mercredi 4 août 2021
Mot-clé - Traction Avant
mercredi 2 octobre 2019
Angoulême, ça repart
L'histoire dit que, en ce début des années 60, vexé de ne pas pouvoir racheter Ferrari, Ford conçoit sa GT 40. Cette sportive devra être performante et battre les Ferrari sur leur terrain. Ce sera fait et bien fait. Conçue en Grande Bretagne, elle sera produite à 126 exemplaires. Des répliques seront fabriquées dans les années 90. Je ne sais pas si celle présente à Angoulême est une authentique d'époque.
L'Austin 7 a sans aucun doute été la petite voiture la plus répandue pendant longtemps en Grande Bretagne. Très répandue, elle a donné naissance à tout un tas de versions sportives après un passage entre les mains d'une foule de mécaniciens et préparateurs acharnés. Elles étaient assez nombreuses, sous différentes formes, à Angoulême.
Largement diffusée en Italie, la berline Lancia Appia des années 50 a plus souvent été une automobile familiale qu'une habituée des épreuves sportives. Pourtant, certaines ont bien été engagées dans des compétitions où elles ont su briller dans leur catégorie. Celle-ci était magnifiquement restaurée.
Une qui ne cache pas son ambition de faire parler la poudre dans des épreuves sportives, c'est cette Alfa Romeo Type 308. Son 8 cylindres gavé par un compresseur délivre allègrement près de 300 chevaux qu'il convient de maîtriser depuis l'habitacle qui n'accueille que le pilote accroché au large cercle de bois.
Et pour en finir, une française qu'il n'est pas nécessaire de présenter et qui n'a, apparemment, pas d'appétence particulière pour le sport. Elle a été tellement diffusée et pendant tellement d'années avec quelques améliorations et transformations mineures qu'elle est aujourd'hui encore, comme la 2cv ou la 4cv, presque connue de tous et de toutes les manifestations.
dimanche 22 septembre 2019
Les 100 ans aux 80 ans
Sentant sans temps les cent ans sans taon… J'ai le droit, c'est mon blog et on est dimanche. Je fais ce que je veux. Demain c'est l'automne et c'est pas dommage. Bon. A Angoulême — décidément on n'en sort pas — on fêtait le siècle des automobiles Citroën. Je vous laisse faire le calcul. Dans l'histoire de l'industrie automobile française, il y a un avant et un après Citroën. L'ingénieur aux lorgnons a donné un rude coup de pied dans la pétaudière de l'époque. Il s'était mis dans la tête de s'inspirer de ce qui se passait aux États-Unis d'Amérique et de permettre à tout un chacun de posséder une automobile, rien que ça.
Pour commencer, deux 5HP Citroën. La première de 1923 avec ses ailes plates, la seconde de 1924 avec ses ailes galbées. C'est une petite automobile qui a connu une large diffusion et qui a su compter sur un "capital sympathie" énorme. La petite "citron" ou "trèfle" misait sur une simplicité mécanique et une robustesse certaine.
La première Citroën était la Type A. Parce que chez Citroën l'imagination était au pouvoir, la deuxième série débuterait par un B. Il y a eu la B2, la B12 et la B14. C'est une B14 qui intéresse le photographe sur la photo suivante.
Parfois, il pouvait arriver que vous tombiez en panne au bord de la route et c'est alors une dépanneuse C4 qui venait peut-être à votre secours. En voyant cette dépanneuse, j'ai eu un moment de doute. Dans quel album de Tintin les Dupondt sont-ils au volant d'une automobile semblable ? J'ai hésité et me suis persuadé que c'était dans Tintin au pays de l'or noir. Sauf que c'est une Ford. Pas grave.
L'école de la caisse carrée va bientôt laisser la place à des carrosseries plus aérodynamiques, plus basses, plus profilées. La crise de 1929 est passée par là, l'économie va mal, Citroën est au bord de la faillite, une grande grève a lieu en 1933. La Rosalie connaît un beau succès mais ce n'est pas suffisant. Fin 1934, Michelin, principal actionnaire, prend les rênes de l'entreprise et travaille désormais à sortir la Traction avant. André Citroën meurt en 1935. La Rosalie sera produite jusqu'en 1938.
