Des objectifs photographiques à ma disposition, c'est ce Canon EF 80-200mm L f:2.8 mon préféré. Il a été produit entre 1989 et 1995. Au mieux, il n'a donc qu'une petite vingtaine d'années. Toutefois, dans la mesure où il porte la mention "SPECIAL DEMO/TEST", je pense pouvoir supposer qu'il fait partie des tous premiers produits. J'imagine même qu'il s'agit d'un objectif assez exceptionnel, produit à quelques exemplaires et destiné à montrer aux professionnels de l'époque le niveau d'excellence atteignable par Canon. J'aime à penser qu'il a bénéficié de soins particuliers lors du montage, de l'alignement des lentilles, du calage de la rampe de mise au point. J'adore son rendu et en particulier celui obtenu à pleine ouverture.
Cet objectif n'est pas dénué de points faibles. Le premier est qu'il est lourd. Un peu plus de 1,4 kg tout de même ! Ensuite, il n'est pas équipé de moteur USM. Du coup, la mise au point est un peu lente. Enfin, il est incapable de faire le point à une distance inférieure à 1,80 mètres. Tous ces "défauts" n'en font pas un objectif difficile à utiliser, c'est juste qu'il faut avoir conscience de ses limites. Par exemple, pour un photographe de sport (ce que je ne suis certainement pas) ce 80-200 serait aujourd'hui désagréable à utiliser en raison de son autofocus lent. Par contre, pour un photographe de paysage, ce n'est pas un gros souci.
Moi, j'aime bien l'utiliser pour réaliser des portraits volés et j'aime bien l'utiliser à pleine ouverture. A Lanouaille, je me suis amusé à le visser sur le boîtier que j'avais en main et à chasser les expressions. Ça ne fonctionne pas à tous les coups ! Parce que l'on est un peu loin du sujet, on ne se fait pas assez remarquer et il peut arriver que quelqu'un entre dans le champ et refuse d'en sortir. Ce qui me dérange aussi, parfois, c'est que la grosseur de l'objectif fait qu'il se fait trop remarquer. Je n'aime pas beaucoup que quelqu'un vienne me dire que c'est un objectif "professionnel" et que, du coup, je dois en être un. Hier, j'ai encore eu à expliquer à plusieurs reprises que je ne faisais ces photos que pour mon plaisir. De toutes façons, si j'avais les moyens, je choisirais un Leica M avec deux objectifs, un 50mm et un 35mm. Je conserverais le matériel Canon pour réaliser les photos qu'il serait impossible de faire avec le Leica. Malheureusement, hélas, je n'ai pas les 6000 euros nécessaires pour me faire ce petit plaisir.
Parfois, je me dis qu'il y a des alternatives au Leica. Chez SONY, Olympus ou d'autres fabricants, il existe des boîtiers qui pourraient convenir. Voire, pourquoi pas, choisir un bon compact ? L'intérêt, c'est que c'est plus discret. Ou alors, il y a toujours cette idée de revenir à l'argentique et à la pellicule noir et blanc. Un vieux Leica de la série M, un M6 tant qu'à faire ! Un Leica M avec un ou deux Summicron ! Ce serait chouette. Ça reste assez cher et je n'ai pas d'endroit où faire un labo photo chez moi. Je pourrais imaginer en faire un dans le sous-sol mais il faudrait le vider, le rendre accessible. C'est une autre histoire, ça.
Et donc, après ce bavardage et avant de me mettre au boulot, je vous propose trois photos faites ce dimanche à Lanouaille.
1 De arielle - 19/10/2015, 09:40
J'aime bien.
2 De arielle - 19/10/2015, 09:41
Je n'ai qu'un R Machinchose à vendre :-)))
3 De Liaan - 19/10/2015, 09:58
Pour l'amateur de vieux magazines que je suis, ces images photographiques seraient dignes d'être dans les recueils " LIFE Autour du monde " ou dans la revue " Réalité " des années d'après guerre.
