Je confirme, un bel endroit accueillant, des personnes agréables, un peu de vin sur une bonne table et se balader avec des motos d’un autre temps, voici une bonne recette pour déguster un petit morceau de bonheur.
J'avions la même, en rouge, poum poum sympa... mais après 3000 km, bloqué au milieu de la Beauce.. les 2 pieds sur le kick... rien ne bougeait ! pourtant y'avait de l'huile.. comprend pas !
Sanglas, et sans eau...
Ouais! Une vulgaire copie de moto japonaise, avec son démarreur électrique pour les minets et ses habillages en plastoc pompés sur la Yam 500 XS.
Heureusement qu'il y a un bas-moteur de 500 Terrot RGST pour nous rappeler que le moulin a été conçu en 1930.
@Le prof Turbled : Rhooo, mais que dites-vous là ?
Monsieur prof, vous nous aviez habitués à des réflexions plus subtiles que celle-ci.
Nous comptons sur Liaan pour combler vos lacunes sur cette marque catalane et notamment sur ce magnifique frein sous licence Sanglas que les jap-nez ont copié plus tard
@Le prof Turbled : Cher Professeur,
il me semble que vous n'avez pas succombé à cette sieste réparatrice qui convient à nos âges bientôt canoniques. Vous auriez dû. Cela vous aurait évité de sortir toutes ces énormités, qui, comme le souligne nono, ne vous siéent pas.
Mais, je pense qu'il s'agit là d'une simple provocation, sachant que je serais automatiquement dans les parages.
@nono :
Tiens! je pensais que c'était une marque espagnole? Pour les freins in-board, copiés sans doute, mais probablement qu'en fouillant un peu, on découvrira qu'ils existent depuis 1902, comme la majorité des technologies utilisées sur nos pétoires.
@Michel : Rien d'aussi réussi que les Campagnolo coniques qui équipaient les 250 et 350 Harley-Aermacchi GP de Villa et Rougerie. Et ceux de la Honda 500 VTE, postérieure il est vrai, n'étaient pas mal non plus. Mais c'est beau quand même.
@Liaan :
Sans doute, mais n'empêche, ce chant du cygne ibère essaie de prendre le train en marche. Une tentative de Remontada!
Pour les zénormités, cher Maître, je suis sous influence.
@Michel : A vrai dire, je ne saurais vous dire qui de Luchier ou de Sanglas a eu l’idée le premier, toujours est-il que c’est Sanglas qui l’a monté en série sur ses machines bien avant les jap-nez , Luchier ne faisant que vendre ses freins sans rien autour (et avouez qu’un frein tout seul sans moto autour, ça ne sert pas à grand-chose, mis à part une jolie sculpture à poser sur la cheminée)
@Le prof Turbled : On peut en effet penser que la Catalogne se situe en Espagne, ou que l’Espagne est frontalière du pays catalan, de nos jours on est plus sûr de rien.
Pour ce qui est du frein « in-board » seul Liann pourrait en déterminer l’origine
@nono : Ho, ne me prenez pas pour un roi de la mécanique, ni un historien. C'est bien sympathique de votre part, certes.
Un des liens sur ce frein Luchier trouvé sur le net, ici. Histoire de causer, et de faire causer...
Je viens de faire le tour des freins type Luchier. Il y a quand même des différences, même si l'idée générale est de diminuer les masses non suspendues. Le système Sanglas, avec deux pistons en vis-à-vis est simple et séduisant. Le Luchier fait plus "usine à gaz", et c'est celui qui propose la plus grande surface de friction, puisque les "plaquettes" sont aussi grande que le disque. Mais ça doit chauffer dur.
Le Honda semble être le plus abouti, avec les deux pistons jumelés derrière les tubes de fourche, pour abaisser le centre de gravité au maximum et favoriser la maniabilité, et un refroidissement mahousse.
Quand aux Campagnolo, tout magnésium, avec piste conique, pour en augmenter la surface, c'est du matos rital de compète, qui ne déparerait pas dans le coffre à bijoux de ta danseuse préférée, et qui souffrait lui aussi de surchauffe (fading).
