Ne reculant devant rien, le Blog qui nuit (très) grave ! n'a pas hésité à se rendre aux confins de l'espace-temps pour rencontrer le Créateur à l'instant même où il mettait la dernière main à son œuvre, la création de moi. Nous avons eu l'honneur de nous voir accorder une courte entrevue fort instructive qui explique bien des chose et, notamment, le pourquoi du repos le septième jour. "J'ai peut-être fait une connerie divine en inventant le Neg'ita", nous confiait dieu, penaud et embarrassé. C'est avec une émotion réelle que nous avons pu assister en direct à notre création et nous avons pu constater combien dieu était fier et content de nous avoir si parfaitement réussi. Nous avons été agréablement surpris par la gentillesse et la bonhommie de dieu, par sa disponibilité — "Vous savez, j'ai tout mon temps", nous précisa-t-il — et par son enthousiasme. Nous lui avons demandé quels étaient ses futurs projets. Dieu nous expliqua qu'il n'avait pas d'idée bien précise, qu'il allait se contenter de regarder son univers vivre sa vie pendant quelques milliards d'années et qu'il passera à autre chose lorsque cela commencera à trop l'ennuyer. Avant de nous quitter, nous eûmes droit à une bonne lampée de Neg'ita et nous pouvons vous assurer que nous avons eu bien de la chance de ne pas croiser les forces de l'ordre lors de notre trajet retour.
9 réactions
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1 De Liaan - 26/12/2016, 17:31
Contrairement au Père Noël, le Père dieu n'a pas de bénard, mais une simple houppelande bien seyante, qui lui laisse le loisir de pouvoir lâcher quelques prouts bien agréables pour son saint bedon, ni de bottes, ce qui lui permettent de rester les doigt de pied bien écartés, un genre de bonheur, en quelque sorte. Le Nég'ita (béni-soit-il) lui donne cet aspect très zen.
Remarque : il y a donc aussi des képis sur le chemin du ciel, une sorte d'anges de la route, en quelque sorte. Sur la chemin de l'enfer, y'en a aussi, des anges, ce ne sont pas vraiment les mêmes, leurs bécanes sont bien différentes et plus rigolotes, elles font plus de bazar.
2 De fifi - 26/12/2016, 18:56
@Liaan : D'où les vapeurs qui s'échappent de la casserole : la part des anges ..de( l'an fer).
3 De Liaan - 26/12/2016, 20:10
@fifi : Vous êtes poète, M'sieur Fifi.
La route de l'an fer est pavée : ça doit se situer dans eul' ch'nord.
4 De fifi - 26/12/2016, 20:24
@Liaan : L'An fer ce situe après l'âge de Pierre et bien avant l'âge d'Emile.
( Je délire, vous imaginez si je picolais encore.)
5 De fifi - 26/12/2016, 20:25
"L' An d'Emile ": abruti de fifi.
6 De fifi - 26/12/2016, 20:40
Tiens, en parlant de religion, il y a six ans environ, j'avais écrit où(j'avais) on m'avait obligé à faire ma communion, une horreur que je n'avais jamais accepté, bon, y a six ans, je demande à ne plus faire partie de leurs conneries ( je ne me souviens plus, MAIS, ça ne devait pas être une demande très sympathique ). J'ai récidivé, et j'ai eu une réponse à ma demande d'apostasie avant la nouëlle, glups ! Ils ont du s'empaler sur un pascal ... putain que c'est jouissif!
7 De Liaan - 26/12/2016, 21:04
@fifi : "Sacré" Fifi !
Parler de Pascal pour un bouffe-curé !
Rappelons à nos lecteurs qu'un Pascal, ce n'est pas dans ce cas ci, le billet de deux-cents balles de dans l'temps (je crois que c'était 200, peut-être 500, je sais plus, Sax/Cat dit Le Pointilleux nous renseignera plus), mais dans le cas présent un cierge d'une certaine taille. Faut en avoir fréquenté des églises pour connaître ça.
Hu hu hu !
8 De fifi - 26/12/2016, 22:01
@Liaan : Avec un pote, j'avais voulu taxer un pascal dans la sacristie où nous étions introduit, mon but était de l'emporter à la maison, ( en cachette de ma mère ), de creuser la paraffine, y introduire un pétard, les deux mèches se rejoignant, puis cacher le tout en refondant la cire et bien entendu remettre ce cierge en place. Mon pote s'étant dégonflé, nous sommes montés dans le clocher, et retirer le bourdon de la cloche, je ne sais pas si il y en a un de vous qui a déjà vu la sangle en cuir qui retient le bourdon à la cloche, je peux vous dire que , lorsque vous êtes gamin et qu'il faut soulever cette masse à bout de bras tout en essayant de dessangler cette énorme boucle de ceinture dont le cuir est sec comme y a pas, sans faire tinter s'te putain cloche en se cognant la courge dedans, je peux vous dire qu'il ne faut pas être fainéant, pour finir, le bourdon, nous l'avons planqué au plus haut où nous avions pu monter dans le clocher .......................... putain que ça a fait du bruit : je m'en marre encore.
9 De Liaan - 27/12/2016, 07:00
@fifi : Bandes de mécréants galopins !