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mardi 5 septembre 2017

Modernisation et sécurité

C'est par un courrier distribué aux habitants de la commune que nous apprenons que la modernité arrive à Azerat. On nous prévient de ce que, à compter du 1er septembre de cette année, nous devons mener nos déchets ménagers à des bornes enterrées disposées à cette intention en deux points de la commune.

Modernisation et sécuritéSi c'est par modernisme, on ne peut qu'applaudir l'initiative qui, enfin, permet à cette modeste commune qu'est Azerat de pouvoir jouer à arme égale avec les plus grandes métropoles de France. Nous sommes désormais à pied d'égalité avec Paris et Pézenas et avons les moyens de traiter nos ordures la tête haute, avec une fierté légitime et bien compréhensible.

Passons sur l'apparence du courrier distribué. Il y a de la couleur, on note l'effort fait pour le présenter bien, mais tout son intérêt réside dans son contenu. Ainsi, on nous avertit que ces bornes enterrées seront « le seul mode de collecte à compter du 1er septembre 2017 ». Or, il se trouve que nous y sommes et que la date est même dépassée de plusieurs jours. Demain matin, normalement, dès l'aube, le camion passera par Azerat pour collecter les ordures ménagères de tout un chacun. Et que va-t-il donc se passer ? Rien. A priori les agents et le camion repartiront gros jean comme devant, bredouilles, à vide. Ils se seront déplacés en pure perte et pourquoi ? Hein ? On se le demande bien.

Le souci est que si les bornes sont bien présentes elles ne semblent pas avoir été installées complètement. De fait, des barrières en interdisent l'accès et le citoyen soucieux de bien faire que je suis se trouve dans un embarras inconfortable. Que vais-je donc faire de mon petit sac poubelle de 30 litres, moi ? Prends-je le risque de le déposer en bord de route comme je le fais depuis une quinzaine d'années ? Le conserve-je par devers moi dans l'attente de jours meilleurs ? Dois-je espérer un prochain courrier de la mairie apportant un complément d'information ? Je ne sais.

Bac à ordures

mercredi 23 août 2017

Sortie de crise

Ça commençait à me brouter les couilles gentiment. J'ai pris le problème par les cornes et j'ai tenté une méthode audacieuse et peu orthodoxe qui a le mérite d'avoir été fonctionnelle et efficiente. C'est le résultat qui compte après tout.
Après une courte interruption d'à peine une minute qui sera, je le pense, passée inaperçue, le blog présent est passé de PostgreSQL à MySQLi. C'est qu'il faut pas trop m'emmerder, non plus. Le problème étant réglé, la question de la fin du blog peut être considérée comme évacuée. Si cela ne signifie nullement qu'il vivra de toute éternité, il existe une certaine garantie pour qu'il perdure après le mois de septembre prochain.

Demain, je ne serai pas présent et à moins que je me décide aujourd'hui à vous préparer un truc, il n'y aura pas de billet ce jeudi.

mardi 2 mai 2017

Pas de feuilleton

Je n'ai toujours pas la réponse à ma question. J'ai plusieurs questions mais chaque chose en son temps. D'abord celle qui me préoccupe ces temps-ci. On passera aux autres après. Une de ces questions, c'est de savoir si je dois laisser mourir ce blog de sa belle mort, si je dois le laisser s'éteindre comme le fait une bougie lorsqu'elle n'a plus rien à brûler. Ce ne serait pas bien grave. On s'en remettrait tous. Je pourrais même le laisser en l'état, consultable pour quelque temps. Ou alors, je pourrais aussi le laisser uniquement pour le feuilleton en bandes dessinées... jusqu'à ce qu'arrive le dernier épisode, quoi, je veux dire. Et tant pis si Liaan ne souhaite pas aller jusqu'au bout.
J'ai une question qui me tarabuste. Je commence à y voir un peu plus clair et je pense que la réponse va arriver dans les jours à venir. Cette réponse n'influera pas sur l'avenir du blog. Ce sont deux choses totalement indépendantes. Ce qu'il se passe avec le blog, c'est que je n'ai plus grand chose à y dire ou à y montrer. Enfin pour le moment. Peut-être que ça pourrait revenir, l'envie de m'occuper de lui. Tout est possible. Donc, dans un premier temps, je continue à réfléchir à ma question principale et je m'occuperai de l'avenir de ce blog par la suite.

