Tel que vous me voyez là, je réagis à l'histoire drôle que vous allez me raconter en commentaire. Je vous mets au défi de me faire rire avec vos meilleures blagues.
C'est l'histoire d'un type qui roule à 88 km/h sur une route nationale avec un véhicule en parfait état, alors qu'il est seul sur cet axe. Un gendarme l'arrête, et lui dit :...
Vous la connaissez ?
@Waldo7624 : Faites comme moi. J'ai démonté le compteur de mon automobile et j'ai modifié les indications qui me donnent désormais l'impression de rouler à vive allure sans plus jamais craindre les radars.
Pour 20 km/h, j'ai indiqué 50 ; pour 50 km/h, j'ai indiqué 100 ; pour 80 km/h, j'ai indiqué 200.
Bon, il y a encore des fous furieux qui me doublent alors que je roule à 200…
#@Brob Dingnag : Oui, camarade. Mais c'est pas moi dans l'histoire. Moi, je roule à la vitesse recommandée, et même 20 km/h en dessous pour être bien sûr de courir le moindre risque, et d'emmerder un maximum ceux qui me suivent. Na !
@Michel : ça, c'est une vraie bonne idée ! Et vous dites qu'à 200, vous vous faites encore doubler ? Incroyable, il y a vraiment des cinglés sur nos belles routes. Pourquoi ne remplaceriez-vous pas les 200 par 240, ou 260 sur votre compteur, histoire de voir jusqu'où ils iront, ces fous ?
J'espère que vous relevez les numéros pour les dénoncer !
Après plus de vingt ans, un homme décide de retourner à la confesse.
Il écarte le rideau, entre, s'assied et découvre étonné, un minibar bien rempli, une bouteille de champagne dans un seau avec de la glace, un ravier avec des amandes grillées et des cacahuètes et enfin, des photos de jolies filles nues affichées sur la paroi du confessionnal.
Alors qu'il entend le prêtre s'apprêter à entrer dans le confessionnal, il lui dit :
"Mon père, excusez-moi, cela fait très longtemps que je ne me suis plus confessé, et même que je ne suis plus entré dans un église, mais dites-moi... ça a pas mal changé, non ?
Et le prêtre répond :
Sortez de là imbécile, vous êtes de mon côté !
Du temps de l’empire français d’afrique,un jeune capitaine,fraîchement nommé en poste en plein désert,est accueilli,par son colonel. »Le poste est tranquille,les indigenes amicaux mais je ne veux pas d’histoires,pour le sexe,vous prendrez le chameau »Le capitaine ravale sa salive et tient trois semaines,puis dit au colonel trois semaines que je tiens,j’en peux plus. » Qu'à cela ne tienne,vous avez le chameau ».Huit jours plus tard,le chameau n’etait plus vierge...Mais au bout d’un mois,le capitaine revient voir son colonel:mon colonel,c’est trop dur,il me faut des femmes « Prenez donc le chameau » Mon colonel,respectueusement,j’en ai ras le bol du chameau,il me sort par les yeux le chameau et c’est pas humain ce que vous m’imposez là. » Ah,mais capitaine,le chameau,c’est pour aller à la ville »
ce n'est pas moi, il y a eu usurpation de mon prénom. Regardez L'IP pour voir qui est ce malotru. Je vous trouve très bien comme cela pas l'intention de vous faire rire et puis c'est connu que je ne sais aucune blague :-)))
Deux mecs, bien beurrés, décident d'aller au cinéma. La séance est déjà entamée, la salle est dans le sombre. L'ouvreuse arrive et l'un des deux types dit à son copain : gare-toi, v'là un vélo !
Nasdine Hodja est sur la place du village,il discute avec un marchand et l’Imam.Le marchand ,arrogant,lui demande « mais qu’est tu exactement,un voleur ou un menteur? » et Nasdine de répondre » disons que je suis à mi chemin entre les deux »
C'est l'histoire d'un brave type qui s'appelait Gauthier.
En 1981, fraîchement élu, François Mitterand visite l'usine Blédina, là où sont élaborés et fabriqués les célèbres petits pots pour bébés.
Entouré d'un aréopage de courtisans et de cadres supérieurs, celui-ci, tout en écoutant poliment les commentaires du cicérone directorial sur le fonctionnement de cette usine à la pointe du progrès, donne de fréquents coups d’œil à droite à gauche avec un air soucieux. Au bout d'un moment, n'y tenant plus, le PDG de Blédina s'enquiert du motif qui semble tracasser le grand homme.
"C'est que voyez-vous, je pensais, en venant ici, retrouver un bon camarade qui y travaille, et je ne l'aperçois pas!"
"Comment se nomme t-il, Monsieur le Président? S'il est ici, je l'envoie chercher immédiatement!"
" Il s'agit de mon ami Gauthier, un homme de grand mérite que vous connaissez certainement."
" Non, je ne vois pas...Quelqu'un ici connaît-il ce Gauthier?"
Mais personne, dans la prestigieuse assemblée ne connaissait Gauthier. Il fallut consulter les listes du personnel, les éplucher dans l'ordre hiérarchique descendant, personne n'imaginant qu'un pote du président ne soit pas au minimum cadre ou agent de maîtrise.
à la fin des fins, on découvrit un Gauthier, technicien de surfaces, assis sur sa balayeuse industrielle, nettoyant consciencieusement le sol des ateliers désertés pour cause de visite présidentielle.
La joie du chef de l'état lorsqu'on lui amena son ami sidéra l'assistance.
"-Gauthier, mon ami, viens ici, que je t'embrasse!"
"-François! comment vas tu?" Etc...etc...Adieu le protocole, au grand dam des courtisans et des officiels qui allèrent se venger au buffet.
