dimanche 12 janvier 2020
Mot-clé - Peyrignac
mercredi 27 septembre 2017
Quelle perte de temps
Comme il est de coutume assez rarement, je me réveille ce matin à 5 heures et 37 minutes (si j'en crois le réveil présent à ce moment précis et à portée d'œil). Je vais me préparer du café et je trépigne fiévreusement dans l'attente qu'il passe comme les minutes le font de leur côté. Un premier grand bol me remet les idées au clair, le deuxième finira par me faire reprendre les esprits tout à fait. Le troisième ne sera là que pour dire que je bois un litre de café.
J'écoute les nouvelles de la nuit à la radio et j'allume l'ordinateur aux alentours proches de 7 heures. La journée commence. Peu après, je suis au travail. Je suis en train de mettre en place un site Internet un peu compliqué et ça prend tournure. Là, à l'heure où je vous cause, je me rends compte que je n'ai pratiquement pas quitté l'écran de toute la journée. Si mon travail a bien avancé, j'ai comme l'idée que j'ai comme raté une journée, que j'ai perdu du temps, que les heures passées ne repasseront plus par là. Au moins, je ne me suis pas ennuyé. Je déteste l'ennui, d'une certaine manière. Si je l'accepte et en jouis lorsqu'il est recherché, je ne le supporte pas lorsqu'il est subi. En fait, il me semble qu'il est assez rare que je m'ennuie complètement. C'est presque à chaque fois une porte grande ouverte sur une occupation nouvelle. Il m'arrive de ne pas m'apercevoir que la journée est passée avec l'étrange sentiment de n'avoir rien fait des minutes écoulées. Lorsque je travaille réellement à quelque chose, le temps passe aussi mais pas de la même manière. Il apparaît comme plus pesant.
Avec tout ça, je n'ai rien imaginé pour le blog et je me contente de choisir une photo inédite vieille de déjà plusieurs semaines.
lundi 21 mars 2016
Des fleurs et la vertu de la patience
Aujourd'hui, j'ai découvert qu'une situation s'était débloquée. Je vous expliquais récemment que Pôle Emploi me devait des euros. Cette affaire traîne depuis janvier 2015. Je n'ai pas perçu d'allocations depuis cette date. En fin d'année dernière, tout de même, après près d'un an d'attente, je m'inquiète de cette situation auprès d'un employé de cette estimable institution. La personne m'apprend qu'elle n'a pas reçu mes déclarations successives. Puisque j'ai eu la prudence de m'en munir je les lui donne et il s'empresse d'en faire des copies. Il m'assure que tout allait être débloqué très rapidement.
En effet, quelques semaines plus tard, un courrier m'informe qu'un virement a été effectué sur mon compte en date du 21 décembre. Nous sommes alors en janvier de cette année. Dans les jours qui suivent, je consulte de temps à autres l'état de mon compte bancaire. Je ne vois rien arriver ni en janvier ni en février ni en mars... jusqu'à aujourd'hui. Oui ! Le virement effectué le 21 décembre 2015 est inscrit à mon crédit ce 9 mars dernier ! Mine de rien, ça va me permettre de souffler un peu.
Et alors, je me dis que le traitement informatique des opérations de toute sorte a du bon. On y gagne en efficacité. Qu'en aurait-il été si le versement avait été confié à des personnes physiques ?
Et donc, pour fêter l'événement, deux photos réalisées hier après-midi au bord du Cern sur la commune de la Bachellerie à moins que ce ne soit sur celle de Peyrignac. Il pleuvait un peu mais puisque j'avais mon appareil photo et que je ne voulais pas rentrer bredouille, je n'ai pas hésité à poser coude et genou dans la terre mouillée pour ces fleurs de printemps.
dimanche 21 septembre 2014
Ça ne cascade pas des masses
Hier soir, il n'est pas loin de 23 heures lorsque j'éteins la lumière, bien décidé à essayer de dormir. Une demi-heure après minuit, je ne dors pas. A deux heures et des poussières, je me réveille. Je pense être arrivé à me rendormir un peu avant quatre heures et je me fais du café alors que l'horloge indique cinq heures et vingt-trois minutes.
Après une carie qui est en passe d'être soignée, c'est une dent de sagesse qui se rappelle à mon bon souvenir. Ça fait pas loin de dix ans qu'elle m'avait laissé tranquille, celle-là, bien planquée dans la mâchoire, en bas, à droite, tout au fond. Elle se réveille et elle est bien décidée à m'emmerder. Puisque l'aspirine ne m'est d'aucun secours, je tente le paracétamol sans trop y croire. Je sens que la journée va être follement amusante. Je vais passer mon temps à tenter de dormir quelques minutes en mettant à profit les courtes périodes de répit. Bon, il y a plus grave.
Hier, je suis allé faire quelques photos. J'avais l'espoir qu'avec les fortes pluies de ces jours derniers, le Taravelou, petit cours d'eau qui passe par Peyrignac, soit bien vif. Et bien non. Presque à sec, le Taravelou. Histoire de dire que je ne m'étais pas déplacé pour rien, j'ai déclenché à quelques reprises.