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lundi 20 novembre 2017

Lui, on ne va pas le pleurer

Ce matin, j'apprends que Charles Manson est mort ce dimanche. C'est toujours rassurant de savoir que les salopards, les tarés, les fous dangereux, meurent aussi. Je n'ai pas l'intention de rappeler le parcours de ce malade, vous trouverez sans peine sur Internet ce que l'on sait de cet immonde personnage. Bon débarras.

Mais parlons d'autre chose. Mon frère m'apprend l'autre jour qu'il y a une épave de vieille voiture dans un bois à côté de chez lui. Moi, j'aime les épaves de voitures et plus encore lorsqu'il s'agit de Renault. Ne dit-on d'ailleurs pas qu'une Renault est une épave en sortie de chaîne ? Oui, bon, je ne suis pas sûr non plus que l'on dise ça. Peu importe. Cette épave, c'est celle d'une Juvaquatre. Je ne m'y connais pas suffisamment pour la dater mais il y a quelques signes qui permettent de penser que ce n'est pas là l'une des dernières fabriquées. Par exemple, la présence de flèches pour indiquer que l'on va tourner. La porte arrière, aussi, qui s'ouvre de gauche à droite quant on avait inversé ce sens d'ouverture à partir de 1956, me semble-t-il. Malheureusement, le moteur n'est plus là. Cela aurait permis de voir s'il s'agissait d'un modèle équipé d'un moteur à soupapes latérales, d'un moteur de 4cv ou encore de celui d'une Dauphine.

Juvaquatre
La Juvaquatre est la seule automobile née à l'époque de Louis Renault qui est restée en production après guerre et la nationalisation des usines Renault. Cette production perdura durant les premières années de l'occupation allemande. D'ailleurs, il paraît que Renault a été accusé de plagiat pour cette automobile qui ressemblait un peu trop à l'Opel Olympia allemande.
Si la juvaquatre n'a rien d'un véhicule révolutionnaire dans sa conception et les techniques mises en œuvre, je la trouve plutôt sympathique. Mon grand-père paternel en a eu une qu'il avait un peu "volée" à mon père. Je me souviens de sortie avec mon grand-père aux commandes, moi assis à l'arrière, dans le sens contraire de la marche, à l'endroit que ce grand-père avait décidé et avec l'interdiction absolue de changer de position. Ce grand-père avait une conception toute personnelle du code de la route et conduisait d'une manière qui lui était propre. Je pense que la Juvaquatre ne dépassait jamais les 50 ou 60 km/h. Il y avait tout un cérémonial pour la mise en route de l'automobile, un cérémonial qui impliquait que l'on prévoit de prendre la route au moins trois heures avant. Mon grand-père conduisait avec le nez presque collé au pare-brise et ne regardait ni à gauche ni à droite. L'important, c'était de regarder devant. Ma grand-mère avait la charge de s'occuper des observations latérales et moi, j'avais pour consigne d'avertir si un danger surgissait de l'arrière.
Cette Juvaquatre a été vendue au début des années 80. Je l'ai un peu regrettée, tout de même.

jeudi 7 septembre 2017

Des populaires aux Vintage Days

Lorsque l'on est écœuré de trop de luxe tapageur, que les Jaguar ou autres Bentley vous sortent par les trous de nez, quoi de mieux que de diriger son regard vers les véhicules populaires ? Et il se trouve que de ces modestes véhicules, il y en avait aussi à Périgueux.
Après sa nationalisation, Renault se dirige vers l'automobile destinée aux masses laborieuses. On a un truc conçu pendant les années de guerre, un machin propulsé par un moteur à quatre cylindres placé à l'arrière. Parce que l'on ne manque pas d'imagination, à la RNUR, on l'appelle "4cv". Elle est produite jusqu'en 1961 sans grands changements.

Comme un canari

Renault 4cv

Le grand luxe en petit

On le constate sur la dernière image, le luxe (et même le grand luxe) n'est pas oublié chez Renault. Il s'agit là d'un luxe modeste. Point de cuir Connoly, de ronce de noyer, d'aluminium bouchonné mais quelques accessoires supplémentaires et un gain de quelques chevaux. De cette 4cv, on cherche à concevoir un nouveau modèle. Ce sera la Dauphine.

