Va-t-on (comme Jean) se souvenir de l'intrigue ? Surtout que la plupart de ceux qui suivaient sont plus ou moins attaqués par Alzheimer le terrible, qui fait des ravages dans les plus solides matières grises.
Merci pour ce grand retour...
Hello !
Pour rafraîchir la mémoire des anciens lecteurs, voici la retranscription du feuilleton écrit publié en son temps (février 2013) sur ce blog devenu glob. N'oubliez pas que la bande dessinée est une adaptation de ce feuilleton écrit !
Extrait :
- Si on allait voir la maison Labornez, brigadier Chapraud ? interrogea le brigadier Chapraut.
- J'allais vous en parler, brigadier Chapraut.
- Allez hop, en action ! ajouta ce dernier.
- Un dernier verre pour la route ? proposa Kermitt.
- Ce n'est pas de refus, M.Kermitt ! répondit le brigadier Chapraud.
Trois verres plus tard, les voici dans la 4L réglementaire en vue des ruines de la maison de Gaëlle.
- Quoi c'est-il don' passé ici ? On dirait que tout a sauté ! Que des ruines, l'automobile noire que nous avions vue l'autre soir est toute bousillée... hé, ho ! Je vois un bout de jambe là !
Le deux pandores escaladèrent le monticule de gravats en s'approchant de la jambe. Machinalement, au mépris de toute réglementation, le brigadier Chapraud tira comme une bête sur ladite jambe qui s'échappa des restes de pierre et de plâtre, et notre brigadier Chapraud chut dans un interminable juron.
- Ça va, brigadier Chapraud ?
- Punaise ! La canne s'est détachée du tronc ! Mais, mais, ce n'est pas une jambe humaine ! C'est une jambe de… de… robot ! Ou de Martien ! Nom de Nom ! Le pékin Kermitt aurait-il raison ? Nous sommes envahis par les Martiens ! Eh, vous êtes où, brigadier Chapraut ? s'étonna le brigadier Chapraud.
- Je suis là, lui répondit-il, je cherche un accès vers la cave !
- La cave ?
- Oui, il y avait de belles réserves dans la cave du temps de Yannick ! Je ne pense pas que Gaëlle Labornez ait tout sifflé, à son âge !
-Son âge, son âge, cela ne l'empêche pas de faire les quatre-cents coups, à la Gaëlle, vous allez pas me dire que ce qui s'est passé ici est l'habitude d'une retraitée !
-Ah, j'ai trouvé l'entrée de la cave, coupa le brigadier Chapraut.
Les deux compères descendirent dans la cave qui ne semblait pas avoir trop souffert de la déflagration, à part la poussière, remarqua le brigadier Chapraud.
Deux bonnes grosses futailles remplissait en partie la cave.
Les yeux avides, le brigadier Chapraud toqua de l'index replié la première. Vide, conclut-il.
- Quant à l'autre, elle sonne elle aussi creux. Aah Sacré Nom d'un Pipe, la Gaëlle devait avoir soif, ponctua-t-il en heurtant du poing le foudre, dont le couvercle soudain s'ouvrit !
- Qu'est-ce-que c'est que ce commerce ? jura-t-il pendant que son collègue s'approchait.
- Allez chercher la lampe-torche dans l'auto, brigadier Chapraut !
Pendant que le brigadier Chapraut allait chercher la lampe, le brigadier Chapraud touchait les parois du foudre, qui a dû contenir du pinard, pensa-t-il, mais cela remonte à fort longtemps, c'est comme qui dirait sec comme mon gosier à cet instant.
La lampe-torche arrivée, d'autorité le brigadier Chapraud s'en empara et éclaira la partie de la cave qui faisait cellier :
- Ah ! Des litres pleins !
Il s'empara d'un bouteille de vieux calva et l'ouvrit avec son nécessaire d'urgence pour ces cas là. Satisfait, il donna la bouteille entamée à son collègue qui, à la guerre comme à la guerre, y but goulûment.