Malgré votre désir de ne faire des photos que pour votre plaisir (et le nôtre), vous n'êtes pas loin de vous rapprocher du travail des professionnels de la photographie.
4 De michel - 19/10/2015, 10:12
@arielle : Ok
@arielle : Bah oui mais non, c'est un M ou rien. Je n'ai jamais été persuadé de la pertinence du système R de chez Leica.
@Liaan : ? On est toujours entre deux guerres, finalement.
Il est gentil, votre commentaire. Professionnel ne veut pas dire "bon". Je suis très (très) loin des bons photographes ou des photographes que je vénère un peu. Et puis, le matériel n'est pas pour rien dans la qualité perçue, aussi.
5 De Liaan - 19/10/2015, 10:29
@michel : De mon temps (!), un professionnel était souvent un bon photographe. Si je ne me trompe pas, Doisneau fut employé par les usines Renault, puis par la Régie Renault, ainsi que par les publications semi-officielles style "La France aujourd'hui", de riches revues que l'on trouvait dans les ambassades françaises à l'étranger, puis maintenant chez les amateurs de vieux papiers.
Maintenant, et souvent, les "photographes professionnels" travaillent pour des banques d'images qui n'achètent qu'une dizaine de photos que l'on retrouvera partout dans la presse. Encore un métier en crise. Surtout avec l'apparition des images prises sur le vif par M. Lambda qui sera sur les lieux au bon moment avec son "téléphone-qui-prend-des-images".
6 De michel - 19/10/2015, 11:00
@Liaan : Doisneau a bien travaillé pour Renault. Par certains aspects, il me semble que Doisneau était plus un poète qu'un simple (mais talentueux) photographe. Il est de la famille de ces photographes qui parviennent à raconter une histoire sur une seule image. C'est très difficile, il me semble. J'adorerais savoir faire ça.
Aujourd'hui, la photographie qui connaît une réelle crise est celle qui a trait à l'actualité. Beaucoup de photographes qui travaillent dans "l'événementiel", pour "couvrir" des mariages ou pour faire de la photo publicitaire ne passent absolument pas par des banques d'images. Et il ne faut pas confondre banque d'images et agence photographique.
Pour le photo-journalisme, là c'est sûr que les temps sont durs. Comme vous le notez, le pékin lambda est souvent sur les lieux d'un fait divers avant le photographe professionnel et il n'hésite pas à partager ses images sur les réseaux sociaux où l'on peut s'approvisionner lorsque l'on est rédacteur en chef ou chargé d'iconographie au sein d'un journal ou d'une chaîne de télévision.
D'un côté, c'est peut-être un peu triste pour les photographes mais il faut reconnaître que ça donne aussi un peu d'horizontalité à l'information. De toutes façons, la presse est en crise et il lui faut bien s'adapter au monde moderne. Monde moderne qui fait que nous n'avons plus le temps de lire de longs articles de fond dans les journaux, que nous sommes submergés d'informations que nous ne faisons plus que survoler. Vivement le retour aux temps anciens !
7 De Liaan - 19/10/2015, 11:30
@michel : Rassurez vous, vous aussi, vous êtes tout à fait capable de raconter une histoire avec une simple photographie. J'en ai pour exemple la photo du monsieur à côté d'un Gitane Testi, et qui le regarde avec amour. Image en N&B qu'évidemment je ne peux pas retrouver à cause des lacunes de votre "moteur de recherche" : J'ai tapé Gitane Testi, c'est pas là, alors je frappe Cyclomoteur, ce devait être à la page précédente, mais impossible de l'obtenir. Faudrait pouvoir contacter le responsable.
Ah, si : avec les étiquettes, j'ai trouvé " Qu'elle est belle ma mob ".
Cette photo n'est qu'un exemple auquel je pense, mais vous avez réalisé d'autres images riches en informations.
8 De michel - 19/10/2015, 11:35
@Liaan : Oui, oui, accidentellement il m'arrive de faire une photo correcte. Celle dont vous parlez, je l'aime beaucoup.