Renault Dauphine

Le plein de phares

Sur la deuxième image, on est épaté par le nombre de dispositifs d'éclairage en présence. Je me suis renseigné auprès de son propriétaire qui m'a appris qu'il avait réalisé lui-même (et en tôle s'il vous plaît !) ce capot qui donne un aspect bien sportif à cette modeste Dauphine.

Motoconfort et Motobécane sont au rendez-vous pour illustrer la mobilité mécanique du petit peuple, de la France d'en-bas, du gagne-petit, du laborieux.

Motoconfort et Motobécane pour une équipée sauvage

Il n'en reste pas moins vrai que l'on n'a pas besoin d'engin d'exception pour afficher un grand sourire et tutoyer le bonheur simple. La preuve ces deux jeunes gens chevauchant un GT10 et un TSA Peugeot, deux sympathiques cyclomoteurs que l'on prend plaisir à revoir.

Petites Peugeot

mardi 5 septembre 2017

Vin d'âge d'aise

On continue notre récapitulation des véhicules en présence lors des Vintage Days et on commence par une Porsche 356.

Porsche 356

Juste à côté, une DS devant une Renault Caravelle pour une invitation au voyage.

Citroën DS et Renault Caravelle

Un peu plus loin, une Panhard Dyna X bien reconnaissable.

Panhard Dyna X

Quelques années séparent ces deux Citroën, d'abord une C4 puis une Rosalie.

Citroën C4

Citroën Rosalie

Sur une base de 2cv Citroën, une amusante Lomax trois roues qui donne le sourire aux spectateurs comme aux occupants du véhicule.

Lomax

Plus américaine, plus cossue, plus puissante, plus connue, une Chevrolet Corvette modèle 1956.

Chevrolet Corvette 1956

Peu courante et assez rare, une Volkswagen Karmann Ghia type 34 bien agréable.

Volkswagen Karmann Ghia type 34 1966

dimanche 3 septembre 2017

Les jours millésimés épisode 1

Depuis vendredi et jusqu'à aujourd'hui, Périgueux résonne au son des moteurs de véhicules anciens et vit à l'heure des années trente à soixante-dix avec force animations. J'ai passé une grande partie de ce samedi à faire le plein d'images d'automobiles anciennes et il se pourrait que vous en ayez à bouffer dans les jours à venir. Si j'ai trouvé cette édition moins enthousiasmante que celle de l'an passé, c'est en grande partie en raison de l'absence des véhicules d'exception qui étaient présents dans l'enceinte de la propriété Brou de Laurière. Pas de Bugatti, pas de Delahaye ou de Talbot pour 2017. Par contre, il m'a semblé voir bien plus d'américaines qui ne jouaient pas la carte de la sobriété.
Le matin, on pouvait admirer un grand nombre de véhicules sur l'esplanade Badinter et assister à la grande parade dans les rues de la ville. L'après-midi, on voyait déjà bien moins de modèles exposés mais on pouvait tout de même en trouver de beaux exemplaires dans les rues et sur les places de la ville. La place Montaigne était réservée à l'espace "néo rétro" avec beaucoup d'américaines et des stands dédiés à la personnalisation des carrosseries. Cette partie m'a semblé un peu pauvre et assez peu intéressante. Je ne m'y suis pas attardé.
Et donc, quelques photos...

Citroën Rosalie

Citroën Traction Avant

Citroën 2cv

Renault 1000kg Goelette

Mobylette

125 Motobécane

Buick 1948

De Soto 6

Chevrolet Corvette

samedi 22 juillet 2017

4cv à Fossemagne

4CV Renault

vendredi 19 mai 2017

Un peu comme une pomme

Moteur de Renault Dauphine en piteux état

mercredi 17 mai 2017

De l'électricité dans l'air

L'autre jour, il n'y a pas bien longtemps, j'étais à Périgueux pour une journée de promotion du véhicule électrique initiée par l'association Elecmobiles 24. Si les Renault étaient très largement majoritaires avec plusieurs ZOE et une Twizy, on pouvait également trouver une Hyundai IONIQ, une Nissan Leaf et deux Tesla. Pas de vélo électrique, moto ou scooter, par contre.
Pour cette première série de photos je vais m'attacher à la présentation des Renault présentes. A noter que la concession locale de la marque avait dépêché un commercial et une ZOE affublée de son oriflamme.

