Mot-clé - paysage

Fil des billets - Fil des commentaires

dimanche 19 juin 2016

Village de Creysse dans le Lot

Creysse

lundi 23 mai 2016

Commarque

C'est selon moi l'un des châteaux les plus intéressants du département de la Dordogne. Perché sur sa falaise du Périgord Noir à quelques kilomètres des Eyzies-de-Tayac-Sireuil, en surplomb de la vallée de la Beune, l'ensemble que constitue le château avec sa chapelle et ses habitations date du 12e siècle. Le lieu était occupé bien avant et ceci depuis le néolithique au moins. Dire aujourd'hui ce qu'était la vie à Commarque durant le Moyen Âge est difficile pour moi qui n'aie pas les compétences requises. Pour autant, bien des indices laissent à penser que les lieux devaient accueillir une population assez importante. Au pied des falaises, de part et d'autre de la Beune, on trouve des traces d'habitat troglodytique ou d'abris sous roche. Des constructions vraisemblablement en bois qui devaient sans doute abriter un petit monde de paysans, cultivateurs et éleveurs, d'artisans, aussi. Pour qu'un château ait été dressé ici, pour qu'un autre château ait été construit en face, le château de Laussel, il faut que cette vallée de la Grande Beune ait été une route de passage et on imagine que l'on y commerçait, s'y restaurait, s'y arrêtait. De la route qui a pu exister, on ne voit plus grand chose mais l'idée de suivre un cours d'eau n'est sans doute pas idiot dès lors que l'on voyage.
J'ai connu le château de Commarque à l'époque où il était encore à l'état de quasi abandon. A l'époque, je ne sais plus par quelle route, j'y arrivais par le haut et découvrait le donjon et, en contrebas, la chapelle en ruine. Le tout était largement envahi par les ronciers et si l'accès était possible il l'était sous la responsabilité de chacun. Pour s'y rendre aujourd'hui, il faut accepter de laisser sa voiture à plusieurs centaines de mètres et de descendre vers la vallée à pied, sous le couvert des bois, en empruntant un sentier. Et c'est là l'un des points forts de ce site. En laissant les véhicules loin du château, on préserve le site. L'accès aux abords est libre et gratuit. On peut longer les falaises, découvrir les traces des habitations troglodytiques, profiter du calme, des chants d'oiseaux, de l'apaisante course de la Beune, de la végétation fleurie. Contre huit euros, on peut visiter les aménagements de l'ensemble castral et les expositions mises en place dans les salles restaurées des corps de logis.
Cette fois-ci, je n'ai pas fait la visite mais j'y retournerai et j'essaierai d'y revenir lorsqu'il fera beau. J'ai tenté de faire quelques photos mais vraiment, la lumière n'était pas belle. J'ai tout de même essayé de faire un panoramique que je vous propose pour vous donner l'idée d'aller découvrir les lieux par vous-même.

Château de Commarque
Site officiel du château de Commarque

samedi 23 avril 2016

Bagnoles diverses

11 BL

SIMCA Beaulieu

Caravelle

Ces trois photos ont été faites à Ségonzac dimanche dernier. Les trois sont passées par l'ordinateur. Sur la première, j'ai détouré les voitures et reconstruit la route avant de l'incruster dans un paysage à qui j'ai appliqué un flou pour être en accord avec la SIMCA qui présente un flou naturel. Sur les deux autres, j'ai supprimé des éléments indésirables.

