Je pense avoir compris la superbe subtilité de la marque du bulldozer: fréquemment, il s'agit de la société Caterpillar, souvent réduit à Cat. Donc, notre Maître vénéré s'est fendu d'un jeu de mot imparable avec Kit, parce que Kit-et-Cat. Hu hu hu!
Enfin, pour ceux qui ont la patience d'attendre: 1.- La prévisualisation. 2.- La validation qui prennent un certain temps pour apparaître. Sans garantie, d'ailleurs, de publication. Et ce, sans utiliser de mots maudits.
@Liaan : Il m'étonnerait fort que la manifestation de nos impatiences émeuve le Blog-Maister.
L'inverse me surprendrait moins.
Donc, ô joie! Ô liesse! Mon texte est en quarantaine, youpi!
Aller, on'c Liaan un peu d'entrain s'il vous plaît!
C'est avec de semblables engins qu'une révolution foncière fut menée dans les années 60. Cela s'appelait le Remembrement. Les parcelles de chacun, qui parfois s'égaillaient sur plusieurs communes, furent regroupées à grands coups de bulldozers, au grand dol des haies et des petits chemins. Dans ce grand boneteau des propriétaires terriens, dédié aux rendements supérieurs et à une certaine forme de logique, certains gagnèrent de meilleurs terrains, et d'autres non.
Nous autres, les mioches, étions ravis de ce chanbardement mécanique. Nous voulions tous devenir conducteurs de bulldozer, car voir un de ces engins à l'oeuvre, c'est quelque chose!
Aujourd'hui, la mode et le bon sens demandent de recréer ces petites parcelles et ces haies autrefois honnies. Youpi!!!
@Jeannot lou Paysan : Aujourd'hui, la mode et le bon sens demandent de recréer ces petites parcelles et ces haies autrefois honnies. Non, pas la mode, mais la logique. Et la nécessité. Les haies retenaient la terre et l'eau, accessoirement, de nombreux animaux y nichaient, oiseaux, musaraignes et autres rongeurs lapinesques. Comme les inondations sont de plus en plus fréquentes et destructrices, on s'est rendu compte que les haies étaient nécessaires pour les retenues d'eau. Elles coupaient aussi du vent, vent qui emmène la terre trop sèche. En Bretagne, il y a des murets qui jouent ce rôle de protection contre le vent tout en guidant les gars qui avaient du gîte après avoir abusé de boissons, les murets leur permettaient de regagner leurs maisons sans encombre (1). Etc. Vous connaissez tout ça.
@Liaan : Très accessoirement, ces haies nous fournissaient des noisettes, des tuteurs et du bois de chauffage quand on les taillait.
Et puis l'hiver, parce que c'était une autre époque, munis de lance-pierres, nous les suivions à deux, un de chaque côté, en essayant de flinguer les merles. Souvent en pure perte heureusement. Oui, nous mangions les merles en ce temps là, et même que nous les piégions avec de vieilles pommes comme appât quand la neige recouvrait le sol. C'était pas gros, mais c'était bon.
@Jeannot lou Paysan : Yes, faute de grive, quoique, il y en avait de passage par chez nous en 28 ... pas l'année. La trappe était de loin plus productrice.
La pêche, avez vous eu gardons ou truites au lance pierres au moment où ils remontaient en surface pour moucher. A 16 ans, j'étais en fonderie, la fonte avait un pouvoir de pénétration dans l'eau incroyable, comme le plomb☻
@fifi : Merci de m'avoir rappelé ce qu'était un pigot! Ce n'est pas parce que je suis un citadin que j'ignore cet objet. D'ailleurs, plus tard, y'en a des qui se servaient, comme projectiles, des billes de roulement. Moi, c'était des billes de flipper que je lançais au bistrot, comme Corine Charby.
Histoire de ne pas rester à 4 sur le sujet, une petite intervention au titre de 5ème.
Le mort, quoi...
Juste avant la fin du jeudi 6 mai 2021, jour qu'on ne verra pas de sitôt, il faut donc en profiter.
@Liaan : La fameuse journée du 7 ! Dont les plus grands auteurs, comme Victor Hugo, Amélie Nothomb, Maurice Tillieux et Bernard Henri-Levy ont parlé dans leurs œuvres.