ZOE rouge
Marc Louchart, président de l'association périgordine, ne ménageait pas sa peine pour attirer le badaud de passage par l'esplanade Robert Badinter. Par curiosité ou parce que l'idée de "passer à l'électrique" les titille, plusieurs personnes s'arrêtaient pour poser des questions ou profiter d'un essai.

deux générations de ZOE
M. Casado de Bergerac était venu avec sa ZOE. Pour lui, la voiture thermique, c'est fini. Il l'a bannie de son environnement et ne circule plus qu'en ZOE quelque soit la distance. Ce n'est qu'une question d'organisation. Il faut avoir une carte des points où recharger ses batteries et accepter de rouler différemment, de morceler son trajet en optimisant le parcours au gré des bornes. Cette ZOE bleue, c'est la troisième qui entre dans le foyer. Avec plus de 190000 kilomètres au compteur en électrique, il ne faut pas lui raconter que ce mode de locomotion n'est pas adapté ou ne s'adresse qu'aux trajets urbains.

Deux ZOE
L'autonomie est la question qui revient toujours et celle portée en contre par celles et ceux qui se cherchent des raisons de ne pas choisir l'automobile électrique. Les points de recharge se multiplient sur tout le territoire et il est tout à fait possible aujourd'hui d'envisager un voyage de trois cents kilomètres d'une traite voire encore un peu plus.

Renault ZOE
Ceci dit, il faut bien convenir de ce que la voiture électrique n'est pas à la portée de toutes les bourses et qu'elle n'est pas adaptée à tous. Par exemple, il est pratiquement indispensable de posséder un garage où la ranger pour la recharger par exemple pour la nuit. Une personne vivant en appartement ne pourra vraisemblablement pas jeter une rallonge par le balcon pour aller brancher sa voiture sur le parking à plusieurs dizaines de mètres de là.

Bout de ZOE
La voiture électrique n'est pas une lubie des temps modernes. Déjà en 1899, à Achères en Seine-et-Oise (actuellement Yvelines), la Jamais Contente est la première automobile à passer la barre des cent kilomètres à l'heure et il s'agissait bien d'une voiture électrique. Néanmoins, ces dernières années voient les automobiles électriques gagner en autonomie et en sophistication. Les progrès faits sur les batteries et sur les dispositifs de récupération d'énergie lors des freinages ou décélérations font que l'attrait pour ces véhicules est grandissant.

brochette de ZOE
Pour les amateurs de polémique à la petite semaine, il existe une question semble-t-il inventée spécialement pour eux et sur laquelle ils se jettent comme l'escargot sur la feuille tendre d'une laitue inattentive. Cette question, c'est celle du paradoxe entre une automobile "écologique" et la production d'électricité très majoritairement d'origine nucléaire pour nous autres Français de France. Alors d'abord, il y a les faits incontestables. Une voiture électrique ne pollue pas l'air ambiant avec des gaz d'échappement plus ou moins malodorants. Ensuite, il est difficile de prétendre que l'industrie pétrolière ne génère pas de pollution à toutes les étapes depuis l'extraction jusqu'à son utilisation.

ZOE qualité France
Le nucléaire est certainement un problème à long terme. Aujourd'hui, il est possible d'envisager sérieusement ce que l'on appelle la transition énergétique et nous pouvons espérer voir la proportion d'électricité "propre" grimper jusqu'à dépasser voire remplacer la part liée au nucléaire. Il restera le problème du stockage des déchets et celui du démantèlement des centrales mais le mal est fait et il est désormais trop tard pour regretter d'avoir misé sur l'électricité nucléaire.