- Bon, et c'te futaille, qu'est-ce-qu'elle a dans le ventre ? lança le brigadier Chapraud.
Tous deux pénétrèrent dans le foudre béant. Parvenus à l'autre extrémité, Chapraut toqua, cela sonnait toujours creux, ils poussèrent, mais rien ne bougea, si ce n'est un léger craquement.
- Nous somme bêtes ! les gonds sont de ce côté, il faut donc tirer vers nous !
La manœuvre effectuée, ils virent l'amorce d'un escalier, après s'être interrogés du regard, n'en menant pas large, il descendirent, le brigadier Chapraut en tête, suivi du brigadier Chapraud qui tenait la lampe-torche de manière à s'éclairer mutuellement les pieds. Chapraut compta mentalement cinquante-neuf marches de pierres.
- Cela doit nous faire environ une descente de bien douze mètres !
Un palier qui pouvait être fermé par une porte de métal à peine rouillée restée ouverte débouchait sur un couloir. Couloir immense dont la lampe-torche essayait de voir l'issue ; en éclairant tout autour, ils virent tous les deux un interrupteur rotatif, d'un modèle fort ancien, et le brigadier Chapraut, après avoir interrogé du regard son collègue, décida de l'actionner, et surprise ! Une lumière envahit le couloir qui ne paraissait pas avoir de fin, tout du moins jusqu'au coude situé à une quarantaine de mètres.
- Ben dites donc, dit doucement le brigadier Chapraud, y'a pas intérêt d'oublier d'éteindre en sortant, parce qu'après avoir gravi toutes ces marches, tu n'as pas envie de les redescendre et de les remonter !
Le brigadier Chapraut répliqua que le courant électrique ne venait pas de là-haut, mais du bas, montrant à son comparse, le tube de métal enfermant les fils électriques. Nos deux compères, tout en silence, se lancèrent sur le parcours, en marchant lentement. Quatre-cents pas, comptèrent-ils mentalement. Une autre porte, toujours de métal mais comme blindée celle-ci, restée ouverte également.
- Éteignez derrière vous, chuchota le brigadier Chapraud, on ne sait jamais…
Ils étaient arrivés dans un couloir voûté d'environ six mètres de largeur, entièrement bétonné, avec au milieu une voie ferrée noyée dans le sol.
- C'est de la voie de soixante, annonça doctement le brigadier Chapraut, cela me rappelle la Ligne Maginot que l'on a visité y'a dix ans, avec ma femme, ajouta-t-il.
- Alors, ici, ce doit-être le Mur de L'Atlantique conclu le brigadier Chapraud.
- Sûrement !
Ils avancèrent jusqu'à tomber nez à nez avec, tout d'abord, un wagon de transport d'ouvriers et son banc en long au milieu, et, en tête de ce petit train, une petite motrice électrique.
- Ça fonctionne peut-être encore ? déclara le brigadier Chapraut.
- Nom de nom, ne touchez à rien ! Ne nous rappelez pas l'exploit de tantôt avec la moto !
- Chut ! Écoutez ! Continua le brigadier Chapraud, on dirait que de l'eau coule.
En effet, un petit caniveau le long du mur était parcouru par un petit ruisseau qui suivait la petite pente descendante du couloir.
- Vous cherchiez d'où vient le courant, osa le brigadier Chapraut, tout en farfouillant le tableau de bord de la petite locomotive.
- Ah, c'est malin. Très, très fin, votre courant, brigadier Chapraut !
Mais le brigadier Chapraud fut déséquilibré par le train qui venait de s'ébranler ! Le brigadier se retrouve assis à califourchon sur le banc central du wagon.
- Tchou tchou, ça roule ! s'exclama le brigadier Chapraut, promu mécanicien du petit convoi.