La vie repris son cours presque normalement dans l'usine, jusqu'au jour ou Margaret Thatcher, en voyage officiel en France, vint à son tour visiter Blédina Et de nouveau, au cours de la visite, affichant son ennui et son impatience, la dame de fer interrompit le directeur:
"- But, where is Gauthier, my best friend?"
Cette fois-ci, expérience oblige, Gauthier fut introduit devant Maggie avec célérité.
Nouvelles effusions devant le gratin et la presse internationale, même mépris du protocole, et même mines interloquées du comité de direction de Blédina.
Dans les mois qui suivirent, on vit encore Ronald Reagan, puis Mikhaël Gorbatchev, de passage dans l'usine modèle eux aussi, réclamer "this nice guy Gauthier" ou "tovarich Gauthier".
N'y tenant plus, au lendemain du passage de Gorbachev, le PDG du groupe BSN-Danone, dont le site Blédina de Brive fait partie, convoque le discret Gauthier pour le connaître un peu mieux.
"-Bonjour cher ami. Tenez asseyez vous. Cigare, whisky? Je vous en prie, ne soyez pas intimidé. Quand on est l'ami des hommes et des femmes les plus puissants de ce monde, rien ne doit ni ne peux vous inquiéter! Et d'ailleurs, si vous me contiez comment vous est venue cette incroyable popularité?
Et par la même occasion, vous m'expliquerez pourquoi vous végétez au troisième sous-sol au lieu de profitez de votre entregent pour mener la grande vie."
"-Et bien , monsieur le directeur, j'ai connu tous ces gens formidables au cours de mes voyages, dans ma jeunesse, quand j'étais routard. Quand à ma position sociale, elle est due à ma philosophie, qui se résume par la maxime suivante: pour vivre heureux, vivons cachés.
Savez-vous que je suis aussi l'ami intime de Jean Paul II, et du Dalaï Lama, de Hiro-Hito, et j'en oublie..."
"- Comment? Vous connaissez le Saint-père? Vous êtes vraiment incroyable! Dites moi, la semaine prochaine, c'est pâques. Accepteriez-vous de venir à Rome avec moi, et de me présenter au pape, car je suis très croyant?"
C'est ainsi que nous retrouvons nos deux protagonistes place Saint Pierre, au moment du message urbi et orbi de Jean-Paul II.
Incroyable moment que vécut là notre PDG. Gauthier se mit à agiter les bras, en criant "-Jean-Paul, Jean-Paul, c'est moi Gauthier!"
Le Saint-Père, apercevant son ami, lâche son discours et le hèle:
"Gauthier! Monte, monte, viens boire un verre!"
Gauthier obtempère, mais dans la cohue il sème son compagnon de pèlerinage. Après quelques heures de congratulations et de bavardages dans les appartements papaux, Gauthier se décide à retrouver son directeur, qui le gave un peu depuis le départ. Avisant un carabinier, il s'informe de l'endroit où il pourrait retrouver le PDG. Coup de chance, le policier était présent au moment ou celui-ci à fait un malaise, et peut lui indiquer l'hôpital ou il est soigné.
"-Monsieur le directeur, que vous est-il arrivé?"
"-Ah, ne m'en parlez pas! Au moment ou vous avez escaladé le balcon, et ou le pape vous à donné l'accolade, un petit chinois m'a tapé sur l'épaule, et m'a demandé: "Vous le connaissez, vous, le type en blanc qui embrasse Gauthier?"
C'est là que j'ai perdu connaissance."
@Le prof Turbled : Pas mal du tout mais je la connaissais.
@Tournesol : Pour la bonne compréhension, ne faudrait-il pas mettre l'accent sur le fait que Nasdine est entre l'imam et le marchand ? La conclusion serait : "disons que je suis entre les deux". Non ?
@Michel :
à noter qu'oralement, en prenant les accents des divers personnages, c'est nettement mieux, et en m'excusant pour les deux-trois fautes dues à la relecture bâclée, ou à l'écriture précipitée, sans doute.
Un panneau à Chambery : " Zéro pesticide, la ville s'engage pour votre santé. Vos cimetières sont entretenus sans glyphosate, ni produits toxiques "
mouais.. bon, du classique alors...
- On fait comment pour la garde des gosses ?
- Mais vous êtes qui ?
- Pardon, j'ai brulé des étapes.
Bonsoir, je vous offre un verre ?
Toujours pas, bon... je retourne à la gym en voiture pour courir sur un tapis roulant :-)
Nous sommes en 1850. Trois explorateurs européens ont étés fait prisonniers par une tribu d'indigènes africains de stature colossale.
Le soir le chef s'adresse au prisonnier le plus jeune, est lui demande:
"- la mort, ou la Toumba?
"-la...la.. Toumba" répond le pauvre garçon terrorisé.
Explosion de joie parmi les guerriers qui scandent "la Toumba...la Toumba!" Toute la nuit retentissent les tam-tam, entrecoupés de cris de terreur qui glacent le sang des deux explorateurs enfermés dans une case.
Au petit matin, on ramène leur ami dans un état de délabrement physique indescriptible, et toute la journée celui-ci délire:
"-non, pas la Toumba, pas la Toumba!"
Le soir suivant, le chef propose à nouveau son terrible choix au second homme blanc:
"-la mort, ou la Toumba?"
Celui-ci, plus aguerri, et doté d'une farouche envie de vivre, choisi sans ciller la Toumba.