vendredi 15 avril 2016

Et pendant ce temps, le Coly coule

Coly

jeudi 7 avril 2016

Retour aux forges

Forges de Savignac-Lédrier

Savignac-Lédrier - le hangar à charbon, le château et la forg

Savignac-Lédrier - la retenue d'eau et le château

dimanche 27 mars 2016

Château de Biron

Château de Biron

samedi 19 mars 2016

Nérac, village du Lot-et-Garonne

Nérac

Nérac

vendredi 4 mars 2016

Moutons en Périgord

Moutons

Moutons

samedi 13 février 2016

Quelques arbres

arbres dans le ciel et sur le pré

vendredi 12 février 2016

Un peu de tout pour tous les goûts

Tiens ? Il pleut ! Ça faisait longtemps. Ce qu'il y a de bien, avec la pluie, c'est que ça indique qu'il ne gèle pas.
Ce matin, je pensais à l'inertie d'une maison et de la mienne en particulier. Il y a quelques jours, je suis tombé en panne de fuel. C'est plutôt bon signe, c'est que la chaudière fonctionne. La première nuit, douillettement emmitouflé dans la couette, ça c'est bien passé. Au matin, mine de rien, ça allait encore. Je suis tout de même allé chercher du bois pour allumer un feu dans la cheminée. Franchement, c'était plus histoire de dire que par réelle sensation de froid. Le thermomètre affichait encore un peu plus de dix degrés. Cela après toute une nuit sans chauffage. C'est ça qui m'a fait penser à l'inertie de la maison. Les calories emmagasinées ne s'échappent pas si facilement. Et du coup, je me suis demandé une fois de plus par où part la chaleur lorsque je chauffe. Enfin bon. J'allume un feu dans la cheminée et j'apprécie la chaleur et les sons que cela libère. Bien que ce ne soit certainement pas le plus efficace et le plus économique des modes de chauffage, c'est certainement le plus agréable et amusant. La journée se passe et ce n'est qu'en début de soirée que je me dis que, tout de même, il ne fait pas si chaud que ça.
Hier matin, le thermomètre indiquait nettement moins que 10°. J'ai tout de même allumé un feu. La livraison de fuel était prévue pour demain, samedi. Dans la matinée, le téléphone sonne. C'est le livreur qui vient de faire une livraison à Azerat et qui m'appelle pour voir si je suis là. J'y suis et il vient me livrer. Il en profite pour remplir la cuve du voisin, voisin qui en profite pour me donner (à ce prix, ça ne se refuse pas) des pommes de terre. J'attends que les saletés et autres particules en suspension dans la cuve se déposent avant de relancer la chaudière et c'est vers le milieu de l'après-midi que j'appuie sur l'interrupteur et que le brûleur entre en fonction.
Eh bien pour retrouver une température acceptable, il faut du temps. Ce matin ce n'est toujours pas revenu à l'état d'avant l'arrêt de la chaudière. Encore cette histoire d'inertie. Il faut chauffer les pierres des murs avant tout. C'est ce qu'il me semble mais je ne suis pas un spécialiste.
Bien que ça n'ait pas grand rapport, je pense aux ondes gravitationnelles que les scientifiques sont parvenus à démontrer en donnant raison à l'intuition de Albert Einstein au passage. Honnêtement, je n'ai pas tout compris de ce que cela implique et nous apprend de l'univers mais ça semble fichtrement intéressant tout de même. Prenez le temps d'écouter la radio ou de lire quelques articles sur le sujet, vous comprendrez sans doute mieux que moi et vous pourrez tenter de m'expliquer par la suite. Bien que je n'y comprenne que dalle, je suis passionné par toutes ces histoires d'astrophysique. Le détonateur a été un bouquin de Hubert Reeves lu il y a une trentaine d'années. Je ne comprenais pas tout mais j'avais l'impression de voyager dans des mondes incroyables. C'est bien mieux que la science fiction, ces bouquins de vulgarisation scientifique ! Je me souviens avoir lu le livre de Stephen Hawking, "Une brève histoire du temps", paru en 1988 qui tente d'expliquer le Big Bang ou les trous noirs. Je me souviens surtout n'avoir rien pipé à rien et d'être passé sur les équations sensées expliquer les propos avec circonspection. J'ai sans doute grappillé deux ou trois bricoles mais j'ai surtout compris alors que je ne serai jamais astrophysicien. Le doute n'existait pas réellement mais, au moins, j'étais désormais bien fixé sur le sujet. Ce n'était pas pour moi. On ne peut pas être partout. Je prouve que l'on peut n'être nulle part, par contre.

Arbre cassé
J'avais fait cette photo. Au départ, je l'avais écartée. J'étais prêt à la jeter, à l'effacer du disque dur. Et puis, je lui ai donné sa chance. Je l'ai regardée mieux, je lui ai trouvé quelque chose. Ce qui ne me plaisait pas, c'était que je n'avais pas pu cadrer comme je l'aurais voulu. Les abords de l'étang où se trouve cet arbre cassé étaient détrempés et je n'avais pas de bottes en caoutchouc avec moi. Je n'avais pas une folle envie de me mouiller les chaussettes. J'avais tout de même déclenché. Du coup, j'avais écarté cette photo pour une mauvaise raison. En la regardant mieux, après l'avoir passé par la tourniquette à faire du noir et blanc, je lui ai trouvé quelque chose. J'ai forcé un peu les contrastes, j'ai relevé les ombres et voilà une image qui me satisfait.

