novembre 2019

La culture, c'est compliqué

Machinisme agricole

vendredi 8 novembre 2019

Rien n'est plus beau

Société Française Vierzon

jeudi 6 juin 2019

Course à l'énergie

mardi 7 mai 2019

Image de la France paysanne

mercredi 3 octobre 2018

Recyclage

C'est un dessin qui date de quelques années[1]. Je n'avais jamais pris le temps de le mettre en couleurs. J'avais besoin d'un dessin de tracteur, je me suis souvenu de lui. J'ai réussi à le retrouver et ça n'a pas été une mince affaire. Il ne me restait plus qu'à le peinturlurer sur l'ordinateur.

Tracteur de récupération

Note

[1] 10 et 11 décembre 2011

samedi 29 septembre 2018

Puissance agricole

Tracteur

dimanche 26 août 2018

Bouillotte du peuple

C'est à la Cassagne que l'on pouvait découvrir ce petit tracteur allemand. Il s'agit d'un Allgaier R22 dit "bouillotte". Quel curieux surnom pour un tracteur agricole, ne manquerez-vous pas de vous exclamer. Il y a une explication.
Ce tracteur est le pendant de le VolksWagen pour le machinisme agricole. Le constructeur a souhaité concevoir un tracteur accessible à tous, fiable, solide et simple à entretenir. Pour cela, on a cherché à supprimer quelques éléments susceptibles de causer des pannes. On s'est surtout intéressé au système de refroidissement en le simplifiant à l'extrême. Pas de radiateur, pas de durit, pas de pompe à eau. A la place de tout ce dispositif complexe, on a conçu une sorte de grosse réserve d'eau de plusieurs dizaines de litres d'eau qui entoure le haut moteur en une seule pièce de fonderie avec celui-ci. Le refroidissement n'est donc assuré que par l'évaporation de cette eau. Simple et facile.
Bien sûr, cela oblige à vérifier que la réserve d'eau ne soit pas vide. Un flotteur permet à l'opérateur, grâce à une pige, de s'assurer du niveau d'eau. Ajoutons que dans ce souci de simplicité et de réduction des éléments mécaniques, le tracteur n'a pas de démarreur. Il faut user de la manivelle pour le faire péter. De même, pas de système de boule chaude comme sur les Société Française Vierzon ou autres Lanz et affiliés. Non, on assure le préchauffage de la chambre de pré-combustion par l'insertion d'une "cigarette" de démarrage, une mèche introduite après son allumage dans l'emplacement prévu à cet effet. Une fois que cela est fait, on tourne la manivelle à toute volée et, normalement, le moteur doit démarrer.

Allgaier R22 Volksschlepper

jeudi 23 août 2018

Pas que des pétaroux à la Cassagne !

Où en étions-nous ? Ah oui. Les cyclomoteurs. Vous en avez pas un peu marre, vous, de ces indigents pétaroux ? Oui, moi aussi. Heureusement, il n'y avait pas que ça à la Cassagne. Il y avait aussi la présence de l'association "Passeurs de mémoire"[1] qui avait dressé deux tentes pour une exposition hétéroclite d'objets présents lors des deux derniers conflits mondiaux et quelques véhicules, plusieurs Jeep et un half-track M3 possiblement de marque White. La présence de ces véhicules et de l'association s'explique par la collaboration au film promotionnel de cette édition de la fête.
J'ai beaucoup de mal, en raison de mauvaises lectures de jeunesse sans doute, avec la chose militaire. Je n'aime pas les militaires, je les trouve cons et bêtes. C'est comme ça. J'ai beaucoup de mal aussi avec les amateurs de "militaria", ces nostalgiques probables des guerres d'antan. Que l'on ait le souhait d'honorer les victimes de ces conflits, admettons. Que l'on s'arrête aux victimes de quelques guerres passées sans soutenir les victimes présentes, ça me dérange un peu plus. Disons-le, je ne comprends pas la démarche ou je n'ose pas entendre la petite voix sournoise qui me chuchote quelque chose à l'oreille. Est-il besoin de se déguiser en militaire pour dénoncer la guerre ? Je m'interroge.
Restent les véhicules. C'est une autre question que celle des véhicules. Je n'ai pas de goût particulier pour les engins trop guerriers, les chars d'assaut ou les auto-mitrailleuses. Par contre, et je ne l'ai jamais nié, j'aime beaucoup les petits camions Dodge, les plus gros camions GMC ou Ward et les jeep de l'armée américaine de cette deuxième[2] guerre mondiale. D'abord, parce que ces véhicules ont été utilisés civilement après réforme. Une fois débarrassée de son étoile, de ses marquages et de sa laide couleur, une jeep redevient un engin tout à fait acceptable.
Notons que, dans le cadre d'un souci de conservation de cette mémoire dont il est question là, j'admets que l'on ait le souci de préserver quelques véhicules recouverts de leur couleur et marques distinctives "authentiques". Par contre, ce que je n'admets pas un instant, c'est de voir une Jeep Hotchkiss française bariolée avec une étoile ricaine. Faut pas pousser. Bref, une photo d'un half-track.