Le lendemain matin, après une nouvelle nuit de terreur et de liesse, c'est selon, on ramène le prisonnier dans la case, dans le même état que le premier. Mais celui-ci trouve la force d'avertir son camarade encore indemne:
"-c'est terrible! Toute la nuit les hommes du village te violent et te frappent en se fendant la poire et en fumant du kif. C'est affreux!"
Lorsque le chef, au crépuscule, vint pour demander au troisième prisonnier quel programme lui faisait envie, de la mort ou de la Toumba, celui-ci choisit courageusement et sans hésiter: "-la mort!"
Silence et étonnement dans l'assistance.
Le chef, pas désemparé le moins du monde:
"-la mort ...par la Toumba!
Une histoire racontée par Frédéric Lodéon.
Un violoncelliste devait jouer dans un concert de l'orchestre symphonique ce jour là. Mais il avait un rendez-vous très important ce même jour. Il décide de demander à son concierge de le remplacer.
- Mais je n'y connais rien, fait remarquer le concierge.
- Oh, pas d'importance, nous sommes quinze violoncellistes, personne ne remarquera que vous ne jouez véritablement pas.
- Bon, d'accord.
Et le jour venu, lors du concert, le chef d'orchestre lève sa baguette, l'abaisse et aucun son ne sort : c'était tous des concierges.
@Sax/Cat : Vous avez de ces lectures le matin !
Dans le genre, je peux vous conseiller TéléZ (ou d'autres journaux télé) et ses histoires comiques. C'est si excessivement nul que j'en rigole à me pisser dessus. Quelle genre d'histoire ? En voici une :
Dans un petit village, une inondation menace. Les bonnes gens sont tous évacués. Seul, le curé reste. Le Maire lui demande de partir.
- Non, Dieu m'aidera, dit le prêtre.
- Bon, fait le Maire.
L'eau monte encore. Les pompiers passent en barque et demandent au curé de venir avec eux. Refus du prélat. L'eau continue de monter. Le cureton se réfugie dans le clocher. Un hélicoptère de la Protection Civile passe et par haut-parleur intime au curé de monter. Invariable réponse de ce dernier : Dieu m'aide, Dieu m'aidera. Et ce qui devait arriver arriva, l'eau monte et emporte le prêtre qui se noie (il ne savait pas nager) Arrivé devant le Créateur, il se plaint ! Et Dieu lui rétorque qu'il avait envoyé le Maire, la barque des pompiers et l'hélicoptère de la Protection Civile.
@Liaan : Dans le genre, je peux vous conseiller TéléZ (ou d'autres journaux télé) et ses histoires comiques. C'est si excessivement nul que j'en rigole à me pisser dessus.
Qu'ils sont curieux ceux qui affirment ne pas avoir la télévision et qui lisent Télé Z pour les blagues. Le genre humain continuera longtemps à me faire rire.
@Michel : Hé hé ! Je vous fais réagir, un bon point pour moi.
Les TéléZ et autres Télé7poches (comme le dirait Fifi) je les récupe parfois et me précipite sur la seule page valable de ces revues.
Lu sur Le Monde, ce matin, un article sur le drunkposting, les gars saouls comme des cochons qui envoient des messages, souvent insultants, à leur hiérarchie du boulot. Une perle de ces message est rapportée par le quotidien de la rue des Italiens* :
Le drunkposting peut aussi donner lieu à de beaux échanges. En février 2017, Mark McLelland, un jeune jardinier écossais ayant un peu trop arrosé sa soirée, avait envoyé ce SMS à son patron : « Greig, c’est OK si je prends un jour de congé aujourd’hui ? J’ai la diarrhée, mec. » Deux minutes plus tard, son boss lui répondait avec humour : « Primo, trouve une meilleure excuse. C’est la pire jamais entendue. Secundo : c’est dimanche, imbécile. »
De toutes les façon, il est plus aisé de faire pleurer que de faire rire.
Je ne raconterai pas l'histoire du type qui fait hurler deux fois de suite son épouse. La bonne tenue du blog ne le permet pas, et l'histoire est trop connue.
Ce ne sont pas des blagues plutôt des exercices de style ! C'était un drôle de bonhomme ce Felix Fénéon et ses nouvelles en trois lignes, parues dans la presse, qui résonnent comme des haikus subtils teintés d"humour noir. C'est parfois jubilatoire - pas toujours - pas question de rires aux éclats mais propices au sourires intérieurs. Du coup pas besoin de refaire votre portrait.
« Si mon candidat échoue, je me tue », avait déclaré M. Bellavoine, de Fresquienne (Seine-Inférieure). Il s’est tué.
M. Abel Bonnard, de Villeneuve-Saint-Georges, qui jouait au billard, s’est crevé l’œil gauche en tombant sur sa queue.
Quittée par Delorce, Cécile Ward refusa de le reprendre, sauf mariage. Il la poignarda, cette clause lui ayant paru scandaleuse.
À propos de l'humour, Yves Frémion dit dans le journal Le Monde, en parlant du dessinateur Mo/CDM, et de la sortie de l'album La planète des riches (deux tomes : Un voyage de la Terre à la Thune et La bourse et la vie) : Citation
Dans cet univers où le stand up a formaté l’humour contemporain, au point de restaurer l’humour familial au niveau de la »Famille Duraton » de nos arrière-grands-mères, la BD comme la littérature ou le cinéma se sont coulés dans ce moule facile, où l’écriture est réduite aux acquets, la structure au catalogue de blagounettes et le dessin à une corvée inutile. Dans cette débâcle, même les grands supports du dessin humoristique (Charlie Hebdo, Fluide Glacial, Le Canard enchaîné) se sont affaiblis en proportion. Les rigolosaures, morts ou survivants, n’ont pas de successeurs.