Nous avons eu le paléolithique et la période gauloise, voici l'époque mérovingienne. Vous le saviez, vous, que le nom vient d'un roi franc du nom de Mérovée ? Je l'ignorais avant de le savoir. Alors, oui, il n'est pas certain qu'il ait existé, d'accord. Le nom vient de lui tout de même. C'est avec les Mérovingiens que naît la France, à ce que l'on nous raconte. Clovis, le vase de Soissons, tout ça. Les soissons, pour moi, ce sont surtout les haricots. Les haricots n'étaient pas connus en Europe à l'époque. Du coup, on peut supposer que le cassoulet était inconnu également et que Clovis n'en a jamais mangé.

Mérovingiens
Puisque l'on en est à parler nourriture et puisque j'ai décidé de purger un peu mon fonds d'illustrations qui iront bien pour le blog, je vous propose une photo que j'ai faite pour un jeu sur Internet, sur un forum. Là, en l'occurrence, je ne vous propose pas de découvrir ce que la photo représente. Je suis presque certain que vous allez trouver sans peine. J'aime bien le jambon. Celui-ci n'est pas le meilleur qui soit. C'est du quasi industriel. Il n'est pas mauvais non plus. J'aime bien le jambon avec quelques pommes de terre sautées dans la graisse de canard ou avec du bon pain et du bon beurre. Avec un bon verre de bon vin rouge, ça passe bien, je trouve. Un petit plaisir simple et facile. Un plaisir à l'échelle de celui procuré par une bonne pomme accompagnée de bonnes noix. Ou d'une tarte aux pommes, tenez ! Ah ça c'est bon, la tarte aux pommes ! Ou bien des crêpes toutes simples, aussi. Il n'y a rien de meilleur que les bonnes choses simples. Le poulet rôti fait partie de l'inventaire que je pourrais éventuellement dresser si j'en avais l'envie.

Le jambon, c'est bon
Passons à autre chose. Et parce que cela peut tout à fait entrer dans le cadre du "autre chose", parlons de téléphone. Je vous disais récemment que j'en cherchais un pour remplacer celui qui fonctionne mal. Si vous lisez ce blog et si vous avez un peu de mémoire, vous vous souviendrez que je déclarais ne pas vouloir de smartphone. Figurez-vous que deux bonnes personnes qui se reconnaîtront, Fred et Marie-Jo, ont écouté mon appel et m'ont proposé un iPhone pour pas cher. Ce n'est pas le dernier modèle mais c'est mieux ainsi. C'est un 3G. Pour tout vous dire, je ne connais pas bien les modèles de téléphones. Au début, sans que je sache pourquoi, il ne fonctionnait pas. D'abord, il refusait de se charger ou il le faisait d'une façon un peu erratique. Une fois que j'ai réussi à faire en sorte que la batterie se charge, je me suis aperçu que l'écran tactile ne fonctionnait pas. Rien à faire et c'est désolant pour un appareil qui fonctionne grâce à cette technologie, vous en conviendrez sans peine. N'écoutant que ma détermination à ne pas me laisser emmerder longtemps par un appareil, je pars à la recherche d'informations sur Internet. J'apprends que le dysfonctionnement est généralement dû à la mauvaise connexion d'une nappe. Je me débrouille comme je peux sans ouvrir le téléphone et j'arrive à faire fonctionner cet écran tactile. Chouette ! Le iPhone semble fonctionner, je fais une sauvegarde. La crainte que j'avais au début d'un iPhone bloqué sur le réseau Orange s'évapore lorsque j'insère la carte SIM de chez Free Mobile. Elle est reconnue, le téléphone fonctionne.
Je déchante lors du premier appel reçu. Je n'entends rien. Le haut-parleur ne fonctionne pas. Si j'active les hauts-parleurs additionnels qui permettent d'écouter, par exemple, de la musique en stéréo, ça fonctionne. Ce n'est pas pratique. Alors, je me décide à ouvrir le iPhone. Un petit tournevis, une ventouse, c'est parti pour une exploration des entrailles de la bête. Je déconnecte les trois petites nappes qui retiennent le bloc écran du reste de l'appareil, je nettoie tout ça et je remonte le tout. Comme par miracle, ça fonctionne désormais tout à fait bien.
Alors donc, du coup, me voilà avec un smartphone. Sauf que j'ai la chance qu'il soit trop ancien pour imaginer trouver des applications qui pourraient fonctionner avec lui. Tout de même, j'ai paramétré le bouzin pour recevoir des courriers électroniques et en envoyer. Ce n'est pas que j'aie l'intention de trop me servir de cela mais comment résister ? Pour tester, je suis même allé jusqu'à mettre quelques morceaux de musique. Enfin là, c'est certain, je ne vais pas trop utiliser cette fonction. Je n'aime pas écouter de la musique au casque et, de toutes les façons, le seul que j'ai à ma disposition est très mauvais. Je donne un mauvais point à Apple qui ne permet pas d'importer les contacts présents sur la carte SIM. Pas grave. Il y a des applications "natives" que l'on ne peut pas supprimer. Pas grave non plus. Je les ai toutes regroupées dans un dossier que je suis allé cacher loin. J'y ai mis tout ce dont je ne me servirai pas. L'appareil photo et le logiciel permettant de les visionner, le calendrier et la calculette, le dictaphone et le logiciel de navigation, l'horloge et les notes ainsi que la météo. Voilà, juste l'essentiel, le téléphone. Point. J'en suis encore à découvrir comment on utilise cet appareil. Ce n'est pas mal foutu, tout de même, il faut reconnaître.