White M3 Half Track
Moins guerrier, le tracteur Société Française Vierzon HV2. Ça j'aime bien ! Que dire à propos de ce tracteur ? C'est, comme de bien entendu, un monocylindre semi-Diesel. Avec un peu plus de cinq litres de cylindrée, ça vibre pas mal, merci. Cette recette du tracteur monocylindre de forte cylindrée a été utilisée durant de nombreuses années avant de disparaître totalement. Si, aujourd'hui, on s'amuse à les voir démarrer et à les entendre pousser leurs explosions au rythme d'un marteau pilon, on comprend que le monde paysan ait pu choisir d'autres tracteurs moins contraignants et plus reposants à utiliser. Ce que l'on peut se demander, c'est comment et pourquoi ces gros monocylindres plein de défauts ont existé durant toutes ces années, en gros des années 20 à la fin des années 50. Les tracteurs multicylindres à essence ou à moteur Diesel existent alors que ces Lanz, SFV et autres ancêtres perdurent. On met en avant la solidité et l'entretien réduit. On a aussi, un temps, prétendu que ces tracteurs à boule chaude pouvaient brûler presque tout, de l'huile de vidange au pétrole lampant en passant par la graisse de canard ou l'huile de palme. A l'annonce des années 60, Lanz était racheté par l'américain John Deere et Société Française Vierzon par le toujours américain Case. C'en était fini de ces antiquités agricoles qui font aujourd'hui la joie des fêtes "à l'ancienne".

Société Française Vierzon HV2
Société Française Vierzon HV2
Français lui aussi, militaire jusqu'au bout du dernier boulon, le Berliet GBC8KT. Parce qu'il est militaire, il est laid. Pour plaire au commandement militaire, le constructeur se doit de faire dans le moche voire le hideux. Mission parfaitement remplie par M.Charbonneaux, styliste de son état. Toutefois, cette laideur se veut fonctionnelle. On se dit que de la tôle plate est plus facile à retaper que de la carrosserie toute en rondeur d'un Saoutchik ou d'un Figoni & Falaschi. Les militaires savent pondre du cahier des charges. On veut du camion de tel tonnage, transportable par train, capable de consommer toutes sortes de carburants. Berliet répond avec ce camion issu du GBC 8 6x6 bien plus beau. Il ne s'agit plus que de l'enlaidir pour qu'il soit à l'image du militaire de tradition française.
Avec ses surfaces planes mises bout à bout, ce Berliet ne concède rien à l'esthétique. Pour autant, on l'a tellement vu qu'il est devenu presque "normal" et que l'on ne fait plus trop attention à lui. Par contre, ce camion ne manque pas de qualités. Légèrement sous-motorisé, il a de vraies capacités de franchissement et est d'une solidité remarquable. Il a connu une très longue carrière dans l'armée française, a été remotorisé, a été même recarrossé sur la fin. Aujourd'hui, il continue à satisfaire aux exigences militaires.

Berliet, Peugeot et Motobécane
Avec sa gueule de voiture des années 30, le petit camion Citroën U23 a connu une longue carrière. Bien plus beau dans sa livrée "à ailes plates" qui affiche un avant rappelant les Rosalie de la marque que dans la nouvelle mouture du début des années 50, cet utilitaire n'est pas, c'est le moins que l'on puisse dire, un foudre de guerre. Peinardement, il navigue sans jamais trop dépasser les 70 km/h. L'aménagement intérieur est des plus rustiques. Disons-le tout net, il n'y a pratiquement rien d'autre qu'un volant, quelques pédales et leviers et un pitoyable compteur de vitesse. Le moteur qui entraîne tout ça est celui de la Traction Avant retourné pour pouvoir entraîner le pont arrière. Son sens de rotation est inversé. Au tout début des années 50, on lui préférait déjà le HY[3] ou la production de chez Renault. Les 1000kg ou 1400kg Renault n'étaient pas non plus des véhicules modernes, puissants et rapides mais, malgré tout, ils l'étaient un peu plus.

Citroën U23

Notes

[1] Objet de l'association : promouvoir le devoir de mémoire pour les victimes civiles et militaires de la première et deuxième guerre mondiale

[2] soyons prudents

[3] bien que ce dernier ne le remplace pas complètement

jeudi 5 juillet 2018

Fête des battages à l'ancienne au Change

Ce sera le 15 juillet prochain et j'y serai peut-être. Avec la récente limitation de vitesse sur les routes secondaires, je prends de plus en plus les routes tertiaires. Par exemple pour me rendre dans l'agglomération périgourdine ou en revenir. Cela m'a conduit récemment à passer par le Change et de voir ce tracteur déjà sur place dans l'attente de cette fête. Malheureusement, la batteuse était bâchée. Mais parce que j'aime beaucoup ces tracteurs anciens, je n'ai pas résisté et me suis arrêté pour faire une photo.

Société Française Vierzon

lundi 11 juin 2018

Identifions ce tracteur


C'est un Massey Harris, ça c'est sûr. Par contre, j'hésite sur le modèle exact. Est-ce que vous accepteriez de vous prêter au jeu et d'enquêter ?

dimanche 11 mars 2018

Tracteur à vendre

Tracteur à vendre

mercredi 7 février 2018

Paysans en colère

La colère gronde

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