samedi 22 avril 2017

Faire le plein d'encre

Il me fallait acheter de l'encre de chine. C'est un produit dont je fais une consommation relativement importante. Plusieurs marques en proposent, il en est des réputées et d'autres. Selon l'enseigne, on ne trouve pas forcément ce que l'on cherche. L'autre jour, je profite de mon passage par la ville pour aller faire emplette d'un flacon d'encre. J'ai le choix entre de la Talens que j'ai déjà essayée et qui ne m'a pas convaincu et une Sennelier qui est une marque connue. Je ne me souviens pas avoir déjà utilisé cette encre et porte mon choix sur elle, en partie pour cette raison.
Ce matin, j'étrenne ce nouveau flacon pour l'encrage d'un dessin. " Qu'est-ce que c'est que cette encre ? " me questionne-je sans chercher à cacher mon mécontentement. Une encre qui couvre mal et qui sèche trop vite aux poils du pinceau et faisant comme des petits grains, voilà qui ne me satisfait pas du tout. Mais alors, pas du tout du tout, même ! Je suis mécontent, presque en colère. C'est qu'en plus de ne pas permettre un bel aspect de l'encrage, c'est un coup à vous pourrir le pinceau à toute vitesse, cette affaire !
Cet après-midi, me souvenant qu'il me fallait produire un truc pour ce blog, je cherche à en avoir le cœur net et, armé d'un vieux pinceau, je m'attaque à l'encrage d'un dessin sans queue ni tête crayonné juste pour l'exercice. C'est légèrement catastrophique. Je m'y attendais. Par trois fois j'ai dû aller laver le pinceau qui devenait inutilisable, ses poils comme englués en un toupet incontrôlable. Ce n'est pas que je compte l'eau nécessaire à l'entretien de cet outil poilu mais ça m'agace. A la condition de fragmenter l'encrage en plusieurs séances, le résultat n'est pas si mauvais. D'autant plus que j'ai utilisé un pinceau qui ne craint plus rien. Ce qui est énervant, c'est que je vais devoir me coltiner cette saloperie d'encre pendant facilement deux mois. Ainsi va la vie.

dessin-pourri.jpg

vendredi 27 janvier 2017

Aujourd'hui avec pas grand chose

Je n'ai pas envie de faire quelque chose pour aujourd'hui. C'est comme ça et c'est irrévocable.

dimanche 11 décembre 2016

Trop tard pour aujourd'hui

On verra ça demain.

samedi 22 octobre 2016

Pour faire court

chut

mercredi 19 octobre 2016

Absence

Le blog sera de retour ce vendredi, je pense.

lundi 10 octobre 2016

Pas grand chose ou si peu

J'ai été absent toute la journée. Je rentre et je n'ai rien à vous proposer qui soit prêt. Je n'ai pas envie de démarrer un ordinateur pour préparer une photo parmi les quelques unes que j'ai faites ce week-end. Je n'ai pas plus envie de démarrer le serveur pour y piocher un petit quelque chose qui pourrait faire l'affaire.
Ce matin, lorsque je me suis préparé à partir, le pare-brise était couvert de givre. J'ai dû le gratter pour au moins percevoir où j'allais poser les pneus. Mais bon, cette première gelée de la saison n'allait pas entamer ma détermination et c'est plein d'allant que j'allai. Il s'agissait pour moi de terminer l'installation d'un ordinateur et de finir le transfert de données d'un poste vers un autre. C'est fou le temps que ça peut prendre, ce genre d'opération. Il était aussi question de faire fonctionner quelques périphériques et ça s'est fait sans trop de mal.
En rentrant, tout à l'heure, j'ai suivi une voiture, une Peugeot 206, et j'aurais bien aimé ne pas avoir à le faire. Ce n'est pas tant que je n'aime pas ce modèle d'automobile, le fait est que je n'ai aucun intérêt pour les 206, mais plutôt que le conducteur était du genre crispant. J'étais avec une automobile elle aussi de marque Peugeot qui ne permet que très rarement d'envisager un dépassement dans de bonnes conditions. Le bon côté est qu'elle est souveraine pour échapper aux contrôles de vitesse. Et donc, notre conducteur à la 206 se traînait à un petit 70km/h avant d'accélérer au moindre petit bout de ligne droite pour sauter sur les freins à l'approche d'un virage et de le négocier sur les freins à moins de 50km/h pour certains. Je vous assure que ce sont là des virages qui se prennent sans mal à bien plus vive allure, à des allures strictement interdites, même. Mais bon. J'ai pris mon mal en patience en espérant juste qu'il allait bifurquer, s'arrêter, partir au fossé. Il n'en fut rien et je dus le subir jusqu'à Azerat. Parfois, je me demande comment certaines personnes ont appris à conduire et combien elles ont payé leur permis. Parce que je n'imagine pas un instant qu'un inspecteur ait pu délivrer le permis à semblable chauffard, même bourré.