Toute façon, ça n'a pas pris. Le plus gros défaut, à mon sens, c'est l'entretien.
le dépoussiérage, idem les tambours, et le démontage de la roue pour changer les plaquettes. Avec les disques, c'est bien plus facile, et en plus ça freine fort quand même.
Y a quand même Beringer qui en fabrique de superbes, avec les disques à l'air libre, ce qui doit bien améliorer les choses, et c'est français, môssieur!
Trouvé sur le net, ça, sur ce site :
''Luchier, indépendant qui fabriqua un frein adaptable sur différentes motos : Son système, inspiré des freins utilisés en aviation, s'apparentait à un embrayage : Les mâchoires de frein étant circulaires, en forme de disques, venaient en contact avec les parois (les flasques) du tambour et non avec sa circonférence. Ce qui présentait, à diamètre de frein inférieur (donc plus léger), une surface de freinage supérieure.
Pourquoi ce système n'a-t-il pas connu le succès ? Personne n'a vraiment la réponse ...''
1 De Adhémar Pamamob - 16/04/2018, 10:53
Tention à l'orgasme, Negrit'man!
2 De Michel - 16/04/2018, 10:54
@Adhémar Pamamob : A son âge, aucun danger.
3 De Tournesol - 16/04/2018, 11:20
La moto ne me fait pas rêver,mais l’ambiance,si.Ça a l’air super sympa.
4 De nono - 16/04/2018, 11:50
Je confirme, un bel endroit accueillant, des personnes agréables, un peu de vin sur une bonne table et se balader avec des motos d’un autre temps, voici une bonne recette pour déguster un petit morceau de bonheur.
5 De jojo - 16/04/2018, 13:29
J'avions la même, en rouge, poum poum sympa... mais après 3000 km, bloqué au milieu de la Beauce.. les 2 pieds sur le kick... rien ne bougeait ! pourtant y'avait de l'huile.. comprend pas !
6 De Le prof Turbled - 16/04/2018, 13:33
Sanglas, et sans eau...
Ouais! Une vulgaire copie de moto japonaise, avec son démarreur électrique pour les minets et ses habillages en plastoc pompés sur la Yam 500 XS.
Heureusement qu'il y a un bas-moteur de 500 Terrot RGST pour nous rappeler que le moulin a été conçu en 1930.
7 De nono - 16/04/2018, 14:03
@Le prof Turbled : Rhooo, mais que dites-vous là ?
Monsieur prof, vous nous aviez habitués à des réflexions plus subtiles que celle-ci.
Nous comptons sur Liaan pour combler vos lacunes sur cette marque catalane et notamment sur ce magnifique frein sous licence Sanglas que les jap-nez ont copié plus tard
8 De Michel - 16/04/2018, 14:09
@nono : Sous licence Luchier plutôt, non ?
9 De Liaan - 16/04/2018, 14:22
Rhâââââââââ... Lovely.
Enfin quelque chose de beau et d'efficace !
10 De Liaan - 16/04/2018, 14:41
@Le prof Turbled : Cher Professeur,
il me semble que vous n'avez pas succombé à cette sieste réparatrice qui convient à nos âges bientôt canoniques. Vous auriez dû. Cela vous aurait évité de sortir toutes ces énormités, qui, comme le souligne nono, ne vous siéent pas.
Mais, je pense qu'il s'agit là d'une simple provocation, sachant que je serais automatiquement dans les parages.
11 De Le prof Turbled - 16/04/2018, 16:10
@nono :
Tiens! je pensais que c'était une marque espagnole? Pour les freins , copiés sans doute, mais probablement qu'en fouillant un peu, on découvrira qu'ils existent depuis 1902, comme la majorité des technologies utilisées sur nos pétoires.
@Michel : Rien d'aussi réussi que les Campagnolo coniques qui équipaient les 250 et 350 Harley-Aermacchi GP de Villa et Rougerie. Et ceux de la Honda 500 VTE, postérieure il est vrai, n'étaient pas mal non plus. Mais c'est beau quand même.
@Liaan :
Sans doute, mais n'empêche, ce essaie de prendre le train en marche. Une tentative de
Pour les zénormités, cher Maître, je suis sous influence.
