Cuisine

jeudi 8 juin 2006

Peut-on faire pousser des bouteilles de pinard...

dans une lagune ? La preuve en image !

etiquette

samedi 13 mai 2006

Une certaine approche du bonheur !

Finalement, le bonheur ne tiendrait-il pas souvent à des choses toutes simples ? La voie de la sagesse passe certainement par là, en tous cas !

Depuis le temps que je le pratique, le cérémonial est bien réglé, parfaitement au point. Plus rien n'est laissé à la libre appréciation du hasard.
La casserole est remplie d'eau au robinet puis posée sur la grille de la cuisinière à gaz. Une allumette est craquée, un robinet ouvert, la flamme de l'allumette est communiquée au gaz s'échappant du brûleur. Un couvercle vient aider l'eau à atteindre son point d'ébullition.
Les quelques minutes nécessaires à la montée en température de l'eau sont mises à profit pour choisir quelles seront les pâtes qui seront sacrifiées au repas du soir. Ce soir, c'étaient des Fussili n°18 de chez Barilla©.
L'eau bout. Je jette une petite poignée de sel dans la casserole et, après que l'ébullition a repris, j'ajoute les pâtes. Je me plante souvent sur la quantité. Rarement, très rarement, il n'y en a pas assez. Ça peut arriver, mais c'est pas souvent. Avec une fourchette, je touille.
Là, je vais faire des trucs et des machins. L'avantage, avec les pâtes, c'est qu'il n'y a pas à s'en occuper. Personnellement, j'ai choisi depuis longtemps de les faire cuire à petit bouillon. Ce n'est pas que je ne sois pas pressé mais plutôt que je n'ai aucune envie de revenir baisser le feu parce que ça déborde... Et encore moins envie de nettoyer la cuisinière parce que ça aura débordé !
Il est assez courant que j'oublie les pâtes en train de cuire. Le fait est que je ne note pas le moins du monde l'heure à laquelle l'opération a commencé. En fait, je m'en fous un peu et je fais confiance à ma bonne étoile. Ceci dit, plus d'une fois les pâtes sont vraiment trop cuites. On s'en fout, ça se mange pareil. Au bout d'un laps de temps variable, je me décide tout de même à aller voir où c'en est. Je déteste y aller pour rien. Je m'arrange, je dois l'avouer, à y aller voir lorsque, à toute évidence, le temps de cuisson est bien dépassé. Je n'aime pas les mauvaises surprises.
Là, tout va très vite. Je prends une passoire, j'égoutte les pâtes, je les mets dans une assiette, je prends une fourchette et je vais les manger.
Ce soir, j'ai même fait une photo du truc.

pates

jeudi 11 mai 2006

Bouge tes pâtes !

Ce soir (burp) j'ai englouti une assiette de pâtes à la carbonara, je vous dis pas !

Tout le monde le sait ou alors, il serait bien avisé de le savoir. Je nourris une réelle passion pour les pâtes. Je ne suis en rien d'origine italienne, je ne suis certainement pas ce que l'on peut appeler un "fin gourmet", mais néanmoins, je prends un certain plaisir à me sustenter lorsque la faim arrive.
Ne faisant, en tout et pour tout (et sauf cas particulier), qu'un repas par jour (celui du soir), vous comprendrez aisément que ce dernier (pas mon dernier repas, hein ! ) a pour moi une importance quasiment vitale (voire mystique).
Ce soir, donc, j'avais un fond de pot de crème fraîche, des lardons, un oeuf (plus très frais, je pense) et du fromage rapé (et légèrement odorant).
Qu'auriez-vous fait à ma place ? J'en vois au fond qui, d'un air goguenard, me conseille de jeter le tout et de m'en aller soit au restaurant le plus proche soit à la cabane à pizza de Thenon. Baste ! Suis-je si riche que je pourrais me nourrir de mets raffinés ? Certes non !
Ainsi donc, et n'écoutant que mon courage (ainsi que les conseils de quelques bons amis d'un groupe de nouvelles), je me suis mis en tête de me concocter un délicieux plat de pâtes à la carbonara. J'ai fait chauffer de l'eau dans une casserole, j'ai jeté des pâtes crues dans l'eau lorsque ça c'est mis à bouillir, et puis j'ai commencé à faire revenir les lardons (plus très frais non plus, tiens, eux) dans un récipient allant au feu. Bon. Là, je me rends compte qu'il fallait mettre du sel dans l'eau des pâtes. J'en mets. Combien faut en mettre ? Merde ! Ah oui... 10 grammes de sel pour 1 litre d'eau et 100 grammes de pâtes (merci Boumbah!)... Bon... Il est trop tard pour peser et mesurer tout ça. Je le fais "comme je le sens".
Il me semble que le feu est un peu trop fort sous les lardons. Je baisse le feu. Je gère la situation. Ah ! L'oeuf et la crème fraîche ? Qu'est-ce qu'il fallait faire de tout ça ? Mince ! Je vais consulter mes notes... Oui. Bon. Séparer le jaune du blanc de l'oeuf... C'est pas simple. Le jaune crève et se répand en partie dans l'évier. Pas grave, je conserve ce qu'il reste et je mélange avec le blanc. Ça fera moins de couleur, c'est tout. Je mets la crème fraîche dans un bol. Elle me semble correcte, finalement. L'oeuf par dessus. Je mélange.
Quelques minutes plus tard
Les lardons sont cuits. Enfin carbonisés, plutôt... Ce doit être l'origine du nom du plat. Pas grave. Les pâtes sont, comme d'habitude, trop cuites. Molles, gonflées d'eau. Pas grave non plus. Je passe les pâtes dans une passoire. Je mets les pâtes dans une assiette, les lardons et le mélange d'oeuf et de crème fraîche par dessus. Ça me semble correct.
Je commence à manger. C'est pas mauvais. Pas excellent mais ça se mange tant et si bien que j'attends d'avoir fini la moitié de l'assiette pour m'apercevoir que j'ai fait l'impasse sur le fromage rapé. Zut !
Je vais chercher le fromage et j'en mets partout (et un peu dans l'assiette tout de même). Je goûte. C'est moins bon. Tant pis. Je finis l'assiette néanmoins.
Après, j'avais plus faim. Je suis allé mettre l'assiette, la fourchette et le verre dans l'évier. Je ferai la vaisselle ce week-end, peut-être.

PS J'ai eu, un moment, l'idée de faire une photo du plat en question et après, j'ai oublié. La prochaine fois, promis !

mardi 2 mai 2006

Côte de porc...

Vous ouvrez votre réfrigérateur, vous y rencontrez une côte de porc que vous aviez un peu oublié. Vous vous demandiez ce que vous alliez manger, vous le savez, maintenant !

C'est la magie des soirées réussies. Vous attrapez une poele, vous y foutez un peu d'huile, vous allumez le feu dessous, vous prenez la côte de porc entre deux doigts circonspects et vous la jetez dans l'huile encore froide. La moitié du boulot est fait. Il vous faudra la retourner à un moment ou à un autre...
Puisque vous y êtes, à cuisiner, vous prenez la casserole et vous faites chauffer de l'eau pour les pâtes.
Bon appétit, les amis !

vendredi 28 avril 2006

Au menu ce soir

Ce soir, je sors le grand jeu.

Des pommes vapeur et des rollmops ! Qui c'est qui va se régaler ? C'est bibi !

lundi 24 avril 2006

Nouilles

Comment les faire bien cuire ?

Vous avez des conseils ?

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