Le brigadier Chapraud, passager involontaire, était rouge de fureur, hurlait dans le bruit du mouvement du train :
- Vous êtes fou ! brigadier Chapraut ! Stoppez ce train ! nous n'avons déjà pas de justificatif pour pénétrer dans des lieux privés, mais en plus nous nous livrons à des voies de fait en utilisant sans autorisation des biens privés ! Au nom du ciel, brigadier Chapraut, arrêtez ce train de la mort sûre !
- Je voudrais bien, lui répondit le brigadier Chapraut, mais les freins ne répondent pas, et le tunnel est en descente ! Ce train devait être en révision...
- Pas le savoir, brigadier Chapraut, en rentrant à la Brigade, c'est un rapport que vous aurez, et qui sera très mauvais pour votre avancement hurla le brigadier Chapraud, voix étouffée par le roulement du convoi ferroviaire.
La ligne était doucement éclairée par de pâles loupiotes, et parfois par des ouvertures ressemblant à des meurtrières, la voie descendait toujours donnant une légère accélération au train devenu "Train Fantôme", emportant deux nobles représentants de la Gendarmerie Française. Impossible de sauter en marche, la vitesse acquise étant trop élevée et les murs trop près de la voie centrale...
Fin de l'extrait
Si cela peut vous rappeler quelques éléments ?
Tatactapoum tatactapoum tatactapoum...ça me rappelle le service militaire.
Z'avez vu? Les pandores roulent dans un tunnel lui même creusé dans un souterrain!
Je m'attends à voir Lou Reed surgir d'une vignette à l'autre.
Qui sont les deux jouvenceaux?
Quel plaisir de retrouver nos deux gendarmes, dommage, le train roulait trop vite pour s'arrêter au tabac.
Merci pour ce long résumé qui me laisse ...
occis-mort.
1 De Waldo7624 - 22/03/2022, 08:59
Va-t-on (comme Jean) se souvenir de l'intrigue ? Surtout que la plupart de ceux qui suivaient sont plus ou moins attaqués par Alzheimer le terrible, qui fait des ravages dans les plus solides matières grises.
Merci pour ce grand retour...
2 De Valérian - 22/03/2022, 09:02
Mais que fais-je en cette galère ?
3 De Mémoire du feuilleton - 22/03/2022, 09:24
Hello !
Pour rafraîchir la mémoire des anciens lecteurs, voici la retranscription du feuilleton écrit publié en son temps (février 2013) sur ce blog devenu glob. N'oubliez pas que la bande dessinée est une adaptation de ce feuilleton écrit !
Extrait :
- Si on allait voir la maison Labornez, brigadier Chapraud ? interrogea le brigadier Chapraut.
- J'allais vous en parler, brigadier Chapraut.
- Allez hop, en action ! ajouta ce dernier.
- Un dernier verre pour la route ? proposa Kermitt.
- Ce n'est pas de refus, M.Kermitt ! répondit le brigadier Chapraud.
Trois verres plus tard, les voici dans la 4L réglementaire en vue des ruines de la maison de Gaëlle.
- Quoi c'est-il don' passé ici ? On dirait que tout a sauté ! Que des ruines, l'automobile noire que nous avions vue l'autre soir est toute bousillée... hé, ho ! Je vois un bout de jambe là !
Le deux pandores escaladèrent le monticule de gravats en s'approchant de la jambe. Machinalement, au mépris de toute réglementation, le brigadier Chapraud tira comme une bête sur ladite jambe qui s'échappa des restes de pierre et de plâtre, et notre brigadier Chapraud chut dans un interminable juron.
- Ça va, brigadier Chapraud ?
- Punaise ! La canne s'est détachée du tronc ! Mais, mais, ce n'est pas une jambe humaine ! C'est une jambe de… de… robot ! Ou de Martien ! Nom de Nom ! Le pékin Kermitt aurait-il raison ? Nous sommes envahis par les Martiens ! Eh, vous êtes où, brigadier Chapraut ? s'étonna le brigadier Chapraud.
- Je suis là, lui répondit-il, je cherche un accès vers la cave !
- La cave ?