Pour finir, un dessin de moto. Il y a quelques jours, je cherchais une idée de dessin. Je voulais m'exercer à l'encrage avec un pinceau que je n'utilisais pas parce que je le trouvais trop difficile. Pour encrer, il me fallait un crayonné. Je n'avais pas d'idée qui se pointait à l'horizon alors je me suis rabattu sur du facile. L'encrage s'est finalement relativement bien passé. Je pense que j'utiliserai ce pinceau pour quelque temps encore. Ce matin, j'ai terminé une mise en couleurs dans le but de vous en faire profiter. Et c'est sur ça que je termine le billet du jour.

Gronda

samedi 2 janvier 2016

Etang communal de Thenon

Etang communal de Thenon

jeudi 19 novembre 2015

Lumière d'automne en Périgord

Je n'étais absolument pas parti dans l'intention de faire des photos. Pour autant, c'est une habitude, j'essaie toujours de me déplacer avec un appareil photo pour le cas où il se passerait quelque chose.
J'allais voir un ami et j'étais déjà un peu à la bourre. Sans raison précise, je choisis de passer par là plutôt que d'emprunter la route habituelle. Déjà que je n'étais pas en avance ! Il pleuvait légèrement et je franchis le pont sur la Vézère, à Thonac, lorsque je vois surgir une lumière épatante. Je m'arrête n'importe où, n'importe comment, en vrac. Je prends le boîtier et le seul objectif à ma disposition et je cherche quelque chose à photographier lorsque l'arc-en-ciel paraît. Je n'ai pas beaucoup de temps, je descends le pré qui est là et me dirige vers la rivière.
Du coup, je me dis qu'il est dommage que je n'aie pas pris la route habituelle, je pressens qu'il y aurait eu une photo autrement plus intéressante à faire. Là, le sujet n'est pas des plus intéressants. Un pont assez quelconque mais tout de même un arc-en-ciel. C'est mieux que rien. Je me suis dit que c'était marrant, cet arc qui répond aux arches. Ouais bof, faut bien tenter de justifier l'injustifiable, hein ?

Pont sur la Vézère à Thonac
Pont sur la Vézère à Thonac

lundi 12 octobre 2015

Quand un vicomte

Je suis passé aussi par Turenne. C'est un joli village, Turenne, un village perché sur une belle butte et entouré d'une réjouissante campagne toute corrézienne. Cette fois-ci, je n'avais pas le temps de m'y arrêter pour aller photographier l'intérieur du village qui vaut vraiment le coup d'œil mais j'ai pris quelques minutes pour faire deux images en me disant que ça alimenterait ce blog.

Turenne
Turenne

jeudi 8 octobre 2015

La ruine a bon pied bon œil

Je suis passé par là et j'avais l'appareil photo. Sur le boîtier, il y avait le 80-200. Je me suis arrêté et je me suis dit qu'il y avait déjà quelque temps que je ne vous avais pas proposé la progression de l'effondrement de cette maison en ruine.

