Faudrait jamais faire ça

J'avais perdu une feuille de papier. C'était ennuyeux parce que sur cette feuille, il y avait écrit du texte qui devait m'être utile pour un travail en cours. Les informations, je ne pouvais pas les inventer parce que, dans le cadre de ce travail, il est question d'être en accord avec une certaine idée de la vérité vraie. J'étais dans l'embarras.
Ce matin, je me dis que, tout de même, il est bien étonnant qu'une personne aussi ordonnée que moi puisse égarer un document aussi précieux et je me mets à attraper une grosse pile de papiers divers à moitié effondrée au sol pour y chercher le papier. En cours d'examen, voilà que je tombe sur quelques vieux dessins et que je souris à certains d'eux. Plus curieux et troublant encore, voilà que je me dis que ces dessins sont d'une bonne facture. Je me fais alors la réflexion que je serais aujourd'hui bien incapable de réussir un dessin à ce point. Je sens mon moral dégringoler bas dans les étages de conscience et ma volonté m'intime l'ordre de réagir et de ne pas me laisser abattre. Un coup de talon salvateur plus tard, je suis à la table, une feuille de papier posée devant moi, un crayon à la main.
Pour la feuille si importante, on verra plus tard.

Je gomme les traits de crayon et à ce stade je considère l'encrage comme terminé. Maintenant, je peux tenter une mise en couleurs mais là, ça va se passer sur l'ordinateur.

Voilà voilà voilà

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