12 De nono - 16/04/2018, 17:39
@Michel : A vrai dire, je ne saurais vous dire qui de Luchier ou de Sanglas a eu l’idée le premier, toujours est-il que c’est Sanglas qui l’a monté en série sur ses machines bien avant les jap-nez , Luchier ne faisant que vendre ses freins sans rien autour (et avouez qu’un frein tout seul sans moto autour, ça ne sert pas à grand-chose, mis à part une jolie sculpture à poser sur la cheminée)
13 De nono - 16/04/2018, 17:53
@Le prof Turbled : On peut en effet penser que la Catalogne se situe en Espagne, ou que l’Espagne est frontalière du pays catalan, de nos jours on est plus sûr de rien.
Pour ce qui est du frein « in-board » seul Liann pourrait en déterminer l’origine
14 De Le prof Turbled - 16/04/2018, 18:20
@nono :
C'est le seul qui était né en 1902, vous voulez dire?
15 De Liaan - 16/04/2018, 18:51
@nono : Ho, ne me prenez pas pour un roi de la mécanique, ni un historien. C'est bien sympathique de votre part, certes.
Un des liens sur ce frein Luchier trouvé sur le net, ici. Histoire de causer, et de faire causer...
16 De Le prof Turbled - 16/04/2018, 19:03
Je viens de faire le tour des freins type Luchier. Il y a quand même des différences, même si l'idée générale est de diminuer les masses non suspendues. Le système Sanglas, avec deux pistons en vis-à-vis est simple et séduisant. Le Luchier fait plus "usine à gaz", et c'est celui qui propose la plus grande surface de friction, puisque les "plaquettes" sont aussi grande que le disque. Mais ça doit chauffer dur.
Le Honda semble être le plus abouti, avec les deux pistons jumelés derrière les tubes de fourche, pour abaisser le centre de gravité au maximum et favoriser la maniabilité, et un refroidissement mahousse.
Quand aux Campagnolo, tout magnésium, avec piste conique, pour en augmenter la surface, c'est du matos rital de compète, qui ne déparerait pas dans le coffre à bijoux de ta danseuse préférée, et qui souffrait lui aussi de surchauffe (fading).
Toute façon, ça n'a pas pris. Le plus gros défaut, à mon sens, c'est l'entretien.
le dépoussiérage, idem les tambours, et le démontage de la roue pour changer les plaquettes. Avec les disques, c'est bien plus facile, et en plus ça freine fort quand même.
Y a quand même Beringer qui en fabrique de superbes, avec les disques à l'air libre, ce qui doit bien améliorer les choses, et c'est français, môssieur!
17 De nono - 16/04/2018, 19:33
@Liaan : Allons allons, trêve de modestie, vous en connaissez un rayon au sujet des deux roues à moteur.
18 De Liaan - 16/04/2018, 19:57
Trouvé sur le net, ça, sur ce site :
''Luchier, indépendant qui fabriqua un frein adaptable sur différentes motos : Son système, inspiré des freins utilisés en aviation, s'apparentait à un embrayage : Les mâchoires de frein étant circulaires, en forme de disques, venaient en contact avec les parois (les flasques) du tambour et non avec sa circonférence. Ce qui présentait, à diamètre de frein inférieur (donc plus léger), une surface de freinage supérieure.
Pourquoi ce système n'a-t-il pas connu le succès ? Personne n'a vraiment la réponse ...''
19 De Tournesol - 16/04/2018, 20:22
Ah,non,moi,si,je sais: c’est parce qu’il était voué à l’échce!
Ou peut être une malédiction vaudou?
20 De Liaan - 16/04/2018, 20:33
@Tournesol :
Votre clavier, ou plutôt vos doigts sont maudits.
Simplement parce que les freins à disques ont fait d'énormes progrès ?
21 De Tournesol - 16/04/2018, 21:42
@Liaan : possible.Je ne sais rien des coûts de fabrication,qui sont aussi un facteur de choix pour les industriels...
22 De fifi - 16/04/2018, 22:06
" Il est urgent de mettre un frein à l'immobilisme ". Coluche.