ZOE sur place
Par contre, on peut se questionner sur ce qu'il se passera si la voiture électrique vient à se développer d'une manière vraiment importante. Là, oui, il faudra accroître la capacité de production électrique dans des mesures qui ont sans doute été calculées.
Alors, peut-être devra-t-on se positionner en fonction des recommandations du scénario Négawatt et adopter une certaine sobriété énergétique, du moins dans nos déplacements, en acceptant de réfléchir à l'importance de tel ou tel trajet. Et puis, on peut aussi imaginer que des progrès sont encore à venir et que l'on pourra compter sur des modes de production électrique dispersées sur tout le territoire à la manière d'une multitude d'unités de production. L'idée d'une consommation moindre, par contre, est assez illusoire sauf à produire des véhicules réellement efficients, moins lourds, générant moins de résistance au roulage. Des véhicules qui rouleraient moins vite sur des pneumatiques plus fins avec un équipement allégé. Une sorte de 2cv Citroën à la mode électrique, en somme.

ZOE cocorico
Le concept de la voiture électrique comme futur du moyen de locomotion personnel est peut-être sinon simpliste du moins illusoire. Ce segment est certainement promis à une progression notable mais ne permettra pas de satisfaire tout le monde. Hormis cela, il est permis de s'interroger sur la place qui sera faite à l'automobile personnelle dans les années futures. Il n'est pas impossible que ce concept soit en fin de vie et qu'il sera prochainement mis à mal par des systèmes de partage de véhicule, de covoiturage ou par un renouveau des transports collectifs. De plus en plus souvent, les agglomérations installent des zones de stationnement à leur périphérie et proposent des navettes pour gagner les centre-ville. Des études prédisent la fin des grands centres commerciaux au profit d'une renaissance des commerces plus traditionnels. Mais il y a aussi des nouveaux modes de consommation qui sont en germe comme Amazon qui veut se lancer dans l'épicerie et livrer à domicile les boîtes de petits-pois ou les paquets de farine. Et cela sans parler des projections qui annoncent une très violente récession pour les décennies à venir. Il n'est pas totalement exclu que cette affaire de voiture électrique soit un peu le chant du coq d'une industrie moribonde.

Renault ZOE
Les agréments apportés par l'automobile sur les 80 dernières années est à poser sur le plateau de la balance en opposition aux désagréments qu'elle a causé. Les paysages ont été revus pour la voiture, les villes ont été changées à cause d'elle, les énormes centres commerciaux sont nés grâce à elle, la pollution, les embouteillages, les heures perdues à rester sur place, les accidents de la route, les morts, les blessés de la route sont à prendre en compte. Il n'est pas si sûr que le bilan soit positif.

Pub sur ZOE

dimanche 14 mai 2017

Vieilles photographies #8

Renault

jeudi 2 mars 2017

Moins grave qu'un assassinat politique

On m'a encore demandé de réaliser une illustration vectorielle d'une automobile. La photo qui m'a été communiqué est de mauvaise qualité et d'une taille ridicule. J'ai fait ce que j'ai pu en tentant de trouver d'autres images sur Internet. Le fait est que si le résultat n'est pas terrible il me permet néanmoins de proposer quelque chose sur le blog aujourd'hui encore.

bagnole à la con

vendredi 24 février 2017

La corrosion vous va si bien

Economie de peinture


Et Christophe Maciet me contacte pour me demander s'il peut me faire parvenir l'affiche pour la Fête de la Mobylette qu'il organise à Jaulnay dans l'Indre-et-Loire le 18 mai prochain. S'il n'est pas habituel de faire paraître sur ce blog des annonces de manifestations, je n'y suis absolument pas opposé et je trouve même la démarche intéressante.
Bien sûr, je ne serai pas présent à Jaulnay mais peut-être parmi vous se trouveront quelques personnes intéressées.