Pourtant, quelques obstinés s’obstinent. Entre deux générations (l’ancienne et la nouvelle), Mo CDM s’est discrètement taillé une niche. Une niche pour happy few au départ, qui s’élargit d’album en album, et que des générations découvrent avec ébahissement et dans leur mémoire un vague écho d’un temps où l’humour était radical. Mo, qui fut avec Ferri une des grandes recrues de Fluide Glacial, est un mainteneur – au sens félibre du terme – de son esprit. Un esprit instauré par Gotlib en créant son journal, mais qui, après une longue agonie, a été balayé avec la disparition de l’humoriste. Fin de citation
@Liaan :
Vous avez été pris la main dans le pot de confiture, en flagrant délit de téléspectateur patenté. Pourquoi essayer de nier en ramant comme un perdu? Soyez beau joueur, nom de dieu!
Connaissez-vous l'histoire du lit vertical ?
...boh, c'est pas grave, c'est une histoire à dormir debout
34
De Emile Combes (dit mimile) - 02/07/2018, 11:09
Et l’histoire de quatre bonnes sœurs qui meurent ensemble dans un accident avec leur 2CV ?
Les quatre sœurs arrivent évidement devant Saint Pierre qui leur dit, bon mes sœurs pas de problèmes ? Vous n’avez pas péché, vous pouvez entrer n’est-ce pas ?
Alors la première dit timidement, Saint Pierre j’ai touché autrefois le sexe d’un homme avec la main, Sait Pierre lui dit alors, vas te tremper la main dans le bénitier et tu pourras entrer, la deuxième sœur lui dit, Saint Pierre j’ai touché moi aussi le sexe d’un homme, mais avec les deux mains, Saint Pierre lui répond, vas te laver les mains dans le bénitier et tu pourras entrer.
A ce moment-là une sœur bouscule l’autre, lui passe devant et dit affolée Saint Pierre, je pourrais aller me laver la bouche avant que sœur Ginette se lave le C…
Un curé dans son église voit soudain un paroissien se ruer vers le confessionnal, le brave curé se dit que ce pêcheur doit avoir grand besoin de se confesser, il entre à son tour dans le confessionnal, ouvre le guichet et à ce moment le paroissien lui demande… Vous avez du papier de votre côté ?
Ce mot, dans ma bouche n'a rien de désobligeant, il n'est pas adéquate sans doute puisque pris à la hâte pour un synonyme d'histoire drôle. En tout cas un blague à tabac n'a rien de désobligeant. Hi, hi.
Mince alors, seriez-vous susceptible ? ;-) M'enfin monsieur, je ne causais point de vous mais de moi et de Feneon .... Rires.
Voilà sinon en matière d'histoires drôles, je ne suis pas bon public :-(
Allez, une histoire courte!
Ce sont trois naufragés anglais qui se morfondent sur l'île déserte où ils ont échoué. Animés de cet inextinguible figthing-spirit qui caractérise cette nation dure au mal, les trois hommes cherchent un moyen de passer le temps agréablement en attendant la mort.
L'un d'eux propose:
"- jouons au golf! J'ai le club."
Le second opine:
"-Yes! Very good! J'ai les balles!"
Le troisième:
"-Non, pas question!"
@arielle :
No problèmo! C'est vrai que je n'avais pas compris le sens du message. C'est vrai aussi que je peux être susceptible, pardi! Mais pas ici.
Non, je tenais à souligner la différence entre une blague de Toto, et une histoire, drôle ou pas mais qui demande un brin d'espace et de développement.
Par exemple, sur ce blog, Fifi en avait raconté une excellente, spéciale ruralité. Une histoire de chasse qui se passait l'année ou le feu avait gelé. C'était autre chose qu'une vulgaire petite blague.
C'est une très jeune et jolie demoiselle qui entre au confessionnal :
- " MON PERE, J' AI PÊCHE ."
Le curé chuchotant :
- " Parle bas, ma fille, parle bas . "
- " Oui, mon père, par le bas .
1 De Waldo7624 - 01/07/2018, 11:24
C'est l'histoire d'un type qui roule à 88 km/h sur une route nationale avec un véhicule en parfait état, alors qu'il est seul sur cet axe. Un gendarme l'arrête, et lui dit :...
Vous la connaissez ?
2 De Brob Dingnag - 01/07/2018, 11:30
@Waldo7624 : Camarade. Si tu sais rouler à 88 km/h tu dois savoir rouler à 80 km/h.
3 De Michel - 01/07/2018, 11:42
@Waldo7624 : Faites comme moi. J'ai démonté le compteur de mon automobile et j'ai modifié les indications qui me donnent désormais l'impression de rouler à vive allure sans plus jamais craindre les radars.
Pour 20 km/h, j'ai indiqué 50 ; pour 50 km/h, j'ai indiqué 100 ; pour 80 km/h, j'ai indiqué 200.
Bon, il y a encore des fous furieux qui me doublent alors que je roule à 200…
4 De Waldo7624 - 01/07/2018, 11:53
#@Brob Dingnag : Oui, camarade. Mais c'est pas moi dans l'histoire. Moi, je roule à la vitesse recommandée, et même 20 km/h en dessous pour être bien sûr de courir le moindre risque, et d'emmerder un maximum ceux qui me suivent. Na !
@Michel : ça, c'est une vraie bonne idée ! Et vous dites qu'à 200, vous vous faites encore doubler ? Incroyable, il y a vraiment des cinglés sur nos belles routes. Pourquoi ne remplaceriez-vous pas les 200 par 240, ou 260 sur votre compteur, histoire de voir jusqu'où ils iront, ces fous ?
J'espère que vous relevez les numéros pour les dénoncer !
