Mot-clé - la Bachellerie

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samedi 15 mai 2021

Toiture à reprendre

Ruine bien avancée

dimanche 2 mai 2021

Cadre bucolique

étang

mercredi 7 avril 2021

Travaux à prévoir

dimanche 21 mars 2021

A l'eau. Ah !

L'eau va à l'eau

samedi 13 février 2021

Ça coule de source

mercredi 3 février 2021

Ça déborde

jeudi 26 novembre 2020

Un autre arbre

mercredi 25 novembre 2020

Combien d'arbres ?

dimanche 8 novembre 2020

Douze pour un

dimanche 19 juillet 2020

Il en faut des picotins

jeudi 18 juillet 2019

Honda HR-V et combustion spontanée ?

Depuis combien de temps était-elle là, visiblement abandonnée ? Plus d'un an ? Peut-être. Un certain temps on va dire. Elle était jaune, pas en trop mauvais état, immatriculée dans les Hautes-Alpes, me semble-t-il me souvenir. Longtemps, elle est restée là, sur l'ancien tracé de l'ancienne RN 89 et elle ne semblait intéresser personne. On ne l'a pas vandalisée, on l'a laissée tranquille. C'est une Honda HR-V appelée aussi "Joy Machine". C'est une automobile construite entre la toute fin des années 90 du précédent millénaire et les premières années de notre millénaire présent. Ce n'est pas un véhicule qui m'a marqué ou qui m'a donné envie. Ce n'est pas non plus un véhicule qui a connu une large diffusion en France, il me semble. De fait, je ne sais pas grand chose de cette automobile. Est-ce une bonne voiture ? Je n'en sais rien. Je m'en fous.
Enfin bon. Elle est restée longtemps sans que personne ne s'en inquiète trop et elle a fini par brûler. Est-ce à cause des fortes chaleurs ou est-ce quelqu'un qui a trouvé là matière à laisser s'exprimer ses penchants pour la pyromanie ? Je l'ignore. Une automobile peut-elle s'enflammer spontanément à la faveur de la canicule ? Je l'ignore aussi. Ce que je sais, c'est que cette Honda ne parcourra plus les routes et chemins du pays.


lundi 15 juillet 2019

Ça tourne pas rond

Renault au théâtre du rond-point ?

samedi 13 juillet 2019

Épis c'est tout

céréales en vrac

vendredi 28 juin 2019

Angle de champ

lundi 6 août 2018

Course de caisses à savon

Ce dimanche après-midi, c'était jour de course au village. La rue de la République et les voies adjacentes, sécurisées par des bottes de paille, étaient coupées à la circulation et, sous un soleil écrasant, la population se massait le long de la descente. Une vingtaine de caisses à savon étaient en compétition. On trouvait un peu de tout, de la tondeuse autoportée débarrassée de son moteur au prototype savamment conçu. Quatre ou trois roues, carrosserie en contreplaqué ou en tôle formée à la massue, petites ou grandes roues, avec un guidon, un volant ou juste des leviers placés de part et d'autre de l'engin, toutes les solutions étaient représentées. Certaines avaient plus de succès que d'autres, bien sûr, mais il était un point qui était bien présent dans tous les cas, c'était l'humour.

  • caisses à savon la Bachellerie
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  • Azerat était en force !
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Le départ était donné au haut du village depuis un pan incliné constituée par une remorque. Dès que le départ était donné, les candidats lâchaient les freins et alors débutait la descente infernale. Les meilleurs pilotes choisissaient la meilleure trajectoire quand d'autres se contentaient de faire ce qu'ils pouvaient pour maîtriser leur machine et contenir les écarts et louvoiements intempestifs préjudiciables à la réalisation d'un chrono de légende.
Cette première édition de cette course de caisses à savon faisait écho à la course de côte de la Bachellerie d'autrefois sauf que là, c'était bien sûr une course de descente bien moins rapide mais aussi bien plus respectueuse de l'environnement. Parce que pardon mais niveau pollution, il n'y a pas mieux que la caisse à savon ! Bien sûr, il était fait appel à de puissants tracteurs à quatre roues motrices pour remonter les caisses à savon pour la prochaine manche. De tout petits tracteurs auraient sans doute été bien suffisants, s'ils avaient été un peu anciens, ils auraient pu ajouter un petit quelque chose à l'événement. Mais bon, hein…

mardi 3 juillet 2018

Quelque chose de Michèle

Morgan Plus 4

vendredi 29 juin 2018

Blés

Le soleil n'était pas encore trop brûlant. J'étais parti faire des photos de blés. Un client m'avait passé cette commande. Je n'avais pas besoin d'aller très loin pour en trouver, j'avais repéré des champs de blés à la Bachellerie. Je venais d'arrêter ma voiture quand une autre automobile s'arrêtait juste devant la mienne. Deux jeunes femmes en sortaient. Equipée d'une paire de ciseaux, l'une d'elles engageait la conversation en déclarant que nous avions eu la même idée. Montrant l'appareil photo qu'elle n'avait pas pu ne pas voir, je répondais que je n'étais pas venu voler des épis de blés, moi.
L'autre jeune femme restait à l'écart. Sans doute était-elle plus réservée, moins attirée par la folle fascination que je peux, à l'occasion, exercer sur les femmes de bon goût. Intérieurement, je me disais alors que c'était tout aussi bien étant entendu que cette autre jeune femme était vraiment moins jolie que celle qui était venue vers moi sans retenue. On ne peut pas dire que ce soit le cas à tous coups mais force est de reconnaître qu'il arrive que la vie soit bien faite.
La plus jolie des deux jeunes femmes, pour ne rien gâcher, était blonde. Comme les blés, oui. Tout pareil. Avec un grand beau sourire, elle m'expliquaist qu'elle venait prélever quelques épis de blé pour les accrocher à sa porte d'entrée afin que ceux-ci lui portent chance. Je lui rétorquais que cela ne marcherait pas et qu'il valait mieux, c'était prouvé, cueillir les orties présentes sur le talus. Je lui expliquais que pour que cela fonctionnât il était nécessaire de les cueillir à main nue. Avec du rire dans la voix, elle rétorqua qu'elle savait comment s'y prendre pour les arracher sans se piquer. Comme je lui disais que j'étais curieux de le vérifier, elle pinça une tige d'ortie entre des doigts et la cassa avec, tout de même, beaucoup de prudence. Elle brandit l'ortie avec un air victorieux auquel je répondis avec enthousiasme.
Comme la copine semblait considérer que le temps commençait à lui paraître long, la jolie blonde se décida à couper quelques épis de blé et d'en faire un petit bouquet qu'elle me tendit afin que je puis admirer comme il était bien réalisé. Je la félicitai, elle me souhaita de faire de belles photos et partit.

Et alors, j'ai fait quelques photographies et j'avais bien la certitude que je ne ferais rien de bon. Je ne me suis pas trompé.

Blés

mardi 1 mai 2018

C'est aujourd'hui ou jamais

Muguet du premier mai

lundi 2 avril 2018

Une terrible engeance

C'est le frère de l'autre. On l'appelle Hercule. Allez pas me demander pourquoi, je n'en sais rien. Son frère, c'est Figaro. Il paraît que Figaro est "plus calme" qu'Hercule. C'est possible mais ça ne saute pas aux yeux. En parlant d'yeux, ce qui y saute, c'est le regard d'Hercule. Il est plus sévère que celui du frangin, plus dur, plus décidé à commettre un maximum de conneries en un minimum de temps.

Le regard tendre d'Hercule

Hercule prend la pose

samedi 3 mars 2018

Un si mignon petit Figaro

Figaro

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