Nous ne reviendrons pas ici sur cette terrible journée, mais c'est bien d'en évoquer le douloureux souvenir que les générations futures se doivent de conserver à jamais dans leurs mémoires, afin que de tels moments ne se reproduisent pas.
Une marche blanche sera organisée devant l'hôtel de Ville d'Azerat, à la mémoire de ceux qui l'ont perdue, et une cellule psychologique sera ouverte dimanche matin après la messe chez le maître du blog.
Bonne journée du 7.
1 De Liaan - 06/05/2021, 09:20
Tout remettre à plat. Vaste programme.
2 De Tournesol - 06/05/2021, 10:33
Kit ? Ce n’est pas Kit Carson,il n’était pas si bête.
3 De Tournesol - 06/05/2021, 10:34
Parfois,ainsi,dans la vraie vie,on rencontre des gens qui sont fiers d’être stupides...
4 De Liaan - 06/05/2021, 11:30
Je pense avoir compris la superbe subtilité de la marque du bulldozer: fréquemment, il s'agit de la société Caterpillar, souvent réduit à Cat. Donc, notre Maître vénéré s'est fendu d'un jeu de mot imparable avec Kit, parce que Kit-et-Cat. Hu hu hu!
5 De Liaan - 06/05/2021, 11:32
Votre commentaire a été enregistré et sera publié après validation.
La routine.
6 De Liaan - 06/05/2021, 11:34
C'est ainsi que l'on va avoir plein de petits commentaires et autres propos !
7 De Liaan - 06/05/2021, 11:37
Enfin, pour ceux qui ont la patience d'attendre: 1.- La prévisualisation. 2.- La validation qui prennent un certain temps pour apparaître. Sans garantie, d'ailleurs, de publication. Et ce, sans utiliser de mots maudits.
8 De Jeannot lou Paysan - 06/05/2021, 12:13
@Liaan : Il m'étonnerait fort que la manifestation de nos impatiences émeuve le Blog-Maister.
L'inverse me surprendrait moins.
Donc, ô joie! Ô liesse! Mon texte est en quarantaine, youpi!
Aller, on'c Liaan un peu d'entrain s'il vous plaît!
9 De Tournesol - 06/05/2021, 13:02
@Liaan : mais Liaan ne ferait il pas partie des mots maudits ?
10 De fifi - 06/05/2021, 14:23
Les casques obligatoires ne sont pas de rigueurs sur ce Blog !
11 De fifi - 06/05/2021, 14:26
@Liaan : @Liaan : Hu hu hu !
... croustillante au bon goût de biscuit .
12 De Liaan - 06/05/2021, 14:32
@fifi : Hu hu ?
Vous mangez de la colle, maintenant ?
13 De Jeannot lou Paysan - 06/05/2021, 15:52
C'est avec de semblables engins qu'une révolution foncière fut menée dans les années 60. Cela s'appelait le . Les parcelles de chacun, qui parfois s'égaillaient sur plusieurs communes, furent regroupées à grands coups de bulldozers, au grand dol des haies et des petits chemins. Dans ce grand boneteau des propriétaires terriens, dédié aux rendements supérieurs et à une certaine forme de logique, certains gagnèrent de meilleurs terrains, et d'autres non.
Nous autres, les mioches, étions ravis de ce chanbardement mécanique. Nous voulions tous devenir conducteurs de bulldozer, car voir un de ces engins à l'oeuvre, c'est quelque chose!
Aujourd'hui, la mode et le bon sens demandent de recréer ces petites parcelles et ces haies autrefois honnies. Youpi!!!
14 De Jeannot lou Paysan - 06/05/2021, 15:54
!
15 De Liaan - 06/05/2021, 16:10
@Jeannot lou Paysan : Aujourd'hui, la mode et le bon sens demandent de recréer ces petites parcelles et ces haies autrefois honnies. Non, pas la mode, mais la logique. Et la nécessité. Les haies retenaient la terre et l'eau, accessoirement, de nombreux animaux y nichaient, oiseaux, musaraignes et autres rongeurs lapinesques. Comme les inondations sont de plus en plus fréquentes et destructrices, on s'est rendu compte que les haies étaient nécessaires pour les retenues d'eau. Elles coupaient aussi du vent, vent qui emmène la terre trop sèche. En Bretagne, il y a des murets qui jouent ce rôle de protection contre le vent tout en guidant les gars qui avaient du gîte après avoir abusé de boissons, les murets leur permettaient de regagner leurs maisons sans encombre (1). Etc. Vous connaissez tout ça.