5 De airelle - 01/07/2018, 12:05
Après plus de vingt ans, un homme décide de retourner à la confesse.
Il écarte le rideau, entre, s'assied et découvre étonné, un minibar bien rempli, une bouteille de champagne dans un seau avec de la glace, un ravier avec des amandes grillées et des cacahuètes et enfin, des photos de jolies filles nues affichées sur la paroi du confessionnal.
Alors qu'il entend le prêtre s'apprêter à entrer dans le confessionnal, il lui dit :
"Mon père, excusez-moi, cela fait très longtemps que je ne me suis plus confessé, et même que je ne suis plus entré dans un église, mais dites-moi... ça a pas mal changé, non ?
Et le prêtre répond :
Sortez de là imbécile, vous êtes de mon côté !
6 De Tournesol - 01/07/2018, 12:22
@airelle : bravo!
@Michel : c’est bien de face que vous avez votre meilleur profil....
7 De Tournesol - 01/07/2018, 12:33
Du temps de l’empire français d’afrique,un jeune capitaine,fraîchement nommé en poste en plein désert,est accueilli,par son colonel. »Le poste est tranquille,les indigenes amicaux mais je ne veux pas d’histoires,pour le sexe,vous prendrez le chameau »Le capitaine ravale sa salive et tient trois semaines,puis dit au colonel trois semaines que je tiens,j’en peux plus. » Qu'à cela ne tienne,vous avez le chameau ».Huit jours plus tard,le chameau n’etait plus vierge...Mais au bout d’un mois,le capitaine revient voir son colonel:mon colonel,c’est trop dur,il me faut des femmes « Prenez donc le chameau » Mon colonel,respectueusement,j’en ai ras le bol du chameau,il me sort par les yeux le chameau et c’est pas humain ce que vous m’imposez là. » Ah,mais capitaine,le chameau,c’est pour aller à la ville »
8 De arielle - 01/07/2018, 13:18
ce n'est pas moi, il y a eu usurpation de mon prénom. Regardez L'IP pour voir qui est ce malotru. Je vous trouve très bien comme cela pas l'intention de vous faire rire et puis c'est connu que je ne sais aucune blague :-)))
9 De Michel - 01/07/2018, 13:21
@arielle : Pas besoin de regarder l'IP. On sait bien que ce n'est pas vous, c'est airelle, pas arielle. Apprenez à lire.
10 De arielle - 01/07/2018, 13:23
@Michel : Je suis dyslexique bordel en plus d'être dysorthographique !
11 De Liaan - 01/07/2018, 13:35
Deux mecs, bien beurrés, décident d'aller au cinéma. La séance est déjà entamée, la salle est dans le sombre. L'ouvreuse arrive et l'un des deux types dit à son copain : gare-toi, v'là un vélo !
12 De Inspecteur Latulipe - 01/07/2018, 15:01
Aurions-nous le plaisir d'admirer votre visage souriant au cas où l'un d'entre nous aurait raconté ici une blague que vous auriez trouvé amusante ?
13 De Michel - 01/07/2018, 15:22
@Inspecteur Latulipe : Ah ! Elle n'est pas mal celle-ci. Vous avez presque déclenché un ricanement.
14 De Tournesol - 01/07/2018, 17:04
Nasdine Hodja est sur la place du village,il discute avec un marchand et l’Imam.Le marchand ,arrogant,lui demande « mais qu’est tu exactement,un voleur ou un menteur? » et Nasdine de répondre » disons que je suis à mi chemin entre les deux »
15 De Le prof Turbled - 01/07/2018, 19:30
C'est l'histoire d'un brave type qui s'appelait Gauthier.
En 1981, fraîchement élu, François Mitterand visite l'usine Blédina, là où sont élaborés et fabriqués les célèbres petits pots pour bébés.
Entouré d'un aréopage de courtisans et de cadres supérieurs, celui-ci, tout en écoutant poliment les commentaires du cicérone directorial sur le fonctionnement de cette usine à la pointe du progrès, donne de fréquents coups d’œil à droite à gauche avec un air soucieux. Au bout d'un moment, n'y tenant plus, le PDG de Blédina s'enquiert du motif qui semble tracasser le grand homme.
"C'est que voyez-vous, je pensais, en venant ici, retrouver un bon camarade qui y travaille, et je ne l'aperçois pas!"
"Comment se nomme t-il, Monsieur le Président? S'il est ici, je l'envoie chercher immédiatement!"
" Il s'agit de mon ami Gauthier, un homme de grand mérite que vous connaissez certainement."
" Non, je ne vois pas...Quelqu'un ici connaît-il ce Gauthier?"
Mais personne, dans la prestigieuse assemblée ne connaissait Gauthier. Il fallut consulter les listes du personnel, les éplucher dans l'ordre hiérarchique descendant, personne n'imaginant qu'un pote du président ne soit pas au minimum cadre ou agent de maîtrise.
à la fin des fins, on découvrit un Gauthier, technicien de surfaces, assis sur sa balayeuse industrielle, nettoyant consciencieusement le sol des ateliers désertés pour cause de visite présidentielle.
La joie du chef de l'état lorsqu'on lui amena son ami sidéra l'assistance.
"-Gauthier, mon ami, viens ici, que je t'embrasse!"
"-François! comment vas tu?" Etc...etc...Adieu le protocole, au grand dam des courtisans et des officiels qui allèrent se venger au buffet.
La vie repris son cours presque normalement dans l'usine, jusqu'au jour ou Margaret Thatcher, en voyage officiel en France, vint à son tour visiter Blédina Et de nouveau, au cours de la visite, affichant son ennui et son impatience, la dame de fer interrompit le directeur:
"- But, where is Gauthier, my best friend?"