La maison qui tombe en ruine

mercredi 19 août 2015

Les nuages passent à l'attaque

Tentez d'imaginer la scène. Je suis au volant d'une voiture. Une voiture blanche, break, française. Elle roule et je roule avec elle, assis, les mains posées sur un cercle couvert d'une matière ferme et souple. Si je tourne le cercle vers la droite, je vais à droite, si je tourne à gauche, je vais à gauche. Par la vitre qui me protège du vent, je peux voir le paysage. Un pré vers le bas, un ciel vers le haut. Dans le ciel, des nuages. Gros, les nuages. Et hauts, aussi. Je m'arrête et coupe le moteur en tournant la clé. De la voiture, je descends. Je descends de l'auto. Je descends du break français blanc et je marche sur mes pieds, les pieds posés par terre, les pieds dans des chaussures posées sur le sol. J'ouvre la porte arrière de la voiture pour prendre un appareil photo et je quitte la route pour avancer dans le pré. De l'herbe sous les semelles, à présent. Sous l'herbe, la terre est dure. Sèche, la terre. Humides le ciel et ses nuages. Je m'arrête et je porte l'appareil à l'œil et je déclenche. Je reviens à l'auto et chez moi.

Quelques nuages

lundi 17 août 2015

Auriac-du-Périgord

Chapelle Auriac-du-Périgord
Auriac-du-Périgord

samedi 11 juillet 2015

De passage par les Forges

C'est un site industriel que j'aime. Je ne sais pas vraiment pourquoi j'apprécie les forges de Savignac-Lédrier. Peut-être sont-ce les éléments rouillés qui sont là. A moins que la présence de l'eau ? Ou les vieilles pierres ? Ou encore l'histoire humaine qui y est accolée ? Si la présence de cette forge est attestée dès 1521, il est certain que le site a cessé toute activité industrielle en 1975. Et encore, à cette époque, cela faisait plusieurs décennies que le haut fourneau était éteint. Depuis la fin du XIXe siècle, on ne produisait plus que des pointes et des clés pour boîtes de sardines.
Ce que j'aime ici, c'est que c'est calme, que l'on peut librement se promener autour des installations, sous l'ombre apaisante des arbres, franchir l'Auvézère par une passerelle moderne, s'arrêter au bas de la cascade de la retenue d'eau et revenir en franchissant la rivière une nouvelle fois en profitant de la vue que l'on peut avoir sur les forges.
Si jamais j'avais une motocyclette en état de marche, il est certain que je prendrais un réel plaisir à m'aventurer sur les petites routes viroleuses de ce beau Périgord Vert sauvage et riche en gorges profondes. Je n'ai pas de deux roues roulant mais j'ai un appareil photo et ce n'est pas si mal. Pour l'occasion, j'ai utilisé le Samyang 8mm, un fish-eye qui ne s'en tire pas si mal à mon avis.

Retenue d'eau des forges de Savignac-Lédrier
Retenue d'eau des forges de Savignac-Lédrier
retenue des forges

mercredi 8 juillet 2015

Nuages du matin deuxième

J'ai essayé une nouvelle version de la même image que tout à l'heure. J'ai du mal à choisir entre les deux.

Azerat de bon matin v2

Enfin des nuages

Si ce n'est pas une preuve de l'existence de dieu, ça ! Hier, je lui ai demandé de faire en sorte qu'il fasse un poil moins chaud vu que je commençais sérieusement à en avoir plein le cul de la chaleur écrasante. Et ben ce matin, c'est fait. Même qu'il m'a réveillé à 4 heures et 16 minutes pour que je puisse en profiter tout mon saoul.
Comme j'étais là avec les yeux grands ouverts à pas savoir qu'en faire, je me suis levé et j'ai préparé du café en me grattant entre les doigts de pied. A un moment, par la fenêtre, j'ai vu les nuages apparaître dans la belle lumière des premières heures du matin. Et alors là, j'ai attrapé l'appareil photo, je lui ai mis l'objectif Samyang, j'ai pris le pied et je suis allé me poster sur la petite place qui longe la route principale du village. J'ai déclenché quatre fois et je conserve cette image qui me plaît bien.

Azerat de bon matin

vendredi 3 juillet 2015

En cheminant

Chemin

Haut de page