9 De Liaan - 19/10/2015, 11:55
@michel : Pis je crois qu'aussi de grand photographe comme Doisneau avait le bol de choper une image accidentellement, aussi. Ils "provoquaient" aussi la belle image (je repense à la série où il est à l'intérieur d'une boutique de vente de tableaux, avec une toile représentant une "grisette" courtement vêtue, et Doisneau déclenchait l'obturateur lorsque les bonnes gens découvraient cette toile). Ou alors, ces grands photographes "mettaient en scène" directement les "acteurs" (le fameux "baiser volé"). Mais, comme vous dites, il y avait beaucoup de poésie dans ces images. Et puis ces grands photographes ne pouvaient pas faire appel à la technologie actuelle (auto-focus, mesure automatique de la lumière, etc.). Il y a eu énormément de travail, d'exercices avant de pouvoir réaliser de si belles images.
10 De Liaan - 19/10/2015, 12:56
Hors sujet :
Une information qui ne surprendra pas Sax/Cat :
je viens de voir passer un camping-car avec en remorque une Twingo.
J'avais déjà été épaté par le fait qu'un camping-car avec une auto sans permis en remorque, et Sax/Cat m'avait appris que c'était très courant. Là, une Twingo ! Bientôt une 404 ou une R16 en remorque ! Ça a l'air bien pratique, mais je pense à l'usure des pneumatiques et des roulements du véhicule remorqué, ne serait-il pas plus judicieux de mettre une remorque porte-voiture à l'arrière du camping-car ? Bon, oui, c'est d'un gabarit plus large. Où alors, le camping-car à l'américaine : gros véhicule avec son "garage" intégré, avec l'auto transportée à l'intérieur.
Le type qui inventera l'automobile pliante ou gonflable aurait de quoi se faire des "golden bolloks".
C'était notre Hors-Sujet du jour.
11 De michel - 19/10/2015, 13:03
@Liaan : A l'occasion, lorsque vous en aurez le temps, il faudra que vous m'éclaircissiez sur votre façon de penser et sur votre logique. En quoi est-il moins grave d'user les pneumatiques de la remorque (qui devra supporter son poids propre en plus de celui du véhicule transporté) et les roulements de cette remorque ?
12 De Liaan - 19/10/2015, 13:30
@michel : Heureux de vous voir vous interroger sur ma logique de pensée.
Je m'explique :
Une voiture courante, jusqu'à preuve d'un contraire, possède quatre roues.
Une remorque peut aussi avoir quatre roues (cas fréquent dans la remorque porte-bagnole) mais n'aura que deux roues pour le cas d'une remorque plus légère.
Je trouve bête d'user les peuneus, ainsi que les roulements de la bagnole.
Une remorque est plus rarement utilisée, donc l'usure des roulements et des peuneus sera relativement moins importante. Tandis que la bagnole, non seulement, tout ça va être plus usés, mais les roulements et les peuneus s'useront lors des étapes (sans compter que non seulement les roulements, mais aussi les cardans et leurs joints s'usent lors de la période remorquage).
Bref : une remorque est utilisée dans le remorquage, c'est sa destination première.
13 De Liaan - 19/10/2015, 13:35
@Liaan : Je ne sais pas si j'ai été assez clair.
Un truc qu'est bonnard pour la bagnole remorquée : le compteur kilométrique ne vas sans doute pas fonctionner lors des phases remorquages (je pense que les compteurs kilométriques actuel ne fonctionnent que lorsque le contact est mis).
Une remarque en voyant cette Twingo en remorque : la répétition des feux du véhicule tracteur n'était pas assuré sur le véhicule remorqué. Est-ce tout à fait légal (ainsi que l'absence de triangles réflectorisés rouge) ?
14 De michel - 19/10/2015, 13:36
@Liaan : Une remorque à deux roues imposera donc à chaque pneumatique de supporter au moins deux fois plus de poids. Pas certain que votre calcul soit bon. L'usure des cardans, des roulements ? Mouais, bof, bof, bof...