fête de la Mobylette

samedi 18 février 2017

Heureux avec ma Renault

Renault 4cv

vendredi 2 décembre 2016

La pine et l'attraction

Alpine

vendredi 18 novembre 2016

Ça c'est de la caisse

Renault V8

samedi 1 octobre 2016

Une 4L à Groléjac

Renault 4

jeudi 29 septembre 2016

Une 4cv Renault

4cv d'époque épique

dimanche 25 septembre 2016

Ecolo à la sauce nucléaire

Récemment, j'ai pu voir un peu le panorama de ce qu'il existe en matière de voiture électrique et hybride. C'était à Périgueux et c'était une étape du "Nouvelle-Aquitaine Electrique Tour". Des Renault, Peugeot, Volkswagen, BMW, Tesla, des propriétaires d'automobile électrique, le SDE24, des bornes de recharge partout et même un tapis rouge. Bien, bien, bien.

Renault Twizy
Il y avait aussi deux bicyclettes à aide électrique que l'on pouvait essayer. Je ne l'ai pas fait. Tout cela est très bien et très propre. Très "écolo". Très dans l'air du temps. Très anti Diesel, surtout. Et franchement, c'est bien, la voiture électrique. Ce n'est pas bruyant, c'est nerveux, c'est simple à conduire, ça ne demande pas trop d'entretien. Il n'y a que la question de l'autonomie mais on ne peut pas tout avoir et c'est surtout une question de déploiement de bornes de recharge. On a enlevé tous les parcmètres au profit des horodateurs, ils vont peut-être revenir sous la forme de bornes de recharge. On paiera son stationnement en rechargeant ses batteries. Pourquoi pas ?

Renault ZOE
La question de l'écologie est mise en avant et là on peut se permettre de tiquer un peu. Certes, la voiture électrique ne pollue pas (ou pollue moins). Ça, c'est une certitude. Moins de pollution par les gaz d'échappement, moins de pollution sonore aussi ! Et c'est important. Mais la production de l'électricité et des batteries (ainsi que leur inévitable recyclage) peut faire dire que le bilan écologique n'est pas si positif que ça. On le sait, la France est très dépendante de son parc de réacteurs nucléaires. On peut voir la production électrique par filière sur le site de RTE en temps réel. 76% au moment où j'écris ces lignes. Mon ordinateur est donc alimenté pour les ¾ en électricité nucléaire.
Je ne suis pas contre l'électricité nucléaire parce que je suis bien content d'avoir de l'électricité. Je ne suis pas non plus un défenseur de cette production électrique et pense qu'il est sans doute bon de pousser les énergies renouvelables. Le nucléaire pose tout un tas de problèmes que nous connaissons tous. Les déchets, les coûts cachés, la sécurité. A côté, une éolienne est moins problématique. Elle produit moins aussi. Bref.

ZOE nucléaire
Le problème de la voiture électrique, c'est que ça ne résout rien à la problématique de la voiture. La vraie question, en matière d'environnement, c'est de savoir si l'on peut se passer de nos véhicules, accepter de moins se déplacer, de se déplacer plus intelligemment, plus propre, plus écologique, plus économique, aussi. Ce n'est pas sûr mais on sera sans doute obligés d'y arriver. On nous a poussé à avoir notre véhicule personnel, on a poussé l'industrie automobile et nous nous y sommes bien habitués.
Il se trouve que, aujourd'hui, les automobiles n'ont pas le droit de rouler dans Paris. Sans doute est-ce la voie à suivre. Sans aller dans les extrêmes et parce qu'il y aura toujours des personnes pour soulever des particularités, il faudra éduquer les gens à mieux réfléchir à leurs déplacements. J'aime bien pouvoir prendre la bagnole pour aller où bon me semble lorsque j'en ai envie mais des fois je me demande tout de même si ça pourra durer longtemps.

Peugeot ION Mitsubishi
Parmi les véhicules présents, il y avait beaucoup de "citadines". Ce sont elles que je vous présente aujourd'hui. Il y avait aussi des Tesla, une BMW i8, une Volkswagen XL1. J'aime bien la BMW, je la trouve aguicheuse avec ses airs de voiture sportive bien agressive. J'aime aussi la XL1. Les Tesla sont plus classiques. Quoi qu'il en soit, on ne me fera pas croire que l'on roule avec ces autos pour des raisons de préservations de la bonne santé de la planète. N'empêche que la BMW me plairait bien.

