Peste

dimanche 28 juin 2015

La Peste, elle n'est pas de chez nous

La Peste, elle vient d'ailleurs

mercredi 17 juin 2015

La Peste, elle découvre l'électricité nucléaire

La Peste, elle invente le lobby nucléaire

lundi 15 juin 2015

La Peste, elle trouve que c'était mieux hier

Hier, j'ai eu l'occasion de regarder quelques uns de mes anciens dessins. J'en ai déduit qu'ils étaient bien meilleurs que ceux actuels et ça n'a pas manqué de me plonger dans une sorte de perplexité inconfortable. Que s'est-il passé pour que j'en arrive là ? Normalement, du moins jusqu'à un certain point, je pensais naïvement que le temps conduisait nécessairement vers une amélioration. Il n'en est rien, donc.

Les "très" vieux dessins de moi, je ne peux plus les voir. Je les trouve réellement horribles. Durant de nombreuses années, j'ai vraiment eu le sentiment que je devenais de plus en plus habile, que mon trait s'affinait, devenait plus sûr. Et là, depuis quelques années, c'est comme si je régressais inexorablement. C'était mieux hier, comme on dit quand on n'a rien d'autre à dire que des conneries.
Si je ne dis pas que nous vivons la plus fantastique des époques, je dis que je ne regrette aucune de celles que j'ai connues. Je vis dans mon temps, sans regretter le passé et sans espérer de l'avenir. Je vis le temps présent avec un aujourd'hui chaque jour. Carpe diem et tout ce bazar, ce n'est pas vraiment nouveau. Ceci étant dit, je ne peux pas fermer les yeux sur le passé et sur l'expérience qu'il génère. Ça m'a déplu d'avoir eu l'impression de moins bien dessiner qu'il y a quelques années. Maintenant que ceci est compris et constaté, c'est à moi de me reprendre en main et de m'appliquer à retrouver le goût pour le dessin. Parce que, au fond, je ne vois pas d'autre explication que celle-ci. J'ai perdu l'envie de dessiner. Je me demande s'il faut batailler, s'il est utile de chercher à dessiner si je n'ai pas le désir de le faire. Dans l'idée, bien sûr, j'aime dessiner. Pas tout le temps mais lorsque ça me prend, j'aime bien. C'est un peu par périodes. Hier, j'ai aimé dessiner. J'ai réalisé quatre dessins que j'ai terminé d'encrer ce matin. L'un de ces dessins est celui que je vous propose aujourd'hui sur le thème, justement, du passé.

La Peste, elle est passéiste

vendredi 12 juin 2015

La Peste, elle y va pas mollo

La Peste, elle pilote

jeudi 11 juin 2015

La Peste, elle est créationniste

La Peste, elle regrette

jeudi 28 mai 2015

La Peste, elle ment comme un arracheur de dents

La Peste, elle pratique la dentisterie

vendredi 22 mai 2015

La Peste, elle crée le dodécaphonisme atonal

La Peste à l'avant-garde musicale

mercredi 13 mai 2015

La Peste, elle invente une machine qui sert à que dalle

La Peste, elle pollue

mercredi 29 avril 2015

La Peste, elle est papa poule

La joie d'être parent

lundi 27 avril 2015

La Peste, elle invente le supplice de la roue

La Peste et la roue

lundi 30 mars 2015

La Peste, elle se promène au fil de l'eau

La Peste, elle vogue au fil de l'eau

vendredi 6 mars 2015

La Peste, elle recoud comme elle peut

La Peste, elle recolle les morceaux

vendredi 27 février 2015

La Peste, elle coupe la poire en deux

La Peste, elle coupe la poire en deux

vendredi 20 février 2015

La Peste, elle relativise

La Peste, elle relativise

mercredi 18 février 2015

La Peste, elle écoute de la musique de drogués

La Peste, elle écoute de la musique de drogués

vendredi 6 février 2015

La Peste, elle a tué Couik

Ah là, pour le coup, c'est pas une affaire qui concerne les plus jeunes. Couik est un oiseau préhistorique né de la main de Kamb et qui était présent dans le premier numéro de Pif Gadget. Ça ne nous rajeunit pas. Figurez-vous que Kamb, le père de Couik et aussi de Dicentim est décédé cette nuit dernière. Il était né en 1933.

La Peste, elle rend hommage à Kamb

mardi 9 décembre 2014

La Peste, elle vote Royal

Alors que je peine à maintenir un semblant de chaleur en mon logis en enfournant dans l'âtre des quantités pharamineuses de bûches neuves issues en droite ligne des bois périgourdins peuplés de frêles chênes centenaires maigres comme des clous, j'entends Ségolène Royal, ci-devant ministre de l'écologie, déclarer qu'elle souhaite revenir sur l'interdiction des feux de cheminée en foyer ouvert en région parisienne. Dès l'annonce faite, les écologistes de tous poils sont vent debout[1] et affirme derechef que les feux de cheminée polluent abominablement et qu'ils sont la garantie des pires maladies, des pires problèmes respiratoires, pire que les moteurs Diesel[2]. Et donc, moi, pauvre Périgourdin qui a décidé d'expérimenter le chauffage au bois en foyer ouvert pour quelque temps et qui se pèle le cul chaque matin, j'en arrive à me demander qui, à Paris, peu avoir l'idée saugrenue de se chauffer au bois dans une cheminée à foyer ouvert. Ce que je veux dire, c'est qu'il ne doit pas y avoir tant de Parisiens qui n'ont pas d'autre moyen de chauffage et que cette décision d'interdire le chauffage au bois en foyer ouvert n'aurait concerné que peu de personnes, finalement. Sans compter que je me demande un peu comment on allait pouvoir faire pour contrôler tout ça. Enfin bref, les écolos m'emmerdent et me font chier.
PS. Après vérification, l'interdiction du chauffage au bois concernerait tous les modes de chauffages au bois, poêles, cheminées, inserts... Les écolos me font vraiment chier.

La Peste, elle veut pas se geler les couilles

Notes

[1] Je place cette expression pour me moquer des abrutis de journalistes qui l'utilisent à peu de frais et à tort et à travers à longueur de rubrique creuse

[2] Moteurs qui seront interdits de cité à partir de 2020 dans la capitale. J'ai conscience que dire "interdit de cité" et nommer une ville dans la même phrase relève du pléonasme honteux.

samedi 18 octobre 2014

La Peste, elle s'envoie en l'air

Vroum !

La Peste, elle s'envoie en l'air

Vroum !

La Peste, elle s'envoie en l'air

Vroum !

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