(1) Là, c'est moi qui en rajoute.
16 De Jeannot lou Paysan - 06/05/2021, 18:37
@Liaan : Très accessoirement, ces haies nous fournissaient des noisettes, des tuteurs et du bois de chauffage quand on les taillait.
Et puis l'hiver, parce que c'était une autre époque, munis de lance-pierres, nous les suivions à deux, un de chaque côté, en essayant de flinguer les merles. Souvent en pure perte heureusement. Oui, nous mangions les merles en ce temps là, et même que nous les piégions avec de vieilles pommes comme appât quand la neige recouvrait le sol. C'était pas gros, mais c'était bon.
17 De Liaan, baba cool - 06/05/2021, 18:57
@Jeannot lou Paysan : La dure loi de la campagne. Fifi doit vous comprendre, il a vécu ça, je crois.
18 De Jeannot lou Castex - 06/05/2021, 19:47
@Liaan :
Faites comme si ce n'était pas le cas et continuez à nous raconter!
19 De fifi - 06/05/2021, 20:40
@Jeannot lou Paysan : Yes, faute de grive, quoique, il y en avait de passage par chez nous en 28 ... pas l'année. La trappe était de loin plus productrice.
La pêche, avez vous eu gardons ou truites au lance pierres au moment où ils remontaient en surface pour moucher. A 16 ans, j'étais en fonderie, la fonte avait un pouvoir de pénétration dans l'eau incroyable, comme le plomb☻
20 De fifi - 06/05/2021, 20:43
@Liaan : Même des garennes dans des saules zigouillés au pigot*.
* lance pierres.
21 De fifi - 06/05/2021, 20:47
@Liaan : Oui ! Oui ! Moi je connais la pub :
" Un gros tube, un ' ' tit tube
c'est l'heure d' l'a-péro titube "
22 De fifi - 06/05/2021, 21:45
https://www.youtube.com/watch?v=_9I...
23 De Liaan, baba cool - 06/05/2021, 22:48
@fifi : Merci de m'avoir rappelé ce qu'était un pigot! Ce n'est pas parce que je suis un citadin que j'ignore cet objet. D'ailleurs, plus tard, y'en a des qui se servaient, comme projectiles, des billes de roulement. Moi, c'était des billes de flipper que je lançais au bistrot, comme Corine Charby.
24 De Liaan - 06/05/2021, 22:49
@fifi :
25 De Spoutnik V - 06/05/2021, 23:52
Histoire de ne pas rester à 4 sur le sujet, une petite intervention au titre de 5ème.
Le mort, quoi...
Juste avant la fin du jeudi 6 mai 2021, jour qu'on ne verra pas de sitôt, il faut donc en profiter.
26 De Spoutnik V - 06/05/2021, 23:54
@Spoutnik V : ...qu'on ne Reverra pas...
27 De Liaan - 07/05/2021, 07:40
@Spoutnik V : À 23H52, c'était limite !
Je vous souhaite une bonne journée du 7.
28 De Spoutnik VI - 07/05/2021, 09:26
@Liaan : La fameuse journée du 7 ! Dont les plus grands auteurs, comme Victor Hugo, Amélie Nothomb, Maurice Tillieux et Bernard Henri-Levy ont parlé dans leurs œuvres.
Nous ne reviendrons pas ici sur cette terrible journée, mais c'est bien d'en évoquer le douloureux souvenir que les générations futures se doivent de conserver à jamais dans leurs mémoires, afin que de tels moments ne se reproduisent pas.
Une marche blanche sera organisée devant l'hôtel de Ville d'Azerat, à la mémoire de ceux qui l'ont perdue, et une cellule psychologique sera ouverte dimanche matin après la messe chez le maître du blog.
Bonne journée du 7.