Cette fois-ci, expérience oblige, Gauthier fut introduit devant Maggie avec célérité.
Nouvelles effusions devant le gratin et la presse internationale, même mépris du protocole, et même mines interloquées du comité de direction de Blédina.
Dans les mois qui suivirent, on vit encore Ronald Reagan, puis Mikhaël Gorbatchev, de passage dans l'usine modèle eux aussi, réclamer "this nice guy Gauthier" ou "tovarich Gauthier".
N'y tenant plus, au lendemain du passage de Gorbachev, le PDG du groupe BSN-Danone, dont le site Blédina de Brive fait partie, convoque le discret Gauthier pour le connaître un peu mieux.
"-Bonjour cher ami. Tenez asseyez vous. Cigare, whisky? Je vous en prie, ne soyez pas intimidé. Quand on est l'ami des hommes et des femmes les plus puissants de ce monde, rien ne doit ni ne peux vous inquiéter! Et d'ailleurs, si vous me contiez comment vous est venue cette incroyable popularité?
Et par la même occasion, vous m'expliquerez pourquoi vous végétez au troisième sous-sol au lieu de profitez de votre entregent pour mener la grande vie."
"-Et bien , monsieur le directeur, j'ai connu tous ces gens formidables au cours de mes voyages, dans ma jeunesse, quand j'étais routard. Quand à ma position sociale, elle est due à ma philosophie, qui se résume par la maxime suivante: .
Savez-vous que je suis aussi l'ami intime de Jean Paul II, et du Dalaï Lama, de Hiro-Hito, et j'en oublie..."
"- Comment? Vous connaissez le Saint-père? Vous êtes vraiment incroyable! Dites moi, la semaine prochaine, c'est pâques. Accepteriez-vous de venir à Rome avec moi, et de me présenter au pape, car je suis très croyant?"
C'est ainsi que nous retrouvons nos deux protagonistes place Saint Pierre, au moment du message de Jean-Paul II.
Incroyable moment que vécut là notre PDG. Gauthier se mit à agiter les bras, en criant "-Jean-Paul, Jean-Paul, c'est moi Gauthier!"
Le Saint-Père, apercevant son ami, lâche son discours et le hèle:
"Gauthier! Monte, monte, viens boire un verre!"
Gauthier obtempère, mais dans la cohue il sème son compagnon de pèlerinage. Après quelques heures de congratulations et de bavardages dans les appartements papaux, Gauthier se décide à retrouver son directeur, qui le gave un peu depuis le départ. Avisant un carabinier, il s'informe de l'endroit où il pourrait retrouver le PDG. Coup de chance, le policier était présent au moment ou celui-ci à fait un malaise, et peut lui indiquer l'hôpital ou il est soigné.
"-Monsieur le directeur, que vous est-il arrivé?"
"-Ah, ne m'en parlez pas! Au moment ou vous avez escaladé le balcon, et ou le pape vous à donné l'accolade, un petit chinois m'a tapé sur l'épaule, et m'a demandé: "Vous le connaissez, vous, le type en blanc qui embrasse Gauthier?"
C'est là que j'ai perdu connaissance."
16 De Michel - 01/07/2018, 19:39
@Le prof Turbled : Pas mal du tout mais je la connaissais.
@Tournesol : Pour la bonne compréhension, ne faudrait-il pas mettre l'accent sur le fait que Nasdine est entre l'imam et le marchand ? La conclusion serait : "disons que je suis entre les deux". Non ?
17 De Le prof Turbled - 01/07/2018, 19:55
@Michel :
à noter qu'oralement, en prenant les accents des divers personnages, c'est nettement mieux, et en m'excusant pour les deux-trois fautes dues à la relecture bâclée, ou à l'écriture précipitée, sans doute.
18 De Tournesol - 01/07/2018, 19:57
@Michel : l’humour acceptel’ellipse,surtout quand j’ai un rhumatisme du pouce( rhizarthrose)
@Le prof Turbled : las ,je la connaissais aussi.
19 De jojo - 01/07/2018, 22:57
Faut tenter un sourire...
Un panneau à Chambery : " Zéro pesticide, la ville s'engage pour votre santé. Vos cimetières sont entretenus sans glyphosate, ni produits toxiques "
mouais.. bon, du classique alors...
- On fait comment pour la garde des gosses ?
- Mais vous êtes qui ?
- Pardon, j'ai brulé des étapes.
Bonsoir, je vous offre un verre ?
Toujours pas, bon... je retourne à la gym en voiture pour courir sur un tapis roulant :-)
20 De Le prof Turbled - 01/07/2018, 23:36
Nous sommes en 1850. Trois explorateurs européens ont étés fait prisonniers par une tribu d'indigènes africains de stature colossale.
Le soir le chef s'adresse au prisonnier le plus jeune, est lui demande:
"- la mort, ou la ?
"-la...la.. " répond le pauvre garçon terrorisé.
Explosion de joie parmi les guerriers qui scandent "la ...la !" Toute la nuit retentissent les tam-tam, entrecoupés de cris de terreur qui glacent le sang des deux explorateurs enfermés dans une case.
Au petit matin, on ramène leur ami dans un état de délabrement physique indescriptible, et toute la journée celui-ci délire:
"-non, pas la , pas la !"
Le soir suivant, le chef propose à nouveau son terrible choix au second homme blanc:
"-la mort, ou la ?"
Celui-ci, plus aguerri, et doté d'une farouche envie de vivre, choisi sans ciller la .