A propos de Traction avant, une automobile déjà croisée de multiples fois lors de manifestations automobiles, la Galy Spéciale. On ne se doute pas nécessairement que nous sommes en présence d'une base de Traction avant.
vendredi 22 février 2019
Salon Périgueux Classic Auto - quatrième pétarade
Toujours des Citroën et nous commençons avec une Traction Avant. C'est un grand classique des expositions de véhicules anciens, un peu comme les 2cv et 4cv. Souvent, elle est noire, sobre et, disons-le, austère. Malgré tout, elle peut se targuer d'une élégance certaine, presque naturelle, sans ostentation superfétatoire.
A coup sûr élégante bien qu'un peu plus tapageuse, une ID 19 cabriolet. C'est un modèle sans doute rare que les plus vieux n'auront sans doute pas souvent croisée souvent. Ne parlons pas des plus jeunes qui, sans doute, ignoraient jusque là l'existence même de ce véhicule. Il y a une certaine distinction dans cette ligne effilée et, en contrepoint, une apparence ludique qui sied admirablement aux cabriolets bien nés. Parce que, il ne faut pas s'y tromper, il ne suffit pas d'ôter son toit à une automobile pour réussir un cabriolet agréable à l'œil ! Combien de constructeurs ont commis des horreurs roulantes en s'y prenant mal, au moindre coût, tentant d'appâter le chaland peu regardant et dépourvu de tout sens commun ? L'affaire est d'importance et très dommageable tant elle peut heurter le sens esthétique du badaud voire lui provoquer un décollement de rétine malencontreux. Il est des constructeurs qu'il conviendrait de conduire au pilori et pas uniquement celui qui moisit ces temps derniers en des nippones geôles. Conspuons-les !
Moins distinguée mais plus impressionnante, une DS de rallye. Raisonnablement impressionnante, dirons-nous. Je ne suis pas certain que l'on ressente un sentiment de puissance incontrôlable face à cette automobile mais, tout de même, on se méfie un peu, pensant que sous cette carrosserie se cache peut-être une mécanique capable de plus que l'on peut penser. C'est sans doute plus les qualités de la tenue de route que celles supposées du moteur qui auront permis à la Citroën de briller un peu en compétition.
Pour briller, on repassera avec cette DS break. C'est une auto bizarre, la DS break. Elle n'est pas belle. Aujourd'hui, elle est plutôt rare et c'est ce qui fait sa valeur. C'est cette rareté qui justifie sa présence dans cette exposition.
Pas bien beau, pas très puissant non plus, mais diablement intelligemment pensé, le HY se présentait ici en version mini-bus. Dans un état proche de la perfection, ce petit utilitaire savait s'attirer la sympathie d'un public qui montrait ainsi qu'il n'était pas sensible uniquement aux modèles plus prestigieux de marques plus confidentielles.
lundi 18 février 2019
Salon Périgueux Classic Auto - détonation deuxième
Pourquoi Citroën a-t-il appelé son utilitaire "HY" ? Je n'en ai pas la moindre idée. Il est présenté au Salon de l'auto de Paris de 1947, un an avant la présentation de la 2cv. Enfin c'est ce que j'ai pu lire. Sa production se poursuit jusqu'en 1981. Une belle longévité pour un utilitaire populaire et besogneux. Il a été présent sur l'ensemble du territoire national soit qu'il servait à quelque artisan ou commerçant, soit qu'il s'avilissait au service de la police ou qu'il se rendait utile auprès d'un corps de sapeurs pompiers, d'un hôpital ou d'une commune. Durant toutes ces années, ni le confort très relatif ni la consommation importante ni la direction dure et au rayon de braquage indigent n'ont pu venir contredire le succès commercial que la fiabilité, la capacité de chargement, le plancher bas, la praticité et l'intelligence de conception lui valait. Aujourd'hui objet de convoitise auprès de nombreux collectionneurs ou jeunes entrepreneurs voulant se lancer dans l'aventure du foudetreuque, il est devenu hors de prix.