Renault ZOE
Si je ne laisse pas tomber la 405 Diesel que j'aime d'amour pour passer à une voiture électrique, vous me croirez si vous le voulez, c'est pour une question financière et aussi parce que ça serait tout un pataquès pour installer le dispositif de recharge dans mon garage où je ne pourrais de toute manière pas faire entrer la voiture. Avec une ZOE, je pourrais faire l'aller-retour Périgueux. Il serait plus délicat d'aller me promener sur les bords de la Dordogne ou partir à l'aventure sur les petites routes du département. Le truc aussi, c'est le temps de recharge. Je ne sais pas si l'automobile électrique a vraiment un avenir pour les peuplades des campagnes. Je ne pense pas que ce soit très bien adapté.
Il y a quelques années, on parlait de stations-service où l'on pourrait procéder à un remplacement des batteries. Ce serait une bonne idée. Bien sûr, il faudrait passer par une unification des batteries pour toutes les marques. Déjà que j'ai vu que toutes les prises n'étaient pas standardisées (et c'est scandaleux)...
Ou alors, un jour, peut-être, on arrivera à faire de l'électricité liquide et on pourra faire le plein comme avec du vulgaire gazole ?

Electricité liquide

mercredi 21 septembre 2016

Des mobs en bord de route

Entraide entre mobyletteurs

mercredi 14 septembre 2016

Comme des pommes

Plus communes, plus populaires, que les Bugatti, les Renault Dauphine ont été très présentes sur nos routes avant que les automobilistes se rendent enfin compte qu'il y avait bien mieux à faire que de conduire ces engins sans grand intérêt. Certains d'entre-eux, pourtant, cherchent à perpétuer une tradition que l'on aurait pu rêver éteinte à tout jamais et préservent ces petites automobiles à moteur arrière (sauf en cas de tête à queue).
Dans les photos que je vous propose aujourd'hui, vous noterez la présence d'une Ondine qui est une version plus luxueuse de la Dauphine. La Dauphine naît de la 4cv dont elle reprend une bonne partie de la mécanique. Elle donnera à son tour naissance à un cabriolet (Caravelle et Floride étant à mes yeux la même chose) et aux R8 et R10. Alors, Renault abandonnera les voitures à propulsion (sauf pour les Alpine, bien sûr) pour longtemps.

Dauphine

2cv et Dauphine

Quand est-ce qu'on mange ?

Dauphine Gordini et Lotus Seven

Dauphine

Dauphine Gordini

lundi 12 septembre 2016

Véhicules anciens à Groléjac

Peut-être deviens-je difficile. L'an dernier, l'absence de tracteurs agricoles lors de l'exposition de véhicules anciens de Groléjac avait créé une déception dont j'avais eu bien du mal à me remettre. Cette année, pas beaucoup plus de tracteurs mais, me semble-t-il, aussi moins d'automobiles vraiment anciennes. Il ne doit pas être facile d'attirer les collectionneurs d'autant plus que les manifestations de ce genre ont tendance à se multiplier.
Mais tout de même, quelques véhicules bien intéressants dont ceux que je vous propose aujourd'hui avec une sélection un peu rapide. Pour commencer, un utilitaire pas si courant avec un Peugeot Q3A joliment restauré.

Peugeot Q3A

Pour poursuivre, deux cabriolets, l'un arrivé des Etats-Unis d'Amérique et l'autre d'Italie avec une Corvette et un bien agréable spider Fiat

Fiat 124 spider

Chevrolet Corvette début des années 60

Et pour rester dans le sujet, une Peugeot 403 cabriolet et une Renault 4cv découvrable rares.

4cv découvrable

Peugeot 403 cabriolet

Pour terminer, une classique Citroën Traction Avant que l'on prend toujours plaisir à croiser.

Citroën Traction Avant 7cv

mercredi 24 août 2016

Un léger retard dans les livraisons est à craindre

Un camion

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