Le lendemain matin, après une nouvelle nuit de terreur et de liesse, c'est selon, on ramène le prisonnier dans la case, dans le même état que le premier. Mais celui-ci trouve la force d'avertir son camarade encore indemne:
"-c'est terrible! Toute la nuit les hommes du village te violent et te frappent en se fendant la poire et en fumant du kif. C'est affreux!"
Lorsque le chef, au crépuscule, vint pour demander au troisième prisonnier quel programme lui faisait envie, de la mort ou de la , celui-ci choisit courageusement et sans hésiter: "-la mort!"
Silence et étonnement dans l'assistance.
Le chef, pas désemparé le moins du monde:
"-la mort ...par la !
21 De Tournesol - 02/07/2018, 05:33
@Le prof Turbled : celle là je la connaissais pas :-))
22 De Liaan - 02/07/2018, 07:00
Une histoire racontée par Frédéric Lodéon.
Un violoncelliste devait jouer dans un concert de l'orchestre symphonique ce jour là. Mais il avait un rendez-vous très important ce même jour. Il décide de demander à son concierge de le remplacer.
- Mais je n'y connais rien, fait remarquer le concierge.
- Oh, pas d'importance, nous sommes quinze violoncellistes, personne ne remarquera que vous ne jouez véritablement pas.
- Bon, d'accord.
Et le jour venu, lors du concert, le chef d'orchestre lève sa baguette, l'abaisse et aucun son ne sort : c'était tous des concierges.
23 De Sax/Cat - 02/07/2018, 07:45
Essayez donc ici
http://blague.dumatin.fr/
et si vous en trouvez une qui vous fait rire, prévenez moi, vous aurez eu de la chance :-)
24 De Liaan - 02/07/2018, 08:57
@Sax/Cat : Vous avez de ces lectures le matin !
Dans le genre, je peux vous conseiller TéléZ (ou d'autres journaux télé) et ses histoires comiques. C'est si excessivement nul que j'en rigole à me pisser dessus. Quelle genre d'histoire ? En voici une :
Dans un petit village, une inondation menace. Les bonnes gens sont tous évacués. Seul, le curé reste. Le Maire lui demande de partir.
- Non, Dieu m'aidera, dit le prêtre.
- Bon, fait le Maire.
L'eau monte encore. Les pompiers passent en barque et demandent au curé de venir avec eux. Refus du prélat. L'eau continue de monter. Le cureton se réfugie dans le clocher. Un hélicoptère de la Protection Civile passe et par haut-parleur intime au curé de monter. Invariable réponse de ce dernier : Dieu m'aide, Dieu m'aidera. Et ce qui devait arriver arriva, l'eau monte et emporte le prêtre qui se noie (il ne savait pas nager) Arrivé devant le Créateur, il se plaint ! Et Dieu lui rétorque qu'il avait envoyé le Maire, la barque des pompiers et l'hélicoptère de la Protection Civile.
25 De Michel - 02/07/2018, 09:01
@Liaan :
Qu'ils sont curieux ceux qui affirment ne pas avoir la télévision et qui lisent Télé Z pour les blagues. Le genre humain continuera longtemps à me faire rire.
26 De Liaan - 02/07/2018, 09:20
@Michel : Hé hé ! Je vous fais réagir, un bon point pour moi.
Les TéléZ et autres Télé7poches (comme le dirait Fifi) je les récupe parfois et me précipite sur la seule page valable de ces revues.
Lu sur Le Monde, ce matin, un article sur le drunkposting, les gars saouls comme des cochons qui envoient des messages, souvent insultants, à leur hiérarchie du boulot. Une perle de ces message est rapportée par le quotidien de la rue des Italiens* :
Le drunkposting peut aussi donner lieu à de beaux échanges. En février 2017, Mark McLelland, un jeune jardinier écossais ayant un peu trop arrosé sa soirée, avait envoyé ce SMS à son patron : « Greig, c’est OK si je prends un jour de congé aujourd’hui ? J’ai la diarrhée, mec. » Deux minutes plus tard, son boss lui répondait avec humour : « Primo, trouve une meilleure excuse. C’est la pire jamais entendue. Secundo : c’est dimanche, imbécile. »
Oui, Le Monde à déménagé depuis.
27 De Liaan - 02/07/2018, 09:43
De toutes les façon, il est plus aisé de faire pleurer que de faire rire.
Je ne raconterai pas l'histoire du type qui fait hurler deux fois de suite son épouse. La bonne tenue du blog ne le permet pas, et l'histoire est trop connue.
28 De Inspecteur Latulipe - 02/07/2018, 09:46
@Liaan : Effectivement, vous me faite plus pleurer que rire avec votre orthographe désastreuse. De toutes les façonS
29 De arielle - 02/07/2018, 10:03
Ce ne sont pas des blagues plutôt des exercices de style ! C'était un drôle de bonhomme ce Felix Fénéon et ses nouvelles en trois lignes, parues dans la presse, qui résonnent comme des haikus subtils teintés d"humour noir. C'est parfois jubilatoire - pas toujours - pas question de rires aux éclats mais propices au sourires intérieurs. Du coup pas besoin de refaire votre portrait.
« Si mon candidat échoue, je me tue », avait déclaré M. Bellavoine, de Fresquienne (Seine-Inférieure). Il s’est tué.