Restons chez Citroën avec une automobile qui a fait entrer la modernité dans le paysage routier français à partir de sa présentation au public en 1955. Je ne vais pas m'essayer à dresser une liste des innovations et des idées neuves. Nous l'avons tous vue ou conduite, cette DS, cette auto qui sauva la vie du Général et qui brilla dans de nombreux rallyes automobiles. Voiture du bourgeois français comme du représentant de commerce, du père de famille ou du taxi, elle a été l'archétype du savoir-faire national. De fait, la production des autres marques du pays semblaient incroyablement fades face à cet engin venu du futur. Voilà une DS 20 de la fin des années 60 ou du tout début de la décennie suivante.
Une automobile de chez Citroën qui aura marqué les esprits elle aussi, la deux chevaux. Celle présentée ici laisse les badauds admirer ses entrailles mécaniques qui laissent bien de la place pour loger du vide, du rien. On ne présente plus cette petite automobile pratique, économe, solide et fiable.
Une autre 2cv, un peu plus récente que la précédente en compagnie d'une Volkswagen avec remorque monoroue. Jetez un œil à l'immatriculation de la Citroën pour sourire un peu.
Avec ses belles jantes, une autre CItroën qui aura marqué les esprits, la Traction Avant. Il n'en manquait pas à ce salon, venues fêter le centenaire de la marque. Un peu à la manière de la DS, la Traction a été l'auto du bourgeois, du résistant, du repris de justice, du flic du taxi, du jeune désargenté aussi, vers sa fin de carrière. Depuis longtemps déjà, elle est entrée dans le monde de l'automobile de collection et on ne la voit plus guère que presque trop bien restaurée.
lundi 10 septembre 2018
Toujours des voitures des VIntage Days
Si vous en avez marre, si vous êtes lassé, il faut me le dire. On ne peut pas tout connaître mais l'ignorance n'est jamais une bonne excuse. Le dimanche matin, je vois cette petite auto. Je fais confiance à son propriétaire qui doit savoir ce qu'il a dans son garage et, de ce fait, j'accepte l'idée qu'il s'agit d'une Ford Y de 1932. Seulement, je n'ai jamais vu ce modèle et je suis étonné. J'ai attendu un peu avec l'espoir de voir le propriétaire qui aurait pu m'en dire plus. L'espoir fut déçu. Peut-être quelqu'un saura m'en dire plus ?
On ne peut pas tout connaître et il y a des cas où, si on le connaissait, on y perdrait son latin. J'avise une automobile qui ressemble fort à une Matford. Je m'approche, je vais la photographier. Elle me semble avoir été modifiée, ça ne me dérange pas. Ce qui m'étonne, c'est de trouver un écusson SIMCA sur la calandre. Je n'ai jamais entendu dire que SIMCA avait produit des Matford. Ça n'a rien d'impossible puisque SIMCA reprend l'usine Ford (qui produit les Matford) de Poissy et continue à produire des automobiles conçues par Ford mais…
On ne peut pas tout connaître mais on peut en savoir suffisamment pour avancer que les trois photos suivantes représentent des automobiles populaires dans trois pays différents, la France, l'Allemagne de l'ouest et l'Allemagne de l'est.
Populaire et même laborieuse, voilà une pompière Peugeot 203 break photographiée lors de la parade du dimanche matin. Elle a une ligne plutôt réussie, la 203. D'accord, elle est très inspirée par certaines automobiles américaines des années 40 mais ça n'enlève rien au fait qu'elle est, à mon avis, plutôt agréable.
Petite et joyeuse, voilà une Autobianchi Eden Roc. Avec sa mécanique de FIAT 500, elle est idéale pour parader dans Rome, les cheveux au vent. C'est clairement une petite voiture "inutile", juste destinée au plaisir et à la bonne humeur. Donc, pas inutile du tout, finalement.
Plus grande, plus ancienne et tout aussi inutile, une Citroën Traction Avant cabriolet. Là, nous sommes en présence d'une automobile luxueuse qui agit à la façon d'un marqueur social, comme on dit aujourd'hui. Et ça marche toujours ! C'est une très belle automobile.