Donc, alors que la journée est en train de toucher à sa fin, je vais m'arrêter là en vous promettant de faire mieux demain.

mardi 24 mai 2016

C'est à craindre

Il est fort probable qu'il n'y aura rien sur le blog aujourd'hui. A demain !

samedi 9 avril 2016

Aujourd'hui, pas de billet

Et c'est bien tout ce que l'on pourra noter d'important pour cette journée. Toutefois, vous êtes libre de me faire mentir et de me raconter en quoi ce samedi aura été une journée à marquer d'une pierre blanche.

dimanche 31 janvier 2016

Relâche

J'ai passé la journée à bosser sur plein de projets avec un client-partenaire-associé-possible escroc et je n'ai pas envie de réfléchir à vous proposer quelque chose aujourd'hui. Désolé.

vendredi 6 novembre 2015

Bien que je ne sois tenu par nulle obligation

Un peu parce que je suis enrhumé, et beaucoup simplement parce que j'ai la flemme et que je n'ai rien préparé, il n'y a pas de "vrai" billet aujourd'hui. Je n'ai même pas envie de démarrer le Mac où je mets les photos. J'aurais sans doute pu vous en trouver une qui n'a pas été exploitée ou qui a été écartée. Trop fainéant pour juste appuyer sur le bouton de démarrage. C'est vous dire le niveau atteint. Tout cela n'est pas grave et vous vous en remettrez. Je tenais juste à vous prévenir qu'il n'y aurait pas de billet. C'est tout.

samedi 8 août 2015

Rien pour ce samedi

Et il vous faudra contenter de cela.

vendredi 26 septembre 2014

Il faut attendre demain

Pour aujourd'hui, c'est râpé. Je rentre juste d'une promenade fort agréable en Périgord et je n'ai pas le courage de démarrer l'ordinateur pour vous préparer une image. Alors, je remets ça à demain.

lundi 14 octobre 2013

Pas d'idée

J'ai eu un semblant d'idée de sujet. Je l'ai perdue. Elle ne devait pas être bien intéressante, cette idée.

mercredi 4 septembre 2013

Un peu de démocratie

Pour un anarchiste, la démocratie est une fumisterie comme une autre.

Depuis quelque temps, je peine à tenir ce blog. Je ne sais plus pourquoi il existe, à quoi il sert. La plupart du temps, il ne sert à rien ou, au mieux, à montrer des dessins ou des photos. Une fois cela montré, il ne reste pas grand chose à se mettre sous la dent et j'ai comme l'impression que ce blog ne nuit pas autant qu'il le prétend.

Je n'ai pas envie de l'arrêter, le blog. Et pourtant, je ne sais plus quoi en faire. Je me suis demandé si ce n'était pas cette sotte idée de tenir le rythme du billet quotidien qui faisait que ça n'est pas souvent pertinent ou intéressant. Le risque, c'est que si je mets un arrêt à cette régularité, il n'y ait pas souvent de billet. Disons le tout net, si je dois attendre d'avoir réellement quelque chose à dire, c'est la fin du blog assurée.

Il y aurait la solution de faire de ce blog ce qu'il est déjà à peu près. Un blog de dessins et de photos. Le truc, c'est que je n'ai pas de dessin ou de photo à publier tous les jours. L'idée, ce serait que je ne publierais que des dessins ou des photos qui valent la peine d'être publiés.

Et alors là, j'ai une idée. Je vais vous demander ce que vous aimeriez trouver sur ce blog. Et parce que j'ai aussi l'idée de vous laisser vous exprimer à fond, sans qu'il y ait représailles ou contrat sur votre tête, je vous propose de dire ce que vous pensez de ce blog. Ce que vous aimez, ce que vous n'aimez pas, toutes ces sortes de choses, quoi.

lundi 10 juin 2013

Génération Y

Le concept de "génération Y" était déjà parvenu à mes oreilles. C'était entré dans mon cerveau, je n'avais pas trouvé qu'en faire et j'avais fini par le ranger quelque part, là où je mets les choses que je ne comprends pas ou qui ne me semblent pas utiles de suite mais que je souhaite néanmoins conserver encore un peu. Et hier, voilà que Stéphane Paoli, dans son émission "3D", sur France Inter, se met à causer de cette "génération Y". Je dresse l'oreille.