- Oui, il y avait de belles réserves dans la cave du temps de Yannick ! Je ne pense pas que Gaëlle Labornez ait tout sifflé, à son âge !
-Son âge, son âge, cela ne l'empêche pas de faire les quatre-cents coups, à la Gaëlle, vous allez pas me dire que ce qui s'est passé ici est l'habitude d'une retraitée !
-Ah, j'ai trouvé l'entrée de la cave, coupa le brigadier Chapraut.
Les deux compères descendirent dans la cave qui ne semblait pas avoir trop souffert de la déflagration, à part la poussière, remarqua le brigadier Chapraud.
Deux bonnes grosses futailles remplissait en partie la cave.
Les yeux avides, le brigadier Chapraud toqua de l'index replié la première. Vide, conclut-il.
- Quant à l'autre, elle sonne elle aussi creux. Aah Sacré Nom d'un Pipe, la Gaëlle devait avoir soif, ponctua-t-il en heurtant du poing le foudre, dont le couvercle soudain s'ouvrit !
- Qu'est-ce-que c'est que ce commerce ? jura-t-il pendant que son collègue s'approchait.
- Allez chercher la lampe-torche dans l'auto, brigadier Chapraut !
Pendant que le brigadier Chapraut allait chercher la lampe, le brigadier Chapraud touchait les parois du foudre, qui a dû contenir du pinard, pensa-t-il, mais cela remonte à fort longtemps, c'est comme qui dirait sec comme mon gosier à cet instant.
La lampe-torche arrivée, d'autorité le brigadier Chapraud s'en empara et éclaira la partie de la cave qui faisait cellier :
- Ah ! Des litres pleins !
Il s'empara d'un bouteille de vieux calva et l'ouvrit avec son nécessaire d'urgence pour ces cas là. Satisfait, il donna la bouteille entamée à son collègue qui, à la guerre comme à la guerre, y but goulûment.
- Bon, et c'te futaille, qu'est-ce-qu'elle a dans le ventre ? lança le brigadier Chapraud.
Tous deux pénétrèrent dans le foudre béant. Parvenus à l'autre extrémité, Chapraut toqua, cela sonnait toujours creux, ils poussèrent, mais rien ne bougea, si ce n'est un léger craquement.
- Nous somme bêtes ! les gonds sont de ce côté, il faut donc tirer vers nous !
La manœuvre effectuée, ils virent l'amorce d'un escalier, après s'être interrogés du regard, n'en menant pas large, il descendirent, le brigadier Chapraut en tête, suivi du brigadier Chapraud qui tenait la lampe-torche de manière à s'éclairer mutuellement les pieds. Chapraut compta mentalement cinquante-neuf marches de pierres.
- Cela doit nous faire environ une descente de bien douze mètres !
Un palier qui pouvait être fermé par une porte de métal à peine rouillée restée ouverte débouchait sur un couloir. Couloir immense dont la lampe-torche essayait de voir l'issue ; en éclairant tout autour, ils virent tous les deux un interrupteur rotatif, d'un modèle fort ancien, et le brigadier Chapraut, après avoir interrogé du regard son collègue, décida de l'actionner, et surprise ! Une lumière envahit le couloir qui ne paraissait pas avoir de fin, tout du moins jusqu'au coude situé à une quarantaine de mètres.
- Ben dites donc, dit doucement le brigadier Chapraud, y'a pas intérêt d'oublier d'éteindre en sortant, parce qu'après avoir gravi toutes ces marches, tu n'as pas envie de les redescendre et de les remonter !
Le brigadier Chapraut répliqua que le courant électrique ne venait pas de là-haut, mais du bas, montrant à son comparse, le tube de métal enfermant les fils électriques. Nos deux compères, tout en silence, se lancèrent sur le parcours, en marchant lentement. Quatre-cents pas, comptèrent-ils mentalement. Une autre porte, toujours de métal mais comme blindée celle-ci, restée ouverte également.