Tenez, puisqu'il est question de luxe. Voilà une marque qui s'y connaît un peu dans le genre. Celle-ci est, il me semble, une Hotchkiss 411 des années 30. Ce n'est pas une sportive mais une auto de tourisme de luxe.
Pour avoir le sourire, rien de plus simple. Il suffit d'avoir une Triumph TR3 à conduire. L'image présentée ici le prouve. N'a-t-elle pas l'air rayonnant, sa propriétaire et conductrice attitrée ? Bien sûr que si ! Et il est quasi certain que je serais dans le même état d'âme si j'avais la chance d'avoir une automobile pareille pour me véhiculer de par les petites routes du Périgord.
samedi 8 septembre 2018
Un peu de tout en différé des Vintage Days
En observant les photos faites lors de ces Vintage Days périgourdines, je ne peux pas m'empêcher de m'émerveiller face à la diversité de l'automobile. Elle peut être petite ou grande, sportive ou pépère, familiale ou exclusive, jaune ou rouge ou bleue ou verte, sérieuse ou amusante. Je suis bien incapable d'imaginer le nombre de modèles différents créés depuis les origines de l'automobile à travers le monde mais j'ai tout de même le sentiment qu'ils sont nombreux et diversifiés.
En fonction des époques et des modes, on peut noter des caractéristiques permettant de dater avec plus ou moins d'exactitude le véhicule présent. Par exemple, parmi les plus anciennes, nous avons cette automobile Unic que l'on peut supposer des années 20.
Sans doute un peu plus récente, cette De Soto est probablement des années 30. Dans le fond, peu de différences. Une ligne de caisse légèrement plus basse, plus d'arrondis, de galbes. Les éléments de carrosserie sont dessinés avec plus de souci dans l'harmonie des lignes. Sur l'Unic, le capot semble s'attacher à être au plus près du moteur quand, sur la De Soto, on cherche à créer une ligne. A mon avis, que ce soit dans l'automobile ou la motocyclette, c'est dans ces années 30 que les véhicules commencent à chercher à avoir un style, à être réellement dessinées.
Dans ces années là, ces années d'entre deux guerres, malgré la crise économique, on produit des automobiles luxueuses ou sportives qui ne sont pas à destination du peuple. Il me semble que l'idée du roadster anglais naît dans ces années 30. On sait les Anglais friands de tradition. La Riley ici présente est un mélange de classicisme et d'une certaine modernité. La voiture est basse mais la calandre et les gros phares font anciens. Aussi, il est difficile de dire si elle date d'avant ou d'après ces années trente.
Des années trente, la ligne de la Traction Avant. Avec quelques modifications, elle sera présente dans les concessions Citroën jusqu'au milieu des années 50. Certes, elle fera figure d'antiquité à la sortie de la DS mais il faut reconnaître qu'elle devait être le comble du modernisme au début des années trente.
Quasi contemporaines à la Traction, les Peugeot de l'époque de la ligne fuseau, d'abord avec la 402, étaient représentées par une 202. Celle-ci semble vouloir saluer la libération avec ses drapeaux français et américain.
Dans l'après-guerre, certains constructeurs poursuivent ou reprennent la production des modèles d'avant 1939 tout en réfléchissant à la suite. Chez Panhard, on ne fait plus les automobiles de grand luxe d'avant le conflit mondial. Le nouveau modèle sera plus petit, le moteur sera un bicylindre à plat, ce sera la Dyna X. On notera que le dessinateur de cette automobile ne sera pas allé vers la simplicité et la sobriété des lignes. Est-elle belle ? Est-elle laide ? Les avis sont partagés. Aujourd'hui, c'est assurément une curiosité.
Jolie ou moche, on peut aussi se le demander en voyant cette petite Austin-Healey Sprite. Au moins, a-t-elle une allure comique avec ses gros phares qui lui valurent le surnom de "frogeye". C'est une petite automobile sportive, de construction assez rustique et légère. Dans l'absolu, elle ne bénéficie pas d'une puissance folle mais elle sait utiliser les chevaux en présence avec efficacité.
Si l'on veut plus de puissance, dans la même marque on peut choisir une automobile qui respecte à peu près les mêmes codes mais avec un moteur et un niveau de finition bien supérieurs. Ça reste une automobile sportive "à l'anglaise" avec ce qu'il faut de conservatisme "à l'anglaise". Tout de même, ça s'embourgeoise bien.