M. Abel Bonnard, de Villeneuve-Saint-Georges, qui jouait au billard, s’est crevé l’œil gauche en tombant sur sa queue.
Quittée par Delorce, Cécile Ward refusa de le reprendre, sauf mariage. Il la poignarda, cette clause lui ayant paru scandaleuse.
nouvelles
30 De Liaan - 02/07/2018, 10:15
À propos de l'humour, Yves Frémion dit dans le journal Le Monde, en parlant du dessinateur Mo/CDM, et de la sortie de l'album (deux tomes : Un voyage de la Terre à la Thune et La bourse et la vie) :
Citation
Dans cet univers où le stand up a formaté l’humour contemporain, au point de restaurer l’humour familial au niveau de la »Famille Duraton » de nos arrière-grands-mères, la BD comme la littérature ou le cinéma se sont coulés dans ce moule facile, où l’écriture est réduite aux acquets, la structure au catalogue de blagounettes et le dessin à une corvée inutile. Dans cette débâcle, même les grands supports du dessin humoristique (Charlie Hebdo, Fluide Glacial, Le Canard enchaîné) se sont affaiblis en proportion. Les rigolosaures, morts ou survivants, n’ont pas de successeurs.
Pourtant, quelques obstinés s’obstinent. Entre deux générations (l’ancienne et la nouvelle), Mo CDM s’est discrètement taillé une niche. Une niche pour happy few au départ, qui s’élargit d’album en album, et que des générations découvrent avec ébahissement et dans leur mémoire un vague écho d’un temps où l’humour était radical. Mo, qui fut avec Ferri une des grandes recrues de Fluide Glacial, est un mainteneur – au sens félibre du terme – de son esprit. Un esprit instauré par Gotlib en créant son journal, mais qui, après une longue agonie, a été balayé avec la disparition de l’humoriste.
Fin de citation
31 De Le prof Turbled - 02/07/2018, 10:18
@arielle :
Pourquoi ? On avait dit , non?
Qu'est-ce à dire, cette remarque désobligeante?
32 De Le prof Turbled - 02/07/2018, 10:20
@Liaan :
Vous avez été pris la main dans le pot de confiture, en flagrant délit de téléspectateur patenté. Pourquoi essayer de nier en ramant comme un perdu? Soyez beau joueur, nom de dieu!
33 De nono - 02/07/2018, 10:52
Connaissez-vous l'histoire du lit vertical ?
...boh, c'est pas grave, c'est une histoire à dormir debout
34 De Emile Combes (dit mimile) - 02/07/2018, 11:09
Et l’histoire de quatre bonnes sœurs qui meurent ensemble dans un accident avec leur 2CV ?
Les quatre sœurs arrivent évidement devant Saint Pierre qui leur dit, bon mes sœurs pas de problèmes ? Vous n’avez pas péché, vous pouvez entrer n’est-ce pas ?
Alors la première dit timidement, Saint Pierre j’ai touché autrefois le sexe d’un homme avec la main, Sait Pierre lui dit alors, vas te tremper la main dans le bénitier et tu pourras entrer, la deuxième sœur lui dit, Saint Pierre j’ai touché moi aussi le sexe d’un homme, mais avec les deux mains, Saint Pierre lui répond, vas te laver les mains dans le bénitier et tu pourras entrer.
A ce moment-là une sœur bouscule l’autre, lui passe devant et dit affolée Saint Pierre, je pourrais aller me laver la bouche avant que sœur Ginette se lave le C…
35 De Frémion mieux de mtaire - 02/07/2018, 11:19
Un curé dans son église voit soudain un paroissien se ruer vers le confessionnal, le brave curé se dit que ce pêcheur doit avoir grand besoin de se confesser, il entre à son tour dans le confessionnal, ouvre le guichet et à ce moment le paroissien lui demande… Vous avez du papier de votre côté ?
36 De Le prof Turbled - 02/07/2018, 11:48
@Emile Combes (dit mimile) :
Ouais! à bas la calotte! Bravo! je suis comme la Drome, j'adhère.
37 De arielle - 02/07/2018, 11:51
Ce mot, dans ma bouche n'a rien de désobligeant, il n'est pas adéquate sans doute puisque pris à la hâte pour un synonyme d'histoire drôle. En tout cas un blague à tabac n'a rien de désobligeant. Hi, hi.
Mince alors, seriez-vous susceptible ? ;-) M'enfin monsieur, je ne causais point de vous mais de moi et de Feneon .... Rires.
Voilà sinon en matière d'histoires drôles, je ne suis pas bon public :-(
38 De Le prof Turbled - 02/07/2018, 12:04
Allez, une histoire courte!
Ce sont trois naufragés anglais qui se morfondent sur l'île déserte où ils ont échoué. Animés de cet inextinguible qui caractérise cette nation dure au mal, les trois hommes cherchent un moyen de passer le temps agréablement en attendant la mort.
L'un d'eux propose:
"- jouons au golf! J'ai le club."
Le second opine:
"-Yes! Very good! J'ai les balles!"
Le troisième:
"-Non, pas question!"
39 De Le prof Turbled - 02/07/2018, 13:17
@arielle :
No problèmo! C'est vrai que je n'avais pas compris le sens du message. C'est vrai aussi que je peux être susceptible, pardi! Mais pas ici.
Non, je tenais à souligner la différence entre une blague de Toto, et une histoire, drôle ou pas mais qui demande un brin d'espace et de développement.
Par exemple, sur ce blog, Fifi en avait raconté une excellente, spéciale ruralité. Une histoire de chasse qui se passait l'année ou le feu avait gelé. C'était autre chose qu'une vulgaire petite blague.
40 De fifi - 02/07/2018, 23:09
C'est une très jeune et jolie demoiselle qui entre au confessionnal :
- " MON PERE, J' AI PÊCHE ."
Le curé chuchotant :
- " Parle bas, ma fille, parle bas . "
- " Oui, mon père, par le bas .
41 De fifi - 02/07/2018, 23:12
@Michel : Bel auto-portrait de " La Gaité " .
42 De fifi - 02/07/2018, 23:14
C'est le sourire commercial à vendre du buis le jour des rameaux .