- Éteignez derrière vous, chuchota le brigadier Chapraud, on ne sait jamais…
Ils étaient arrivés dans un couloir voûté d'environ six mètres de largeur, entièrement bétonné, avec au milieu une voie ferrée noyée dans le sol.
- C'est de la voie de soixante, annonça doctement le brigadier Chapraut, cela me rappelle la Ligne Maginot que l'on a visité y'a dix ans, avec ma femme, ajouta-t-il.
- Alors, ici, ce doit-être le Mur de L'Atlantique conclu le brigadier Chapraud.
- Sûrement !
Ils avancèrent jusqu'à tomber nez à nez avec, tout d'abord, un wagon de transport d'ouvriers et son banc en long au milieu, et, en tête de ce petit train, une petite motrice électrique.
- Ça fonctionne peut-être encore ? déclara le brigadier Chapraut.
- Nom de nom, ne touchez à rien ! Ne nous rappelez pas l'exploit de tantôt avec la moto !
- Chut ! Écoutez ! Continua le brigadier Chapraud, on dirait que de l'eau coule.
En effet, un petit caniveau le long du mur était parcouru par un petit ruisseau qui suivait la petite pente descendante du couloir.
- Vous cherchiez d'où vient le courant, osa le brigadier Chapraut, tout en farfouillant le tableau de bord de la petite locomotive.
- Ah, c'est malin. Très, très fin, votre courant, brigadier Chapraut !
Mais le brigadier Chapraud fut déséquilibré par le train qui venait de s'ébranler ! Le brigadier se retrouve assis à califourchon sur le banc central du wagon.
- Tchou tchou, ça roule ! s'exclama le brigadier Chapraut, promu mécanicien du petit convoi.
Le brigadier Chapraud, passager involontaire, était rouge de fureur, hurlait dans le bruit du mouvement du train :
- Vous êtes fou ! brigadier Chapraut ! Stoppez ce train ! nous n'avons déjà pas de justificatif pour pénétrer dans des lieux privés, mais en plus nous nous livrons à des voies de fait en utilisant sans autorisation des biens privés ! Au nom du ciel, brigadier Chapraut, arrêtez ce train de la mort sûre !
- Je voudrais bien, lui répondit le brigadier Chapraut, mais les freins ne répondent pas, et le tunnel est en descente ! Ce train devait être en révision...
- Pas le savoir, brigadier Chapraut, en rentrant à la Brigade, c'est un rapport que vous aurez, et qui sera très mauvais pour votre avancement hurla le brigadier Chapraud, voix étouffée par le roulement du convoi ferroviaire.
La ligne était doucement éclairée par de pâles loupiotes, et parfois par des ouvertures ressemblant à des meurtrières, la voie descendait toujours donnant une légère accélération au train devenu "Train Fantôme", emportant deux nobles représentants de la Gendarmerie Française. Impossible de sauter en marche, la vitesse acquise étant trop élevée et les murs trop près de la voie centrale...
Fin de l'extrait
Si cela peut vous rappeler quelques éléments ?
4 De Gustave Eiffel - 22/03/2022, 13:10
Puis-je avoir l'adresse du concepteur de ce pont suspendu ?
5 De Tournesol - 22/03/2022, 15:34
Wé,le retour des grands anciens! Chapraud euh,chapeau…
6 De Jeannot lou Paysan - 23/03/2022, 19:29
Tatactapoum tatactapoum tatactapoum...ça me rappelle le service militaire.
Z'avez vu? Les pandores roulent dans un tunnel lui même creusé dans un souterrain!
Je m'attends à voir Lou Reed surgir d'une vignette à l'autre.
Qui sont les deux jouvenceaux?
7 De fifi - 23/03/2022, 22:18
Quel plaisir de retrouver nos deux gendarmes, dommage, le train roulait trop vite pour s'arrêter au tabac.
Merci pour ce long résumé qui me laisse ...
occis-mort.
8 De Eddy Siondargau - 24/03/2022, 08:10
Valerian et Laureline.
Oui, c'est moins connu que la Scarole et la Batavia.