Et du côté des Français ? Ah ! Lorsqu'un constructeur important décide de s'intéresser à l'automobile "sportive", elle sort un cabriolet sur une base de berline. Enfin… au moins pour l'appellation commerciale. Parce que, disons-le, entre la 504 cabriolet ou coupé et les 504 berline, break ou plateau, il n'y a qu'une vague ressemblance. Née sous le crayon du carrossier italien Pininfarina, elle est plutôt agréable à l'œil.
lundi 5 février 2018
Fatal dessin
J'étais en train d'encrer le dessin du jour. Devant moi, l'ordinateur était allumé et j'ai eu l'idée d'aller sur un site Internet. Le navigateur s'est mis à patauger dans la semoule sans parvenir à ouvrir la page demandée. Je décide d'aller voir un autre site mais le navigateur donnait tous les signes d'un beau plantage. Je cherche à quitter l'application et celle-ci semble bien bloquée. Bon. Je retourne sur le Finder et le moins que l'on puisse dire c'est que ça ne marche pas très bien.
Je décide de redémarrer cet ordinateur qui tourne depuis plus de quinze jours. Hum… La barre de progression se bloque vers la fin du démarrage. Je vais chercher une clé USB sur laquelle se trouve l'installateur du système. Je pense à un disque dur en train de lâcher. L'ordinateur démarre depuis la clé. C'est bon signe. Je me dis que je vais devoir ouvrir la machine pour changer le disque dur. J'ai un SSD dont je ne fais rien, ça va être l'occasion de donner un petit coup de fouet à cet ordinateur âgé de plus de dix ans. Avant, pour m'assurer que le problème vient bien du disque dur, je lance l'utilitaire permettant de contrôler l'état de ce dernier. Ça prend son temps et ça me sort un message d'erreur un peu étrange. Je relance une vérification et cette fois on me dit que le disque est en bon état. Bizarre.
Toujours depuis cette clé USB, je tente de définir le disque de démarrage pour redémarrer depuis le disque dur. Le système se bloque. Je procède à un redémarrage forcé en appuyant longuement sur le bouton de démarrage et en relançant l'ordinateur. La barre de progression avance et se bloque de nouveau mais, en plus, l'ordinateur s'éteint de lui-même. Je n'aime pas ça du tout. Nouvelle tentative, même résultat. L'ordinateur amorce un démarrage et s'éteint. Bon. Il est en panne.
Il est trop tôt pour poser un diagnostic. Ce peut être le disque qui fout la merde mais j'ai le sentiment désagréable que c'est plus profond. Ça ne m'arrange pas parce que je vais avoir besoin d'un Mac portable rapidement. Je vais tenter d'en trouver un d'occasion à distance raisonnable. Je sens que la journée d'aujourd'hui va être consacrée à ça alors que j'ai du boulot en retard. C'est la vie hein…
Ce qui est amusant, c'est le rapprochement que je fais avec le dessin que j'étais en train d'encrer. Prémonition ? Simple hasard ? Coïncidence ? Peu importe. J'ai fini d'encrer le dessin et c'est déjà une bonne chose de faite.
mercredi 18 octobre 2017
Les lecteurs ont du talent #1
C'est Waldo7624 qui est le premier à m'avoir confié ses images. J'en ai sélectionné cinq comme il était dit pour vous les présenter aujourd'hui. A cela, je vois au moins deux points positifs. Le premier, bien sûr, c'est que ça nous donne l'occasion de voir un déroulé de cette manifestation d'un autre œil que le mien. Le second, c'est que du coup je n'ai rien à faire et peux me tourner les pouces. Place aux photos !
Pour commencer, une belle et rare Traction Avant 15 Six découvrable et on reste dans les marques françaises avec une très belle Talbot Lago.
Toujours françaises et toujours prestigieuses, la Delahaye tant appréciée et la Bugatti Type 44.
Et enfin, la pointe d'une MG qui à elle seule est une invitation à la conduite sportive.