Je ne sais pas si vous écoutez cette émission. Je l'écoute. Au départ, je l'aimais bien. J'avais de la bienveillance pour Stéphane Paoli et pour cette émission qui nous proposait de crever moins con. Cette émission se veut intelligente ou, au moins, "intello". Chaque semaine, ce sont des concepts abscons qui sont mis à l'honneur. Stéphane Paoli a ses tics de langage. Avec lui, tout est "interconnecté", "multiculturel", "globalisé". Et plusieurs fois par émission. Alors moi, au début, j'étais content d'apprendre des concepts intellectuels et intelligents. Assez rapidement, je me suis rendu compte que je n'étais pas vraiment en mesure de tout comprendre et je me suis dit que je devais être trop bête ou pas assez intelligent ou pas assez attentif.
Cette émission sent le copinage. Il y a des chroniqueurs et on se demande assez souvent à quoi ils servent. On imagine qu'ils sont là pour amener de l'humour et de la pensée philosophique légère. Pour moi, c'est raté. N'empêche, ils se la pètent, les membres de l'équipe ! Ils se savent penseurs et intelligents. Presque plus que les invités. Finalement, ils pourraient presque se suffire à eux-mêmes.
Le thème de l'émission d'hier était "changer d'ère". Vous noterez le jeu de mots. Changer d'ère, changer d'air, changer d'aire, changer der (des ders). Il était question des bouleversements de nos sociétés, de l'humanité et on parlait de "changement de paradigme". Parce que Stéphane Paoli, son équipe et ses invités nous expliquent que ça change partout autour de nous. Des fois que l'on ne s'en rendrait pas compte. Imaginez. Un type qui vit comme au néolithique parce qu'il n'a pas remarqué que ça avait un peu changé un peu partout dans tous les domaines. Il est temps de lui dire que l'on ne s'habille plus comme ça et que l'on ne chasse plus comme ci. Heureusement que les intellectuels du service public sont là.
Comme invités, il y avait Joël de Rosnay, Henri Atlan et Adeline Braescu-Kerlan. C'est cette dernière qui m'a mis en colère. Cette Adeline est une femme semble-t-il assez jeune qui fait partie de la "génération Y". Et c'est quoi cette génération là ? Elle ne le dit pas vraiment mais, par contre, elle dit combien c'est génial d'être de la "génération Y". Au passage, elle fait remarquer à Joël de Rosnay qu'il est bien trop vieux pour être de la "génération Y". Magnifique. Imaginez que la "génération Y" ne dit plus qu'elle va sur Internet. Non ! C'est bon pour les vieux, pour les anciennes générations, ça ! La "génération Y" n'a plus besoin de dire "Internet" tellement c'est naturel pour la "génération Y". Moi, vieux parmi les vieux, lorsque je prends mon ordinateur à manivelle, que je me connecte par signaux de fumée et que je fais quelques incantations aux divinités numériques, je dis à la cantonade : "Eh ! Les gars et les filles, je vais sur Internet !". Parce que les vieux, ils ne trouvent pas cela naturel, Internet. Pour eux, ça a une odeur de sorcellerie magique, vous voyez ? Oui, non, bien sûr, vous ne pouvez pas voir. Vous êtes des vieux vous aussi. Et même des plus vieux que moi pour la plupart. Ce blog est un blog de vieux, un avant-poste de la maison de retraite, l'antichambre de l'hospice. On vient sur le blog avec son déambulateur en bavant beaucoup et en pissant sous soi. Merde. Pas "génération Y", le blog. Pas du tout.
N'empêche que Stéphane Paoli, il s'extasiait de bonheur mal contenu aux propos de la Adeline "génération Y" (épouse X ?). Et alors moi, j'ai voulu approfondir la question. Je suis allé voir un peu ce que l'on trouvait à propos de cette "génération Y" sur Internet (Eh ! Les gars et les filles, je vais sur Internet !). J'y ai trouvé une polémique. Il y a l'histoire que le terme "génération Y" viendrait du cordon du baladeur qui forme un Y entre les deux oreilles et l'appareil qui fait du bruit. Il y aurait aussi l'explication qui dit que le Y se prononce comme "why" (pourquoi). Bon. Rien de bien clair. Il s'agirait d'une génération de personnes nées entre la fin des années 70 et le début du 21e siècle. Mouais. Bon. Des personnes pour qui l'ordinateur, les jeux vidéo, toutes ces choses là, seraient considérées comme normales et indispensables. Je ne comprends pas bien ce qu'il y a de si flatteur que ça. Mais je n'ai peut-être pas compris. Je dois être trop bête, pas assez intelligent et instruit. Bof.

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mardi 1 janvier 2013

Je ne ferai pas de vœux hauts

Ça vous a un doux nom de char russe. Je vous en parlais hier. C'est un Canon T90. Un appareil qui date du milieu des années 80 qui a été le chant du cygne pour les Canon en monture FD. Un appareil en tous points impressionnant qui a été remplacé par le système EOS quelques années après.
Meilleurs vœux pour tout le monde. Champagne !

Canon T90

jeudi 13 décembre 2012

Cours de procrastination

Aujourd'hui, je vais faire un beau dessin pour le blog.

Exercice 1 : Bon. Je le ferai peut-être demain...

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