15 De Liaan - 19/10/2015, 13:39
@Liaan : Absence de feux répétiteurs : le conducteur aurait dû apposer un dispositif relié aux feux du véhicule tracteur sur la Twingo en remorque, pour être tout-à-fait dans la légalité.
16 De Liaan - 19/10/2015, 13:45
@michel : "Mouais, bof, bof, bof "
Ben, un peuneu de remorque est conçu pour ne supporter que du poids. Il ne sera que "tracté" et exige une fabrication différente d'un pneumatique de bagnole (qui doit répondre à la traction, au freinage et à la tenue de route qui sont différents).
À savoir si un pneu de remorque coûte plus cher qu'un pneu de voiture.
Non, M'sieur bof, bof, bof ?
17 De Liaan - 19/10/2015, 13:46
@Liaan : Il n'y a pas à dire :
c'est une question essentielle en ce XXIème siècle.
18 De michel - 19/10/2015, 14:03
@Liaan : Si vous tenez tant à avoir raison, vous avez raison. Si vous voulez qu'un pneumatique monté sur une remorque ne supporte aucun effort, c'est votre droit et je suis heureux que vous soyez prêt à croire cela. Je note juste qu'une remorque est rarement pourvue des trésors d'ingéniosité en matière d'amortissement. Mais dans le fond, hein, après tout...
19 De michel - 19/10/2015, 14:14
@Liaan : Bon. J'ai fait une rapide recherche et je lis que le système est interdit en France. On va pouvoir arrêter là.
20 De Liaan - 19/10/2015, 14:29
@michel : J'ai lu le lien, et surtout les commentaires ! Marrants !
Bon, ceci dit, l'idée d'une remorque porte-voiture a l'air d'être plus intéressante (avis du Liaan qui persiste !).
21 De michel - 19/10/2015, 14:32
@Liaan : Je n'aime pas les camping-cars et je considère comme ridicule d'amener une bagnole en supplément de son camping-car. Je peux comprendre que l'on se charge de bicyclettes ou d'une petite machine motorisée à deux roues, cependant.
22 De Tournesol - 19/10/2015, 14:43
Le gus qui emmène son camping car et sa voiture a un cerveau d'huître et comme toute huître qui se respecte,il devrait rester colle à son rocher.
23 De Sax/Cat - 19/10/2015, 14:44
À propos de camping-car et de vélo.
Je n'ai jamais eu de camping-car, et je ne suis jamais monté dans un camping.
Est-ce que vraiment il n'y a pas la place d'y caser un ou deux vélos plutôt que de les attacher à l'extérieur, parfois plus que sommairement ?
24 De michel - 19/10/2015, 15:01
@Tournesol : Ce ne sont pas les moules qui s'accrochent aux rochers ?
@Sax/Cat : Et vous faites quoi des vélos lorsque vous voulez utiliser le camping-car pour manger, baiser ou dormir ? Vous les jetez dehors ?
25 De Tournesol - 19/10/2015, 15:20
@michel : les moules AUSSI,ainsi que les anatidés,les coraux etc...mais les moules font "peuple"donc je dis huîtres pour les ceusses dès camping car.@Sax/Cat : dans les petits combi VW il restait de la place.dans les camping car,qui sont faits pour montrer ce que l'on a,il n'y en aura jamais assez.
26 De Sax/Cat - 19/10/2015, 15:24
@michel :
Beh actuellement, ils sont où ?
Je ne pense pas que l'on puisse utiliser un camping-car pour manger, baiser ou dormir en même temps que l'on bouffe du kilomètre.
(pour tant est qu'un camping-car soit fait pour servir et pas pour montrer)
27 De Boumbah! the RIPer - 19/10/2015, 17:19
Chozkinarienavoir, Danièle Delorme a défunté !!!!
28 De michel - 19/10/2015, 17:40
@Sax/Cat : Vous n'avez pas trop la rock n'roll attitude, vous. Je vous assure que l'on peut voyager en camping-car et bouffer en même temps que l'on dort et baise, dans ces machines. On peut même y cuisiner de la méthamphétamine.
@Boumbah! the RIPer : Oui.