Ah oui, j'oubliais. Du fait que je suis rentré aux alentours de 3 heures ce matin, que je me suis levé à 7 heures après avoir dormi peut-être trois heures, je ne me suis pas appliqué inconsidérément à "améliorer" ces photos. D'autre part, comme convenu et comme il est attendu, demain mardi une belle surprise au programme !
dimanche 19 février 2017
Exposition d'automobiles et de motocyclettes à Marsac-sur-l'Isle
Vous pouvez aller voir les véhicules exposés, et éventuellement en acheter quelques uns lors de la vente aux enchères, aujourd'hui encore. Belle exposition de beaux véhicules. J'ai fait quelques images que je vous montrerai au gré de mon humeur du moment.
Pour commencer, une sélection de véhicules qui m'ont particulièrement plu. Hormis la Citroën Traction Avant cabriolet, des automobiles très anciennes dont une sans doute rare et de moi inconnue Alexandre Espine de course. Du moins, on peut le supposer en voyant le numéro d'inscription.
Sur celle qui suit, il est amusant de voir où les concepteurs ont jugé bon de placer le coffre, entre le conducteur et le passager et les éventuels passagers relégués loin à l'arrière.
Une marque déjà plus connue avec une de Dion-Bouton déjà bien plus moderne. La carrosserie est déjà pensée comme un tout d'un bout à l'autre de l'automobile. On a placé des portes, la ligne est plus basse, c'est là, dans les grandes lignes, ce que l'on trouvera jusqu'à la fin des années 30.
Cette ALBA exhibe une petite peluche sur le bouchon de radiateur et est doté d'un très utile accessoire permettant de ranger son parapluie lorsqu'il ne pleut pas. A ce sujet, on note l'absence de pare-brise mais aussi la présence de deux gros phares laissant imaginer que l'on pouvait s'aventurer dans une nuit noire en toute sécurité.
De 1939, cette Traction Avant cabriolet marque une évolution importante dans l'histoire de la conception automobile. Depuis quelques années, on ne monte plus en voiture mais on descend dedans.
lundi 12 septembre 2016
Véhicules anciens à Groléjac
Peut-être deviens-je difficile. L'an dernier, l'absence de tracteurs agricoles lors de l'exposition de véhicules anciens de Groléjac avait créé une déception dont j'avais eu bien du mal à me remettre. Cette année, pas beaucoup plus de tracteurs mais, me semble-t-il, aussi moins d'automobiles vraiment anciennes. Il ne doit pas être facile d'attirer les collectionneurs d'autant plus que les manifestations de ce genre ont tendance à se multiplier.
Mais tout de même, quelques véhicules bien intéressants dont ceux que je vous propose aujourd'hui avec une sélection un peu rapide. Pour commencer, un utilitaire pas si courant avec un Peugeot Q3A joliment restauré.
Pour poursuivre, deux cabriolets, l'un arrivé des Etats-Unis d'Amérique et l'autre d'Italie avec une Corvette et un bien agréable spider Fiat
Et pour rester dans le sujet, une Peugeot 403 cabriolet et une Renault 4cv découvrable rares.
Pour terminer, une classique Citroën Traction Avant que l'on prend toujours plaisir à croiser.
lundi 2 mai 2016
Torpédo-Club Corrézien
Premier mai. Muguet, repos, jour férié, Jehanne d'Arc, défilés syndicaux. Mais aussi bourse du Torpédo-Club Corrézien à Brive. J'ai choisi cette dernière et fait l'impasse sur le reste. En comparaison avec l'édition précédente, celle-ci m'a semblé moins riche en exposants. Je suis passé rapidement sur les allées de la bourse d'échange pour m'intéresser aux véhicules exposés et je vous propose une première sélection rapide de photographies.
samedi 23 avril 2016
Bagnoles diverses
Ces trois photos ont été faites à Ségonzac dimanche dernier. Les trois sont passées par l'ordinateur. Sur la première, j'ai détouré les voitures et reconstruit la route avant de l'incruster dans un paysage à qui j'ai appliqué un flou pour être en accord avec la SIMCA qui présente un flou naturel. Sur les deux autres, j'ai supprimé des éléments indésirables.