29 De arielle - 19/10/2015, 18:42
@Boumbah! the RIPer : Tant que c'est pas moi :P
@michel : Vous regardez trop de feuilletons. Alors donc baiser et bouffer en dormant c'est rock ? :-)
30 De fifi - 19/10/2015, 21:26
@Tournesol : Pas toutes, les huîtres ( fer à cheval ou pied de cheval ) vivent au fond, sur le sable et non accrochées aux rochers.
Elles sont appelées ainsi car il y en a certaines qui sont aussi larges qu'un pied de cheval de trait, la coque est si épaisse qu'il faut une tenaille pour entamer la coque afin de pouvoir glisser la lame d'un couteau. Ces huîtres sont excellentes, rien à voir avec celles que l'on peut voir sur les étals en fin d'année. On les trouve dans la baie du Mont st Michel, avec celles-ci, je ne suis pas malade, elles ont un goût de noisette et sont plus iodées ... un régal.
31 De fifi - 19/10/2015, 21:36
@Sax/Cat : J'ai vu un coureur cycliste qui rangeait un vélo à l'arrière de son camping-car, il y avait une petite porte, j'en ai profité pour faire le curieux, il y avait déjà un autre vélo à l'intérieur, sans doute pour la compète. Leurs bi-clown sont tellement chers qu'ils se les font braquer sur les routes, alors, ils les planquent.
32 De fifi - 19/10/2015, 21:39
@michel : On peut faire tout ça dans le camping-car, c'est pas prudent, heureusement qu'ils ne téléphonent pas.
33 De fifi - 19/10/2015, 21:42
@arielle : Vous avez raison, si il y en avait un de nous deux qui partirait avant l'autre, et bien, j'aurai beaucoup de peine.
34 De Liaan - 20/10/2015, 09:35
@fifi : Votre coureur cycliste était un indépendant du Tour de France. Il faisait tout lui-même, et la course, et l'assistance médicale et mécanique, et la promotion publicitaire. Il partait tout d'abord avec la caravane publicitaire, à l'arrivée de l'étape, il montait sur son vélo et fonçait vers le départ, croisait le peloton et repartait faire la course avec un léger handicap, rejoignait le peloton, le dépassait et arrivait premier. Il allait s'isoler ensuite dans son camping-car pour se recharger les batteries : c'était un humanoïde de la dernière génération d'Alpha du Centaure, incroyablement rapide, si rapide qu'il n'arrivait pas à impressionner les pellicules des appareils photographiques de l'époque (c'était vers 1970). Comme il ne s'était jamais inscrit, il n'a jamais officiellement gagné le Tour de France. Mais, moi, je le sais.
Vous avez eu de la chance de pouvoir l'observer lorsqu'il rangeait son vélo.
Bon, je vous laisse, c'est l'heure des médicaments, les comprimés mauves.
35 De Inspecteur Latulipe - 20/10/2015, 12:16
@Liaan : Vous devriez faire de la bande dessinée, si, si !
36 De golipan - 20/10/2015, 14:29
@Liaan : Serait-il possible de savoir pourquoi votre humanoïde s'embête à courir ce Tour de France et pour qui il fait de la pub ? Le scenario manque de rigueur.
37 De Liaan - 20/10/2015, 18:30
@golipan : Cet humanoïde fait cette course pour la beauté du geste.
Il fait de la publicité pour les motos Gronda, avec comme slogan " Avec Gronda, vous y seriez déjà ", et l'on voit en petit une image de casse de motos.
Bon, je suis obligé de m'en aller, l'infirmière principale me dit que c'est l'heure de la douche.
38 De fifi - 21/10/2015, 10:30
@Liaan : "A l' étape, épate la" Françoise de Vilmorin , si je me souviens bien !
39 De shanti - 21/10/2015, 13:01
Ils sont bons ces portraits, hier soir je repensais au second. Dans mon souvenir les dos de vaches s'étendaient à la bordure supérieure de la photo. Seul le visage de l'éleveur émergeait de ces vagues bovines, tel un naufragé.